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55 contes correspondent au pays Russie ; en voici quelques-uns (maximum 50).
Belle la gagne, Belle la dépense | ± 2¾ pages | Léon Tolstoï Un pauvre passeur rêve d'avoir plus et s'en plaint à Dieu. Un jour, un gendarme vient l'avertir que son oncle est mort, et que le passeur est riche car il est l'héritier. Or, le commerce demande des connaissances et ses nouveaux amis essaient de le tromper. Il se met à boire et laisse tomber la lampe qui met le feu à la maison. Il a tout perdu mais a le coeur léger. Il retourne dans son village à pied ; il redevient passeur, sans plus demander quoi que ce soit à Dieu. |
Cambyse et Psamménite | ± ½ page | Léon Tolstoï Le roi de Perse a fait prisonnier le tzar. Il fait mettre à mort ses filles et son fils, mais le tzar reste imperturbable. Or, le tsar pleure lorsqu'on veut s'en prendre à son ami, ce qui touche le roi qui ordonne de le gracier. |
Comment Emelka Pougatchev me donna une pièce d’argent | ± 2 pages | Léon Tolstoï La narratrice se remémore cette fois où elle était enfant et que le brigand Pougatchev est arrivé dans leur demeure. Son père et sa mère étaient partis chercher des Cosaques pour défendre l'endroit. La niania avait déguisé l'enfant déguisa en paysanne pour que Pougatchev ne se doute pas qu'elle soit la fille d'un noble. En repartant, le Cosaque donna à l'enfant une pièce de dix kopeks. Plus tard, on appela l'enfant la « fiancé de Pougatchev ». La niania refusa, quant à elle, d'être affranchie... |
Comment le Moujik partagea l'oie | ± 1½ page | Léon Tolstoï Un pauvre moujik partage une oie. La tête pour le barine, le père, le derrière pour la mère, les pattes pour les fils, les ailes pour les filles, et le reste pour lui. Il partage ensuite les cinq oies qu'un riche moujik ne sait partager. Une pour le barine et la barinia pour faire trois, une pour les eux fils pour faire trois, une pour les deux filles pour faire trois, et deux pour lui pour faire ... trois ! |
Comment un moujik fit disparaître un bloc de pierre | ± ½ page | Léon Tolstoï Alors que des ingénieurs évaluent à un prix exorbitant le déplacement d'un bloc de pierre, un moujik propose de ... l'enterrer. |
Comment un voleur se trahit | ± ½ page | Léon Tolstoï Un voleur est au grenier ; le marchand et son domestique y monte pour l'inspecter. Le voleur est bien caché éternue et se fait attraper. |
Histoire d'un moineau | ± 1½ page | Léon Tolstoï Des enfants voient un moineau avec ses petits dans un nid ; mais la mère est retrouvée morte. Les enfants décident d'élever les oisillons qui, chacun leur tour, vont mourir. Le cinquième, pourtant, avait l'air en santé, allait dehors, revenait à la maison, et répondait à son nom : Jivtchik. |
Il était une fois trois arbres... | ± 1½ page | Tradition Orale Trois arbres rêvent de grandeur et de puissance : le premier rêve d'être un coffre au trésor, le second un bateau solide, le troisième le plus grand des arbres pour être le plus proche du ciel. Trois bûcherons coupent les arbres : le premier devient une mangeoire pour les animaux, le second une barque, le troisième des pièces de bois. Puis, au fil du temps, un couple installe leur enfant dans la mangeoire. L'enfant, devenu homme, est dans la barque et calme la tempête. Puis l'homme est cloué sur les pièces de bois élevées en croix. Chaque arbre a eu ce dont il avait rêvé, d'une manière différente... |
Ivan le petit sot | ± 22½ pages | Léon Tolstoï Un père a trois fils : Semione la Bataille, Tarass le Ventru, Ivan l'Imbécile. Le premier obtient un haut grade mais revient chez son père demander le tiers du Domaine. Ivan le sot accepte. Le second devient marchand et revient chercher son tiers. Le vieux démon n'est pas content que les frères ne se disputent pas et il envoie trois diablotins. Le premier cause la perte de Semione la Bataille contre le roi de l'Inde. Le second cause la perte de Tarass le Ventru en l'endettant. Mais le troisième ne vient pas à bout de Ivan le sot qui oblige le diablotin à le guérir en lui donnant trois ramilles ; Ivan prononce le nom de Dieu et le diablotin s'enfonce dans la terre. Semione la Bataille revient vivre chez son père. Le second diablotin essaie de décourager Ivan mais ce dernier l'oblige à lui fabriquer des soldats qui chantent en secouant une botte d'avoine et le diablotin s'enfonce dans la terre. Tarass le Ventru revient vivre chez son père. Le troisième diablotin essaie à son tour de dérourager Ivan l'oblige à lui donner de l'or en frottant une feuille de chêne et le diablotin s'enfonce dans la terre.
