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Les deux Gels | ± 2 pages | Léon Tolstoï Deux « Gels » aiment à jouer et à geler paysages et humains. L'un s'attaque à un barine bien habillé ; l'autre à un moujik mal vêtu. À la fin de la journée, ils se racontent leur aventure. Le premier a facilement geler le barine tandis que l'autre n'est pas arrivé au but du moujik qui l'a battu à coups de bâton. |
Les deux Juifs | ± ½ page | Léon Tolstoï Deux Juifs qui sont frères sèment en commun, et partagent la récolte. Mais l'un se dit que son frère est plus dans le besoin que lui, et va dans la nuit mettre un peu de son blé avec celui de son frère. L'autre raisonne identiquement, et va aussi mettre du blé avec celui de son frère. Les parts restent par conséquent égales, et les frères vécurent en bon amis. |
Les deux marchands | ± ½ page | Léon Tolstoï Un pauvre marchand laisse chez un marchand riche son fer. Lorsqu'il veut le reprend, le riche affirme que des souris ont mangé le fer. Le pauvre enlève le fils du riche, et lui raconte qu'un épervier a enlevé son enfant. Le riche n'y croit pas. Le pauvre dit que c'est aussi vrai que des souris mangent du fer. Le riche paie au pauvre son fer ; le pauvre redonne l'enfant au riche. |
Les deux orphelines ou La discrétion | ± 4¾ pages | Jean-Nicolas Bouilly Deux orphelines sont adoptées par M. et Madame de Saintène. Isaure est discrète ; Célina a la manie d'être curieuse et bavarde. Son père adoptif la remet à sa place alors qu'elle médit sur les agissements d'un valet. Une autre fois, elle fait tomber un buste qui se brise ; Isaure prend sur elle l'accident ,mais le père adoptif ne veut la voir paraître devant lui. Célina ira avouer sa faute... |
Les deux voisins | ± 8¼ pages | Paul Stevens Deux voisins, distants de deux arpents, se parlent à l'occasion. Ils ont trois filles chacun, un garçon, et une femme. L'un, Jean-Baptiste, regorge de proverbes (« Crains la sotte économie comme la sotte dépense »), économise et est prévoyant. L'autre, Pierre, conduit par sa femme, dépense à gauche et à droite car ses filles, dit-elle, se marieront à des princes et leur fils sera avocat. Les trois filles de Jean-Baptiste se marient, au mieux ; le fils revient d'Europe, s'est marié à son tour et exploite la terre paternelle. Mais du côté de Pierre, les filles ne sont toujours pas mariées car ... « Pour avoir plu à tout le monde, elles ont fini par ne plaire à personne. » ... Et leur fils, trop paresseux pour finir ses études, est parti « végéter » en Californie... Pierre et sa femme ont vendu leur belle maison pour vivre dans une maison de pension... |
Les devoirs de l’hospitalité | ± 7¼ pages | Jean-Nicolas Bouilly Deux amies, Estelle et Mélanie, sont pensionnaires et se lient d'amitié. Un jour, Mélanie invitera Estelle à la maison des ses parents. Or, Estelle chante mieux, joue du piano facilement, excelle dans les proverbes. Mélanie devient jalouse ; son amour-propre est touché. Estelle décide de mieux faire paraître son amie en s'habillant modestement, en chantant et en jouant du piano « modérément ». Son père s'en apercevra et obligera sa fille à redevenir ce qu'elle est : meilleure que son amie. |
Les diables cornus | ± 4 pages | Charles Quinel 1535. Cartier revient pour la 2e fois au Canada. Avec Donnaconna, sur L'Emerillon, il descend le fleuve vers Hochelaga, même si le chef Huron est en désaccord avec ce voyage. En chemin, Blancs comme Sauvages prennent peur : des génies, des diables cornus s'approchent de la caravelle. Cartier ordonne de charger deux petits canons ; Donnaconna intervient : ces diables, dans la barque, sont ses deux fils. |
