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![]() Une petite fille brûle des allumettes pour se réchauffer, et chaque allumette lui apporte un rêve. Elle meurt gelée ; son âme rejoint sa grand-mère.
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![]() Deux fillettes vont cueillir des champignons et se retrouvent sur la voie ferrée lorsqu'un train surgit ; l'aînée dit à la plus jeune de ne pas retourner en arrière et de laisser les champignons. La plus jeune retourne en arrière et s'accroupie pour ramasser ses champignons. Le train passe... L'enfant qui étendue, par terre, se relève, et finit de ramasser ses champignons.
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![]() Une sorcière plante un grain d'orge qui devient une fleur puis une petite fille minuscule qu'elle appelle Poucette. Une grenouille l'enlève et la met sur un nénuphar qui part à la dérive. Elle vit ensuite seule dans la forêt et passe l'hiver avec un souris qui veut la marier à une taupe. Elle se sauve avec l'hirondelle à qui elle a sauvé la vie vers des pays chauds. Là-bas, elle se marie avec le petit prince des fleurs et devient Maia.
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![]() Une petite sirène tombe amoureuse d'un prince qu'elle sauve d'un naufrage. La sorcière peut lui donner des jambes pour aller conquérir le prince. Mais pour cela, elle devra quitter ses soeurs et le royaume de la mer. De plus, elle devra donner sa langue à la sorcière pour faire le philtre. En buvant le philtre, sa queue de poisson de divise en deux pour former des jambes mais, à chaque pas qu'elle fait, c'est comme si elle marchait sur un couteau effilé. Elle doit avoir l'amour du prince pour acquérir une âme. Mais le prince choisit une princesse, car il croit que c'est elle qui l'a sauvé du naufrage. La petite sirène ne peut pas lui expliquer que c'est elle qu'il la sauvé car elle est désormais muette. Elle doit se résigner à mourir et refuse, à la demande de ses soeurs qui ont sacrifié leur cheveux, de poignarder le prince pour retrouver sa queue de sirène. Au lever du soleil, elle devient écume de mer mais sa grande bonté fait qu'elle se hausse jusqu'aux esprits de l'air et acquerra dans trois cents ans une âme immortelle.
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![]() Un homme veuf, Prudent, élève sa fille Rosalie à l'écart du monde, pour lui ôter le désir de curiosité. Elle va avoir bientôt quinze ans. Il doit s'absenter et Rosalie ne doit pas entrer dans une maisonnette dans le jardin. Elle prend la clé et ouvre la porte ; une Souris grise en sort ; c'est la fée Détestable. Elle doit forcer Rosalie à succomber trois fois à la curiosité pour retrouver son apparence normale de fée. Elle change Prudent en statue. Rosalie se retrouve dans la forêt et est secourue par le prince Gracieux. Ils se marieront bientôt ; Rosalie ne doit par regarder sous la toile qui recouvre un arbre ; elle déchire la toile et le palais du prince s'écroule. Une vieille femme demande à Rosalie de garder une cassette sans l'ouvrir. Même si la Souris grise lui demande de l'ouvrir ; Rosalie refuse. C'est le jour de ses quinze ans ; la Souris grise ne peut plus rien contre elle ; sort de la cassette la reine des fées. Elle lui explique que le palais n'est pas détruit ; c'était une illusion. Elle ramène Rosalie au palais où son père et le prince Gracieux l'attendent.
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![]() Sur un bateau se dirigeant vers l'Afrique, un grand homme raconte deux anecdotes : cette fois où il avait pressentie la peur, dans le désert, traversant les grandes dunes, avec son ami et huit spahis. Un tambours s'était mis à battre au milieu de nulle part ; et son ami qui était tombé, foudroyé par une insolation. Puis, cette autre fois, où il avait réellement eu peur, dans la maison d'un garde-forestier. Ce dernier avait tué un braconnier qui était revenu le hanter. Et qui était revenu, cette fois où le narrateur se trouvait chez le garde-forestier. Celui-ci avait son fusil ; ses deux fils, des haches à la main ; les deux femmes pleuraient ; et ce vieux chien qui hurlait. On avait jeter l'animal à l'extérieur puis, contre la vitre du judas, s'était dessinée une tête blanche avec des yeux lumineux comme des fauves. Le lendemain matin, le vieux chien gisait, la gueule brisée d'une balle...