Ivan fait chanter ses soldats au village et distribue de l'or et ses frères l'apprennent. Semione la Bataille repart avec des soldats pour faire la guerre ; Tarass le Ventru repart avec de l'argent pour commercer. Mais Ivan refuse d'en donner une seconde fois ; car l'un tue et l'autre appauvrit. Les deux frères deviennent tsars. Avec la deuxième ramille, Ivan guérit un vieux chien ; avec la troisième, une mendiante au lieu de la fille du tsar. Ivan guérit la tsaverna par sa présence et ils se marient. Mais Ivan préfère le travail à la richesse et sa femme fait comme lui. Toutes les personnes intelligentes quittent le royaume et seuls restent les imbéciles.
Le vieux démon décide à son tour de se venger. Il cause la perte de Semione la Bataille contre le roi de l'Inde et de Tarass le Ventru qui ne peut plus rien acheter même s'il est riche. Il s'essaie avec Ivan. Le vieux démon veut enrôler les villageois contre de l'alcool, mais les imbéciles éclatent de rire. Il veut les enrôler de force ; c'est un échec. Le vieux démon s'allie au roi des cafards mais ses soldats ont honte de brûler, piller, tuer des imbéciles qui ne se défendent pas et qui les nourrissent.
Le vieux démon change de tactique ; il distribue de l'or mais les imbéciles la donnent à leurs enfants pour qu'ils jouent. Le vieux démon veut manger et on lui indique la maison de la soeur de Ivan. Elle donne à manger à ceux qui ont les mains calleuses avant tout et le vieux démon passe en dernier. Il veut alors instruire les villageois car le travail cérébral dit-il accomplit de plus grands choses que celui manuel. Mais à la fin, le vieux démon tombe de l'escalier et sa tête s'enfonce dans le sol.
«Oh! s'écria Ivan. L'homme honnête disait la vérité. Il arrive que la tête éclate. Il s'agit bien de cals ! Travailler du cerveau vous donne des bosses sur le crâne!» Morale : «Il faut avoir les mains calleuses pour s'asseoir à notre table. Qui ne les a pas ne mange que les restes.» |
L'habit neuf du Tzar | ± ½ page | Léon Tolstoï Le tzar se fait faire de beaux habits qui ne sont visibles que par les personnes intelligentes ; les sots ne les voient pas. Le tzar se promène dans la ville lorsqu'un innocent s'écrie : « Le tzar se promène déshabillé ! » |
L'Indien et l'Anglais | ± ½ page | Léon Tolstoï Un Indien raccompagne un Anglais près du camp anglais, alors que ce dernier a tué le fils du premier, et tuera sans doute les siens. |
La couleuvre | ± 1½ page | Léon Tolstoï Une couleuvre accepte de se retirer de la chemise de Mascha, un fillette, à la condition que cette dernière l'épouse. La semaine suivante, une légion de couleuvres viennent prendre la fillette à sa mère. Longtemps après, Mascha revient avec un enfant et un bébé ; sa mère lui demande de rester, mais Mascha va retourner avec la couleuvre. La mère va sur le bord de l'eau, appelle la couleuvre et la tue d'un coup de hache. Mascha, de retour sur à la rivière, comprend que la couleuvre est morte. S'il n'y a plus de père, il n'y aura plus de mère, dit-elle à ses enfants. Sa fille devient hirondelle ; le fils rossignol ; elle coucou. |
La peine rigoureuse | ± ½ page | Léon Tolstoï Un homme achète un morceau de boeuf qui ne fait pas le poids. Il se plaint au tsar qui lui demande que châtiment appliqué : prélever sur le dos du marchand fautif la quantité de chair dont il a fait tord... |
La petite fille aux champignons | ± ½ page | Léon Tolstoï Deux fillettes vont cueillir des champignons et se retrouvent sur la voie ferrée lorsqu'un train surgit ; l'aînée dit à la plus jeune de ne pas retourner en arrière et de laisser les champignons. La plus jeune retourne en arrière et s'accroupie pour ramasser ses champignons. Le train passe... L'enfant qui étendue, par terre, se relève, et finit de ramasser ses champignons. |