Les fées | ± 1½ page | Charles Perrault Une veuve a deux filles ; l'une désagréable, l'autre honnête. La seconde va à la fontaine et donne à boire à une pauvre femme qui est une fée ; en cadeau, elle reçoit le don qu'à chacune de ses paroles sortiront des fleurs ou des pierres précieuses. La fille désagréable y va à son tour et reçoit pour sa méchanceté le don qu'à chacune de ses paroles sortiront des serpents ou des crapauds. La fille honnête épouse la fille du roi et l'autre est chassée par sa propre mère. |
Les Fées de la butte aux Guenas | ± ½ page | Adolphe Orain Deux paysans rencontrent des fées ; le premier remplit ses poches ; l'autre va chercher une charrette mais il revient trop tard. |
Les femmes cygnes de la mer | ± 2¼ pages | Douglas Hyde Un garçon, sur le bord de la mer, aperçoit trois cygnes. Il prend une planche de bois, et les suit sur l'eau, si bien qu'il se retrouve au milieu de la mer. Il tombe à l'eau, et se réveille dans un château, sur un lit de plume. Trois dames l'invitent à rester auprès d'elles, mais il ne pourra plus retourner parmi les siens. Cinq ans plus tard, il s'ennuie. Un vieille lui promet de l'amener chez lui, s'il l'épouse ; il refuse. En remerciement, les trois dames le conduiront alors sur le rivage ; il voit les trois cygnes qui plongent sous l'eau pour disparaître. Il retrouve ses parents qui manifestent leur bonheur au retour de leur fils unique. Lui veut repartir, mais ne sait pas comment s'y prendre. Il attend sur le bord de l'eau, pleurant souvent, jusqu'à sa mort. |
Les feux follets | ± 1½ page | Tradition Orale Le père Dargis par de Trois-Rivières pour aller faire moudre son blé. Ce n'est pas un peureux ; il part après le coucher du soleil. Mais au milieu du fleuve, les feux follets arrêtent son canot. Ils les traitent de "snoros de bécosse". Les feux-follets le raccompagnent sur le bord de la rive mais le contrôlent. Depuis, il est devenu... peureux. |
Les feux-follets | ± 1½ page | Tradition Orale Le père Dargis n'a pas peur des feux-follets et traverse le fleuve Saint-Laurent à la nuit tombée. Les feux-follets arrivent et « reconduisent » l'homme sur l'autre rive. Le père Dargis est ensuite ensorcelé par les feux-follets, qui le font danser ; c'est le meunier qui le délivre. À son retour chez lui, le père Dargis est devenu peureux. |
Les fi-follets | ± 6 pages | Charles Quinel Près de Trois-Rivières, un homme a trois filles à marier, et un fils. Les célibataires du coin vont plaire aux jeunes filles. La plus jeune, Henriette, aime bien Jean Lautier qui se vante un peu trop au goût des autres jeunes gens. Mais Jean est peureux et est effrayé à l'idée de rencontrer des feux-follets. Le frère d'Henriette, Eugène, qui n'aime pas Jean, décide de lui jouer un tour et invente cette histoire qui dit, lorsqu'on rencontre des feux-follets, qu'il faut laisser derrière soi, par terre, l'objet qu'on a sur soit et qui a plus de valeur, pour conjurer les feux-follets. Jean Lautier laisse sa chaîne en or et, ses les deux amis qui l'accompagnent, un couteau et un montre ; Henriette apprend cette histoire et se désintéresse de Jean et choisit un autre garçon pour se marier. Jean Lautier recevra plus tard un paquet et une note l'accompagnant : sa chaîne en or et une lettre des ... feux-follets. Mais comprend-t-il vraiment qu'on lui a joué un tour ? Avec un peut de poudre imbibée d'esprit-de-vin ? |
Les fleurs de la petite Ida | ± 5¼ pages | Hans Christian Andersen Les fleurs vont au bal. Un étudiant raconte cette histoire à la petite Ida qui est témoin de la danse des fleurs la nuit suivante. |
Les habits neufs de l'empereur | ± 3½ pages | Hans Christian Andersen Un empereur se fait faire des habits neufs par des escrocs ; ces vêtements ne seront visibles que pour les personnes intelligentes et seront invisibles pour les idiots. Le ministre ne les voit pas mais fait semblant, tout comme le fonctionnaire et l'empereur et les membres de sa suite, et les courtisans. C'est un enfant qui crie, dans son innocence, que l'Empereur est sans vêtement. |