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![]() Le narrateur échange, à Piccadilly, avec un homme qui a des opinions qu'il partage lui-même... Mais surtout, les deux hommes sont de bons nageurs et adorent la natation. L'inconnu invite le narrateur à venir nager dans sa propriété du Devon. Il ne vont nager dans l'étang que le soir et, toujours, une chose sort des herbes pour glisser au fond de l'eau. Les nageurs reviennent en vitesse, essoufflés, apeurés. La troisième fois, le narrateur refuse d'aller nager, boucle sa valise et part. Un mois et demi plus tard, il apprend le décès de l'inconnu... qui était à moitié sorti de l'eau... les mains cramponnées aux branches...
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![]() Geraldine se remémore la première fois qu'elle est descendue sur le trottoir, pour des impératifs alimentaires, en montrant une vieille pièce de dix sous qu'elle a conservée dans un médaillon d'or bruni. C'était dans la rue Saint-Marc, un prêtre de la campagne d'une soixantaine d'année, qui semblait perdu ; elle lui avait proposé de le guider dans cette Paris qu'il ne reconnaissait plus. Pour la remercier, il lui avait offert dix sous...
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![]() En pays de Gascogne, et dans le temps (en 1547) où les amoureux n'avaient pas le temps aux honneurs (et vice-versa), vivait une jeune femme, Izoline, avec des cheveux moirés comme des ailes de corneille ; très belle et très pauvre. La baronne proposa à son fils Adalbert le plan que voici : elle influencerai le mariage entre Izoline et le vieux baron des Engrumelles ; Izoline deviendrait une riche veuve qu'Adalbert pourrait ensuite remarier. Tout se passa comme prévu sauf la venu d'un ami presque frère du baron, « le noble Miguel Antonio Etchegobar, un des rares Espagnols ayant le coeur d’un Français ». À partir de ce moment, le baron eut l'air réellement de rajeunir et sa jeune femme de s'épanouir. En effet, l'ami avait donné de la coca divine au baron dont on avait tiré un vin bienfaisant. Alors que la taille de la baronne s'arrondissait ; le regret assaillait l'ambitieux Adalbert.
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![]() Un plume et l'encre d'un encrier se disputent la paternité de l'oeuvre qui se retrouve sur papier. Et si c'était au poète ?
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![]() Un prince ne veut épouser qu'une vraie princesse. En arrive une par un temps de pluie. On lui donne un lit avec vingt matelas et vingt édredons sous lesquels est placé un petit poids. La princesse ne ferme presque pas l'oeil de la nuit car elle a senti le petit poids. Ça ne peut être qu'une vraie princesse.
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![]() La marâtre demande au tzar d'exiler sa fille. Dans le désert, dans les montagnes, sur une île déserte, enterrée vivante dans un tronc... Elle se retrouve au Japon, devient un vers à soi, puis papillon qui se met à pondre. Depuis le Japon cultive les vers à soie.
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![]() Un charbonnier cherche un parrain pour son 26e enfant, Charles, et le roi se propose. Il donne des écus et la moitié d'une platique que l'enfant devra lui rapporter à dix-huit ans. À dix-huit ans, Charles part pour voir le roi et n'écoute pas une vieille qui lui dit de ne pas boire de l'eau à une fontaine. Il en boit et un inconnu se sauve avec sa platine. L'inconnu va voir le roi et se fait passer pour son filleul. Charles arrive à son tour et l'étranger pour s'en débarrasser raconte au roi que Charles sait pourquoi le soleil est si rouge au lever. Charles doit partir à la demande du roi voir le soleil. En chemin, il rencontre un veillard qui lui donne un cheval de bois qui vole dans les airs et explique comment aller à la montagne où demeure le soleil. Sur la montagne, il est reçu par la mère du soleil qui le protège de son fils et Charles repart avec la réponse du soleil : il brille au rouge pour être aussi brillant que la Princesse de Tronkolaine. Charles doit repartir quérir la Princesse pour la marier au roi. Il rencontre le veillard qui lui dit de demander au roi trois bâteaux remplis de gruau, de lard et de viande salée qu'il donnera en chemin à des fourmis, des lions et des éperviers. Ces derniers expliquent comment aborder la Princesse et jetant une orange dans une fontaine. Lorsque Charles demande à la Princesse de l'accompagner, elle lui donne trois défis : ramasser et trier des graines de trèfles, chanvres..., de couper des arbres avec une hache en bois, de raser une montagne avec une pelle en bois. Charles fait appel aux fourmis, lions et éperviers pour relever les défis. La Princesse accompagne Charles et révèle au roi que l'inconnu est le diable. Le roi jette le diable au feu et la Princesse épouse Charles.