La princesse aux cheveux d'or | ± 1 page | Léon Tolstoï La marâtre demande au tzar d'exiler sa fille. Dans le désert, dans les montagnes, sur une île déserte, enterrée vivante dans un tronc... Elle se retrouve au Japon, devient un vers à soi, puis papillon qui se met à pondre. Depuis le Japon cultive les vers à soie. |
La puce et la mouche | ± ½ page | Léon Tolstoï La puce arrive de la campagne ; la mouche arrive de la ville. La puce saute jusqu'à la ville ; la mouche s'envole pour la campagne. |
La souris petite fille | ± 1½ page | Léon Tolstoï Un paysan trouve une souris ; il souhaite qu'elle se transforme en fillette, ce qui arrive. Lorsqu'elle est grande, elle veut épouser le plus fort. Ce n'est ni le soleil, les nuages, le vent, la montagne mais le rat qui ronge. Il souhaite que sa fille se transforme en souris. |
Le chien enragé | ± 1 page | Léon Tolstoï Un barine achète un chien et le nomme Droujok. On l'amène à la chasse. Il garde la maison. Il joue avec les chiens. Un jour, il sauve un enfant qui allait être attaqué par un autre chien, la gueule remplie de bave. Droujok a été mordu ; il a la rage. Le barine est incapable de tuer son chien ; il fait appel à un chasseur. |
Le gilet | ± ½ page | Léon Tolstoï L'employé d'un moujik lui vole vingt mille roubles ; le moujik refuse de le déporter car l'employé avait prêté son gilet au moujik lors de son mariage, alors qu'il n'avait rien pour se vêtir. |
Le héron, les poissons et l'écrevisse | ± ½ page | Léon Tolstoï Un héron fait croire aux poissons qu'on videra l'étang et offre de les transporter, l'un à la fois, dans un autre étang. C'est le tour de l'écrevisse qui voit, dans le champ, les arêtes de poissons ; il serre de ses pinces le cou du héron et l'étrangle. |
Le juge habile | ± 2¾ pages | Léon Tolstoï Un émir se costume en marchand pour voir comment un juge, d'une bonne renommée, s'y prend pour établir ses jugements. Le juge a su comment une femme était celle d'un savant et non d'un moujik, car elle savait comment nettoyer un encrier. Il a su à qui appartenait l'argent entre un marchand d'huile et un boucher, car l'argent n'était pas entaché d'huile. Il a su à qui appartenant un cheval entre un marchand (qui était l'émir) et un mendiant, non pas au fait que les deux hommes pouvaient reconnaître le cheval entre vingt, mais au fait que le cheval avait reconnu le marchand. |
Le jugement du renard | ± ½ page | Léon Tolstoï Un moujik va voir le renard qui est juge et porte plainte contre le mouton qui aurait mangé deux poules. La décision tombe : coupable ; la chair au tribunal, la peau au moujik. |
Le lion et le chien | ± ½ page | Léon Tolstoï On jette dans la cage d'un lion un petit chien pour qu'il soit mangé ; or, le lion se lie d'amitié avec le chien. Un an plus tard, lorsque le chien meurt, le lion reste immobile pendant cinq jours, pour mourir le sixième jour. |
Le loup dresse ses petits | ± ½ page | Léon Tolstoï Un vieux loup fait porter par un jeune loup le mouton qu'il vient de tuer ; lorsque les hommes les prennent en chasse, le vieux loup reprend le mouton. |
Le Moujik et le cheval | ± ½ page | Léon Tolstoï Un moujik par pour la ville pour acheter de l'avoine pour son cheval ; ce dernier se demande pourquoi avoir voyagé alors qu'il eut été bon de rester tout bonnement à la maison. |
Le Moujik et l’esprit des eaux | ± ½ page | Léon Tolstoï Un moujik perd sa hache dans l'eau ; l'esprit des eaux lui présente une hache d'or qu'il ne reconnaît pas comme sienne, ni une hache d'argent. Puis il reconnaît sa propre hache. L'esprit des eaux lui donne les trois haches pour sa franchise. Un autre moujik fait la même expérience mais il reconnaît la hache d'or comme sienne alors que ce n'est pas le cas ; il n'en aura aucune. |
Le mouvement perpétuel | ± 1½ page | Léon Tolstoï Un moujik n'écoute par un barine, qui lui explique l'impossibilité du mouvement perpétuel, et emprunte de l'argent pour construire un moulin, et se ruine, en fin de compte. Le barine l'engage pour construire de simple moulins. |