Les Jambes de bois | ± ½ page | Tradition Orale Le narrateur raconte la fois où il a rencontré un vilain qui avait deux jambes de bois. L'autre en était content car il n'avait plus besoin de bas, ni de souliers, plus d'épines dans les pieds, plus de morsures aux jambes... À se donner envie de se faire couper les jambes ! |
Les lianes | ± 1 page | Tradition Orale Dans la forêt vierge, les lianes se plaignaient que les arbres les négligeaient car elles rampaient au sol. Un jour, un arbre s'est penché et a demandé à la liane de recourber sa branche. La liane a été incapable de le faire mais s'est agrippée, puis enroulée, suivi par toutes les lianes. C'est depuis ce temps-là que règne une obscurité humide et verdâtre dans la forêt. |
Les marais de sel | ± 1½ page | Tradition Orale Les Ayayonga préféraient casser le sel plutôt que cultiver les terres et s'occuper du bétail. Un vieillard les avertit que leur dieu n'était pas content de leur négligence. Les hommes le lapidèrent avec des blocs de sel ; le dieu couvrit alors le ciel de nuages et inonda de ses larmes le pays des Ayayonga. C'est depuis ce temps qu'à la place des champs et des pâturages s'étendent de marais à perte de vue. |
Les noces d'or | ± 8¾ pages | Albert Laberge Le père Julien Mattier, qui a économisé toute sa vie, qui a forcé ses enfants à économiser, à se priver de nourriture, à ne point fréquenter l'école, à travailler dès que cela fut possible, pour leur prendre leur salaire... le père Julien Mattier fête ses noces d'or et espère bien que ses enfants lui feront des beaux cadeaux, car le notaire vient de l'informer qu'il doit débourser six cent piastres pour sa troisième hypothèque, et cet argent, il ne l'a pas. Or, le garçon a fait de prison, l'une des trois filles doit « faire travailler le bas pour nourrir le haut », l'autre donne son salaire à son paresseux d'amant, et la troisième loue des chambres et vit avec un des pensionnaires. Ses enfants se présentent, mais le père Julien Mattier, grisé par gin, dispute ses enfants ; ils s'en iront pour ne plus revenir. |
Les pêches | ± 1½ page | Léon Tolstoï Un homme offre des pêches à ses quatre fils et à sa femme. Le premier conserve le noyau pour faire pousser un arbre. Le second mange la pêche et la moitié de celle de sa mère, et jette le noyau. Le troisième mange l'amande dans le noyau et vend sa pêche. L'autre la donner à un pauvre. L'un sera jardinier ; l'autre est tout jeune ; l'autre sera marchand ; quant au quatrième, Dieu le lui rendra. |
Les pierres de Plouhinec | ± 4¾ pages | Charles Émile Souvestre C'est l'histoire de Bernèz qui est amoureux de Rozenn mais le frère de la belle refuse leur union car Bernèz est trop pauvre. Lors d'une soirée, un mendiant sorcier, demande l'hospitalité ; on lui donne à manger et l'étable pour dormir. Il entend une étrange conversation entre un âne et un boeuf (c'est la nuit de Noël) à propos de grosses pierres qui vont boire et qui reviennent à leur place. Sous elles, il y a des trésors et on peut les avoir en se protégeant avec une branche de l'herbe de la croix entouré de trèfle à cinq feuilles. Le sorcier, accompagné de Bernèz, va sur les lieux (avec l'idée de sacrifier Bernèz, car il faut qu'un chrétien meurt pour satisfaire le diable). Bernèz était à tracer un croix sur une pierre, lorsque le sorcier est venu le chercher. Les deux vont sur les lieux, prennent de l'or et de l'argent, et repartent mais les pierres sont déjà de retour. Alors que Bernèz est sur le point de se faire écraser, la pierre marquée d'une croix le protège ; puis elle reprend sa place et écrase le sorcier. Son talisman païen ne fonctionne plus ; avec la croix, elle est devenue chrétienne. Bernèz s'en retourne, riche, et épouse Rozenn. |