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![]() En Chine, dans une petite ville, un usurier est jaloux de l'enfant talentueux d'une veuve. Elle espère que son fils, Wang, mariera une princesse. Des années plus tard, un princesse surgit dans la chambre du garçon, où flotte une odeur de glycine ; ils partagent une passion commune : les dominos. Elle lui remet un coffre d'or et lui demande d'attendre un mois avant de construire une maison. Mais Wang ne peut attendre. Sur ce, il rencontre Yang qui lui remet une coupe d'argent et une figurine de jade. Ces objets ayant été volés ; Wang est arrêté. La princesse revient le voir et lui donne un talisman. Wang est en route pour paraître devant un juge ; ses gardiens sont mis en déroute. Qu'à cela tienne, il se présente devant le juge qui en conclut qu'il n'est pas coupable du vol. Yang cambriolera le vieil usurier ; Wang aura deux enfants avec la princesse, qui lui annoncera que sa vie sur la terre est terminée. Elle s'en ira avec ses enfants, laissant derrière elle des glycines en fleurs.
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![]() Un roi meurt et laisse à ses trois fils trois objets magiques : un sac toujours rempli de cent écus ; un cornet qui fait apparaître et disparaître cent mille hommes ; une ceinture qui vous transporte là où vous souhaitez être. Petit-Jean se sert de la ceinture pour aller voir la princesse du Tombozo, mais elle lui vole la ceinture. Les soldats du roi battent Petit-Jean qui retourne chez ses frères qui le battent à leur tour. Petit-Jean retourne voir la princesse pour racheter sa ceinture avec la bourse de cent écus, mais elle lui vole la bourse. Les soldats du roi battent Petit-Jean qui retourne chez ses frères qui le battent à leur tour. Petit-Jean retourne voir la princesse avec le cornet aux cent mille hommes pour obliger la princesse à lui redonner la ceinture et la bourse, mais elle lui vole le cornet et Petit-Jean est battu. Il s'en va et trouve des pommes et des prunes. Les pommes font pousser le nez ; les prunes le font rapetisser. Petit-Jean s'arrange pour que la princesse mange des pommes et que son nez s'allonge. Ensuite, déguisé en docteur, Petit-Jean donne des prunes en échange des trois objets mais il laisse la princesse avec un pied de nez.
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![]() Un prince veut épouser une princesse et il lui donne un rosier et un rossignol. La princesse est déçue ; ce qu'elle veut, ce n'est pas une vraie fleur ou un vrai oiseau. Le prince se déguise en porcher et la princesse veut sa marmite, sa crécelle, mais contre 10 et 100 baisers. L'empereur les surprend et les jette hors du royaume. La princesse pleur et le prince la laisse là pour s'en retourner dans son royaume.
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![]() Un roi et une reine ont une file qu'ils confient à une paysanne. Elle part en mer sur une barque avec la petite mais la paysanne se noie et la fillette se retrouve vivante sur une île habité par deux ogres, l'une magicien, l'autre fée. Ils veulent la marier, plus tard, à leur fils. Le neveu du roi, des années après, part à la recherche de la princesse et finalement la trouve. Ils s'enfuient avec la baguette magique de la fée ogresse. Ils se changent en rosier-rose, puis en barque-paysanne, puis en oranger-abeille et les ogres ne les retrouvent pas mais la baguette magique est perdu. Des années plus tard, le roi passe par là et trouve étrange cet arbre ; il fait appeler Merlin qui redonne leur apparence au neveu et à la princesse.
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![]() La puce arrive de la campagne ; la mouche arrive de la ville. La puce saute jusqu'à la ville ; la mouche s'envole pour la campagne.
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![]() Au début, les animaux n'avaient pas de queue. Le lion demanda aux animaux de se présenter à lui pour la distribution des queues ; les premiers arrivées ont eu les plus belles queues : cheval, renard, écureuil... Le chien et le chat se sont disputés et le chat a perdu un bout de queue que le lièvre s'est collé au derrière, d'où sa si petite queue.
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![]() Deux amis ont fait de l'argent suite à une affaire dans une mine d'or, Andy, le narrateur, et Mack Lonsbury. Ils se louent une maison pour se la couler douce. Mack demande des conseils à Andy sur les femmes, car Andy se vante de connaître la gente féminine sous toutes les coutures. Andy doit aller régler une affaire de mine d'or à New-Mexico. À son retour, deux mois plus tard, Mack est devenu juge et doit se marier avec une jeunesse de dix-neuf ans. Il convainc la jeune femme de ne pas se marier avec Mack, mais plutôt avec un ami à elle, à 5 heures de l'après-midi, au lieu de 7 heures, et il leur donne mille dollars pour se partir un fond de commerce. En revenant, son ami Mack, qui est juge, a célébré le mariage des deux tourtereaux et lui apprend que ...