Le partage de l'héritage | ± ½ page | Léon Tolstoï Deux fils se partagent l'héritage laissé par leur père ; ne s'entendant par sur le partage, ils demandent conseil au voisin qui leur dit de déchirez en deux les habits, des casser la vaisselle... A la fin, il ne reste plus rien. |
Le plus bel héritage | ± ½ page | Léon Tolstoï Le père décide de donner à l'aîné tout son avoir à sa mort ; la mère est désespérée, mais un pèlerin lui conseille de tout dire aux deux fils. Le cadet part s'instruire ; l'aîné attend son héritage. À la mort du père, l'aîné, ne sachant rien faire, dilapide son bien, alors que le cadet s'enrichit de son savoir. |
Le requin | ± 1 page | Léon Tolstoï Sur les côtes d'Afrique, deux enfants se baignent dans la mer. Un requin surgit. Les hommes du navire n'atteindront pas les enfants avec la barque avant le requin. L'artilleur sort de sa torpeur, tire du canon... et le requin est mort ! |
Le rôle le plus difficile | ± 1½ page | Léon Tolstoï Un homme prend le rôle de sa femme ; elle prend celui de son mari et va au champ. Mais l'homme est incapable de « tenir maison » ; la poule et les poussins sont emportés par un Milan, il a renversé le beurre, les chiens ont mangé la crème, les cochons ont renversé le pétrin et le millet... La femme, elle, a bien labouré le champ... |
Le saut | ± 1½ page | Léon Tolstoï Sur un navire, un singe enlève le chapeau du garçon du capitaine, et monte en haut du mât. L'enfant le suit jusqu'en haut ; là, il manque de tomber. Son père vise l'enfant avec un fusil et lui ordonne de plonger à l'eau, en comptant à trois ; ce que fait l'enfant. On le repêche ; il crache de l'eau et commence à respirer. |
Le Tzar et la chemise | ± ½ page | Léon Tolstoï Si le tzar porte la chemise d'un homme heureux, il guérira. On finit par trouver un homme heureux mais il est tellement pauvre qu'il n'a pas de ... chemise. |
Le valet du diable | ± 1½ page | Léon Tolstoï Le diable s'allie un valet pour mettre en colère un maître qui traîte avec respects ses domestiques. Le maître se doute du subterfuge et le diable perd la face. |
Le Vizir Abdoul | ± ½ page | Léon Tolstoï Le Vizir convoque un homme que son voisin a dénoncé et lui dit qu'il a un mauvais voisin car il l'a dénoncé. |
Les deux frères | ± 1½ page | Léon Tolstoï Deux frères découvrent, dans la forêt, une pierre sur laquelle est écrit : celui qui suit son chemin, trouve une rivière, prend les oursons à l'ourse, se sauve dans une montagne, trouvera le bonheur dans une maison. L'un des frère est sceptique et a peur du danger ; l'autre suit les consignes et devient tzar pour cinq années. Il est déchu et va retrouver son frère ; ils se racontent leurs histoires. Ni un ni l'autre regrettent : l'un a vécu sans tracas ; l'autre est déchu mais a des souvenirs... |
Les deux Gels | ± 2 pages | Léon Tolstoï Deux « Gels » aiment à jouer et à geler paysages et humains. L'un s'attaque à un barine bien habillé ; l'autre à un moujik mal vêtu. À la fin de la journée, ils se racontent leur aventure. Le premier a facilement geler le barine tandis que l'autre n'est pas arrivé au but du moujik qui l'a battu à coups de bâton. |
Les deux Juifs | ± ½ page | Léon Tolstoï Deux Juifs qui sont frères sèment en commun, et partagent la récolte. Mais l'un se dit que son frère est plus dans le besoin que lui, et va dans la nuit mettre un peu de son blé avec celui de son frère. L'autre raisonne identiquement, et va aussi mettre du blé avec celui de son frère. Les parts restent par conséquent égales, et les frères vécurent en bon amis. |
Les deux marchands | ± ½ page | Léon Tolstoï Un pauvre marchand laisse chez un marchand riche son fer. Lorsqu'il veut le reprend, le riche affirme que des souris ont mangé le fer. Le pauvre enlève le fils du riche, et lui raconte qu'un épervier a enlevé son enfant. Le riche n'y croit pas. Le pauvre dit que c'est aussi vrai que des souris mangent du fer. Le riche paie au pauvre son fer ; le pauvre redonne l'enfant au riche. |