Les pionniers canadiens | ± 22½ pages | Henry-Raymond Casgrain Le récit se déroule à Détroit vers 1780, à l'époque des pionniers canadiens - où ils étaient à la fois prêtres, laboureurs et soldats - et des Indiens qu'on nommait Sauvages. Un jeune officier arrive au fort de M. Du Perron Baby. Il demande à Mademoiselle Baby la raison la cause de son malheur. Elle raconte qu'hier, une bande de Sauvages à moitié ivres (il y avait des postes des pelleteries à Détroit) étaient dans cette même maison, avec une jeune femme prisonnière, qui lui a conté son histoire : les Sauvages avaient tué son mari dans les champs et pris son scalp, après que celui-ci aie tué sept des leurs, pour ensuite tuer l'enfant de sa soeur, en lui brisant le crâne sur le poêle, et fendu la tête de la jeune mère d'un coup de hache. Et ils étaient repartis avec cette femme... Le jeune officier intervient en disant qu'il venait de chasser un Potowatomis, à coups de pied ; Mademoiselle Baby lui reproche son geste, car les Sauvages n'oublient jamais une injure, et se vengent toujours. Quelque temps plus tard, l'officier se réfugie chez les Baby, alors que le surintendant est parti. Madame Baby cache l'officier, mais il choisit plutôt de s'enfuir ; il est poursuivi par les Potowatomis qui le rattrapent, le ligotent et lui tranchent la gorge, pour recevoir le sang dans une chaudière. De retour à la maison, ils veulent forcer Madame Baby à boire le sang, pour finalement lui barbouiller la visage. Plusieurs mois après, Mademoiselle Baby voit une ombre dans le jardin, et elle reconnaît le Potowatomis qui a tué l'officier ; il est coincé dans un soupirail et un serpent à sonnette le mort au visage. Il attrape le serpent et le tue avec ses dents, mais il est trop tard, le poison tue le Sauvage. |
Les plaines d’Abraham | ± 4½ pages | Charles Quinel En 1758, les Français de la Nouvelle-France résistent toujours aux Anglais, grâce aux Vaudreuil, Montcalm, Lévis... Mais en 1759, le général Wolfe, avec des vaisseaux, frégates, navires et surtout dix-huit mille hommes, se présente devant Québec. Pendant deux mois, les Anglais bombardent la ville ; trois mille coups de canons ! Puis les Anglais débarquent à l'anse du Foulon, trompent les sentinelles françaises et gagnent les plaines d'Abraham. Cinq mille Anglais d'un côté ; près de quatre milles Français et Canadiens de l'autre. Mais les Canadiens, inhabitués à combattre à découvert, sont surpassés. Wolfe est tué d'une balle ; Montcalm est blessé mortellement, et meurt deux jours plus tard. |
Les premières armes de George Washington | ± 1½ page | Charles Quinel En 1754, c'et la guerre en la France et l'Angleterre, entre les Canadiens de la Nouvelle-France qui s'étendait quasiment sur un continent et les colonies britanniques. On envoie Jumonville à la rencontre des Anglo-Américains avec le drapeau parlementaire et la trompette d'usage pour « parlementer » ; mais les Anglo-Américains, commandés par George Washington, le transpercent à mort à coups de baïonnettes. Le frère de Jumonville, avec six cents miliciens, attaquent par la suite les Britanniques qui sont vaincus, humiliés et forcés de capituler. |
Les quarante voleurs | ± 3¾ pages | Adolphe Orain Un paysan s'aventure dans une forêt et se cache dans un arbre. Des brigands prononcent des paroles et un rocher se déplace. Ils y cachent le produit de leur vol et repartent. Le paysan va dans le souterrain et prend de l'argent. Son frère veut faire la même chose mais il est pris, tué et coupé en deux. Le paysan découvre son frère et le fait recoudre pour l'enterrer. Les voleurs trouvent la maison du paysan et la marquent d'un "x". La servante marque les maisons avoisinantes. Les voleurs reviennent cachés dans des tonneaux. La servante les fait périr avec de l'huile bouillante. Le chef des voleurs revient mais la servante le reconnaît et le tue d'un coup d'épée. |
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