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![]() Un sorcier fabrique un miroir magique qui enlaidit la vie. Le miroir se brise en milliard de morceaux et un garçon, Kay, en reçoit un morceaux dans l'oeil et son coeur se durcit : il voit maintenant "petit et laid" ce qui était "beau et grand". Puis, la Reine des Neiges attache le traîneau du garçon derrière le sien et l'emmène dans son royaume. Une fillette, Gerda, part à la recherche du garçon et dérive en bateau sur une rivière. Une magicienne l'héberge et lui fait perdre la mémoire, mais la fillette la retrouve en voyant une rose. Elle repart à la recherche du garçon... Elle recontre une corneille qui lui dit que le petit garçon est maintenant marié à une princesse. Mais rendue au château, elle constate que ce n'est pas le garçon qu'elle connaît. Elle repart dans un carosse mais se fait attaquer par des brigands. La fille de la vieille brigande sauve la vie à Gerda et l'aide à s'enfuir avec un renne vers la Laponie, puis au Finmark où une femme finnoise explique que Gerda a tous les pouvoirs en elle pour vaince la Reine des Neiges et sauver Key. Une armée d'anges aident la fillette à combattre les flocons de neige effrayants. Gerda entre dans le château alors que la Reine des Neiges est absente. Elle pleure et ses larmes touchent le coeur de Kay et l'éclat du miroir coule hors de l'oeil du garçon. Les enfants partent et sont portés par des rennes jusqu'à la femme finnoise, puis à la femme lapone, puis ils retrouvent le cheval du carosse et la fille des brigands, et reviennent enfin chez-eux.
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![]() L'autruche était la reine des oiseaux, mais l'aigle a protesté : elle ne sait même pas voler. Que celui qui vole le plus haut deviennent le roi. Et l'aigle est monté haut, mais un troglodyte qui s'était caché dans le plumage de l'aigle est celui qui est allé vraiment plus haut. Or, le troglodyte a refusé d'être roi comme il a refusé que ce soit le stupide aigle. Et c'est ainsi que l'autruche est restée la Reine des Oiseaux.
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![]() Le roi Phénix et la reine Fantasque veulent un enfant. Enfin, la reine tombe enceinte. Elle veut une fille ; Phénix veut un garçon. La fée Discrète dit au roi qu'il aura un garçon et à la reine qu'elle aura une fille. Finalement, la reine accouche de jumeaux ressemblants. La fée offre des dons pour les enfants. Le roi prend la fille ; la reine le garçon. Elle dit au roi que le garçon aura le don contraire à la fille. Le roi veut que la fille ressemble au caractère de sa mère ; le fils aura le caractère se son père. On les appellera le prince Caprice et la princesse Raison. Or, voilà que le roi croyait avoir saisi la fille alors qu'il tenait le garçon, et la reine la fille. Le prince deviendra le roi Raison et gouvernera avec « raison » ; la princesse Caprice se mariera avec un roi, car il portait la plus long moustache...
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![]() La rempailleuse a été élevée dans la misère, la solitude. Ses parents rempaillaient les chaises de bourgs en bourgs. Une fois, elle aperçoit un petit bourgeois qui pleure, car il s'est fait dérobé son argent. Elle lui donne le sien, l'embrasse, puis s'enfuit. Au fil des rencontres, elle lui donne ses gains contre la permission, toujours, de l'embrasser, de le cajoler. Un jour, le garçon part pour le collège. Un autre jour, il devient pharmacien et se marie. C'est le drame pour la rempailleuse qui essaie de se suicider, sans y arriver. Elle meurt et communique ses dernières volontés : son avoir et son argent, deux mille trois cents francs, vont au pharmacien. Dans un premier temps, lui et sa femme sont outrés qu'un gueuse puisse l'avoir aimé, lui, un bourgeois. Mais lorsqu'ils prennent connaissance de la petite fortune, sans scrupule, ils prennent possession de l'argent !
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![]() Une veuve et ses deux filles accueillent deux inconnues, une fillette et une femme plus âgée, alors que l'orage se déclare. L'une des filles juge les gens à leurs habits ; l'autre à leur coeur. Or, les deux inconnus sont « ordinairement » habillés ; la fille porte une robe en guingan. On apprendra plus tard que la fillette était la fille de Son Altesse Royale. Les deux filles recevront un mot de la princesse, l'un de remerciement, l'autre de remontrance.
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