Les pêches | ± 1½ page | Léon Tolstoï Un homme offre des pêches à ses quatre fils et à sa femme. Le premier conserve le noyau pour faire pousser un arbre. Le second mange la pêche et la moitié de celle de sa mère, et jette le noyau. Le troisième mange l'amande dans le noyau et vend sa pêche. L'autre la donner à un pauvre. L'un sera jardinier ; l'autre est tout jeune ; l'autre sera marchand ; quant au quatrième, Dieu le lui rendra. |
Les richesses que Dieu donne à l'homme | ± ½ page | Léon Tolstoï Un homme se plaint à Dieu de son sort ; un vieillard lui demande s'il n'a pas la santé et la jeunesse ? Voudrait-il perdre une main pour mille roubles ? Ou être aveugle pour dix mille roubles ? |
Les trois voleurs | ± ½ page | Léon Tolstoï Trois voleurs détroussent un moujik ; le premier lui vole son bouc ; le second lui dit que le bouc est dans le bois et part avec son âne ; le troisième lui offre une récompense, si le moujik plonge à l'eau pour lui rapporter une sacoche d'or, et repart avec ses vêtements. |
Lipouniouchka | ± 1½ page | Léon Tolstoï Un vieux et une vieille n'ont pas d'enfant, et voilà qu'il en sort un minuscule d'un flocon d'étoupe. L'enfant prend les crêpes que la vieille a cuites et les porte aux vieux. Le vieux se repose et l'enfant conduit le cheval qui laboure le champ. Un barine, s'adonnant à passer, achète l'enfant qui s'échappera et retournera chez son père... |
Pourquoi un moujik aima son frère aîné | ± 1 page | Léon Tolstoï Deux frères tirent au hasard pour savoir qui ira à la guerre ; c'est le plus jeune mais toute la maisonnée est triste. Le plus vieux ira. Or, le lendemain, les deux frères se présentent au bureau de recrutement. Finalement, le plus jeune reviendra à la maison... |
Soudoma | ± ½ page | Léon Tolstoï Un chaîne pend du ciel sur une montagne et celui qui a raison peut l'attendre. Un jour, un homme triche et atteint la chaîne qui disparaît. |
Trois amis | ± ½ page | Léon Tolstoï Un homme a trois amis. Lorsqu'il meurt, l'argent lui donne un cierge ; sa femme l'accompagne à la tombe ; ses bienfaits lui survivent... |
Un fils savant | ± ½ page | Léon Tolstoï Un fils savant refuse de prendre le râteau car il a soit-disant oublié les mots de moujik. Lorsqu'il marche sur le râteau et le reçoit dans le front, la mémoire lui revient. |
Un noyau | ± ½ page | Léon Tolstoï Un fils mange mange une prune et ne veut pas l'avouer. Le père affirme que si on mange le noyau, on meurt. Le fils déclare qu'il n'a pas mangé le noyau et se dénonce du fait même. |
Un père et ses fils | ± ½ page | Léon Tolstoï Les fils ne peuvent pas briser un paquet de verges ; mais y arrivent branche par branche. On est plus fort lorsqu'on reste unis ! |
Un riche pauvre | ± 1 page | Léon Tolstoï Un pauvre rêve de devenir riche et ne comprend pas pourquoi les riches accumulent leur richesse. On lui donne une bourse qui donne un nouvel écu à chaque fois qu'on prend celui disponible. Mais le pauvre ne pourra dépenser ses écus que lorsqu'il aura jeter la bourse dans une rivière, au risque de voir ses écus transformés en pierres. Le lendemain, il hésite à jeter sa bourse ; une journée de plus, se dit-il, et il en aura plus. Puis de jours en jours, de semaines en mois en années, l'homme sort des écus, vieillit dans la pauvreté et est devenu jaune comme son or. |
Une punition sévère | ± ½ page | Léon Tolstoï Un moujik s'est fait trompé par un marchand qui lui a donné moins de viande qu'il en a payé. Le tzar lui demande quelle sera la punition du marchand ? Autant de viande sur son dos qu'il me doit. Bien, dit le tzar, mais si tu en prends un peu plus, tu sera puni ! |
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