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Charles-Philippe de Chennevières-Pointel

Nationalité : France | (1820-1899)

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Charles-Philippe, marquis de Chennevières-Pointel, dit Jean de Falaise, né à Falaise le 25 juillet 1820 et mort le 1er avril 1899, est un historien de l’art et écrivain français.

Chennevières débuta dans les lettres en écrivant d’abord dans divers recueils tels que la Revue du Calvados, fondée parPaul Delasalle, la Revue de la province et de Paris, fondée par Luthereau, la Mosaïque de l’Ouest, fondée par Émile Souvestre et leMémorial d’Aix. Puis il publia plusieurs volumes anonymes de contes et d’historiettes sous les pseudonymes suivants : Contes normands de Jean de Falaise, 1869 ; Vers de François-Marie La Boussardière, 1842.

Il parcourut ensuite le midi de la France, visitant surtout les musées. Attaché dès 1846 à l’administration des musées royaux, il fut nommé, en janvier 1852, inspecteur des musées de province, et inspecteur général chargé des expositions annuelles des artistes vivants. Il organisa, en cette qualité, les Salons du Palais-Royal et des Menus-Plaisirs, et l’Exposition universelle des beaux-arts en 1855. Membre du jury international, il reçut depuis le titre d’inspecteur des expositions d’art et fut longtemps conservateur du Musée du Luxembourg.

Nommé, le 23 décembre 1873, directeur des Beaux-Arts, en remplacement de Charles Blanc, son premier acte fut de disperser le musée des copies commencé par son prédécesseur sous l’impulsion personnelle de Thiers et d’en répartir les tableaux entre les musées de province. Au mois de mars 1874, il fit adopter par le ministre de l’instruction publique, Oscar Bardi de Fourtou, la proposition d’une décoration complète du Panthéon, rendu au culte catholique sous le nom d’église Sainte-Geneviève à laRestauration, confiée à douze artistes les plus divers, depuis Meissonier jusqu’à Puvis de Chavannes, Millet, Alexandre Cabanel,Paul Baudry, Gustave Moreau et enfin Jean-Léon Gérôme qui refusa la proposition, mais fut remplacé par Jean-Paul Laurens. Ce projet où cette élite d’artistes retracèrent ainsi, sur les murs auparavant dépourvus de toute ornementation, l’épopée des principaux protagonistes de la France chrétienne : Sainte-Geneviève, Saint-Denis, Clovis, Jeanne d'Arc, etc. fut d’abord assez rapidement mis à exécution, mais provoqua de vives critiques ; quelques radiations dans la liste du jury du Salon annuel en excitèrent d’autres, etLouis Viardot, l’un des membres mis à l’index, attribua publiquement cette exclusion à ses sentiments républicains bien connus.

Peu de temps après, on dut à l’initiative de Chennevières le plan d’un inventaire général des richesses d’art de la France, dont la rédaction fut demandée aux écrivains spéciaux (mai 1874). Quelques mois plus tard, sous le ministère d’Arthur de Cumont, deux autres mesures d’ordre différent, renouèrent complètement le projet d’une exposition, à Paris, des œuvres les plus remarquables appartenant aux musées départementaux et l’organisation d’une société générale des artistes français, qui entraînait un nouveau mode d’élection pour les membres du jury des salons annuels. Les peintres désignés par les votes de leurs confrères, lors d’une première réunion, Eugène Fromentin, Léon Bonnat, Antoine Vollon et Luminais, s’empressèrent d’adresser à l’administration un refus motivé (janvier 1875).

L’institution d’un concours annuel à la manufacture de Sèvres pour la composition d’un vase de porcelaine et la création d’une école de mosaïque à la même manufacture furent mieux accueillies du public. L’exposition de tapisseries appartenant à l’État, annexée à une exposition de l’Union centrale des arts industriels (1876), obtint aussi beaucoup de succès ; mais les critiques les plus vives furent adressées à Chennevières au sujet de l’installation de la section française de peinture à l’Exposition universelle de 1878 et des lenteurs apportées à l’ouverture du Salon. En même temps, la commission du budget signalait de graves imprévoyances dans la répartition des fonds alloués pour l’exercice courant. Chennevières qui, au cours des démêlés suscités par son administration, avait plusieurs fois offert sa démission, fut admis à la retraite le 27 mai 1878.

Chennevières avait ajouté, depuis son mariage, le nom de Pointel à son patronyme. Il avait fondé, en 1851, avec Anatole de Montaiglon, les Archives de l’art français, recueil périodique de documents artistiques et de pièces inédites, continué depuis 1856 par son collaborateur, et ensuite par la Société de l’art français. Il a collaboré à l’Inventaire général des richesses d’art de la France et contribué à la publication des Mémoires inédits sur la vie et les ouvrages des membres de l’Académie royale de peinture et de sculpture (1854. 2 vol.) et du Journal de Dangeau(1854-1861, 19 vol. in-8). Il était acquéreur du prieuré de Saint-Santin à Bellême. Il avait été élu membre libre de l’Académie des beaux-arts, le 22 novembre 1879, en remplacement dubaron Taylor. Il a été promu officier de la Légion d’honneur le 14 août 1869.


Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0. Source : Article Charles-Philippe de Chennevières-Pointel de Wikipédia en français (auteurs).

* Image : Source : Eugène Decisy || Carolus-Duran.

Contes de Charles-Philippe de Chennevières-Pointel (15 contes) :

00 - Prologue | Contes de Saint-Santin | ± 1½ page | France
Dans le village de Bellesme, c'est le Comice agricole, qui est une assemblée formée par les propriétaires et les fermiers d'une région. Les bonnes, s'occupant des enfants sous les arbres et partageant un goûter, se mettent à raconter des récits et des contes.

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01 - L'enfant perdu | Contes de Saint-Santin | ± 6½ pages | France
On raconte la fois où un ballonnier avait préparé son ballon pour s'envoler au-dessus de Bellesme. Le ballon s'enflait, puis se désenflait. Enfin, le ballonnier avait ordonné qu'on défasse les cordages ; le ballon avait monté dans les airs, puis avait disparu à l'horizon. Les parents de Joseph, qui avait onze ans, l'avaient ensuite cherché, sans le trouver ; il s'était caché dans le ballon. Or, le ballonnier avait oublié son lest, si bien que le ballon de descendait pas et avait été poussé par les vents. Le ballonnier, à un moment, avait songé à manger un morceau de Joseph, mais s'était contenté d'une bouchée chair qu'il avait coupée avec son couteau. C'est avec ce même couteau qu'il perça finalement le ballon qui alla s'écraser en Bretagne, cent lieues plus loin. Le ballonnier trouva la mort ; Joseph apprit les rudiments du Breton, et retrouva son village six mois plus tard, et devint bedeau.

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02 - Guillaume sans peur | Contes de Saint-Santin | ± 4¼ pages | France
Guillaume a peur de tout : des chats, des chiens, des oiseaux, des araignées... Un soir, il n'accompagne pas ses parents et leur demande la permission de rester à la maison, avec la bonne. L'idée lui prend de jouer un tour à la bonne ; il entre dans une chapelle mais s'y fait accidentellement enfermer. La noirceur tombe ; il descend un escalier et se retrouve dans une salle avec deux tombeaux ; il crie tellement qu'il en perd la voix. Un chat passe et fait la chasse aux rats, des pattes d'araignées ne sont que des tiges de lierre, une tête coupéem celle d'un ange de pierre. Au retour de ses parents, Guillaume sera secouru et en ressortira guéri de ses peurs.

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03 - La foire de la Brière | Contes de Saint-Santin | ± 9¾ pages | France
Le petit gars Guillot, Pierre Guillot, va dans la forêt la demande de son père qui ne veut pas que son fils le voit boire un coup. Car Pierre Guillot vient de faire sa première communion. Dans la forêt, convaincu d'avoir de porter le bon Dieu en lui, n'a peur de rien. D'ailleurs, il rencontrera coup sur coup une géante, un dromadaire, un lion, un ours, une panthère, un serpent et un singe qu'il ramènera au propriétaire de la ménagerie qui s'était enfuie dans la forêt. On ne trouva pas le loup car le lion l'avait peut-être mangé ? Le conte se termine avec l'étrange morale que voilà : « Et dans les pays même d’où viennent les éléphants, les lions et les panthères, n’a-t-on pas vu des peuples s’enivrer de servitude, comme on s’enivre d’opium, jusqu’à la mort ? »

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04 - Les caprices de Manette | Contes de Saint-Santin | ± 6¼ pages | France

La bonne, Rose, va à la fontaine avec une bourrique pour y faire de l'eau à Charlotte, la fille de Maître Pierre. Plusieurs fois, plusieurs jours, ils rencontrent des femmes qui font du filet, des charpentiers qui font des tables, des sabotiers qui font des sabots... Tous travaillent pour un monsieur à barbe rousse, du château de la Pilière. Un jour, où Rose, la bourrique et Charlotte se trouvent près d'un ruisseau, ils voient vingt-cinq charpentiers qui prennent du bois dans une douzaine de charrettes et construisent un château avec quatre tours, dans le temps de le dire. Le lendemain, la bonne revient avec Maître Pierre pour lui montrer le château ; mais le monsieur à barbe rousse n'aimait pas l'endroit et a fait déménager son château. À sa place, quatre sapins ont été plantés. Depuis ce temps, Maître Pierre n'a plus jamais cru sa bonne.


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05 - Le petit sabotier | Contes de Saint-Santin | ± 4½ pages | France
La Renaude, qui est une nourrice, et ivrognesse, prend à sa charge, contre douze francs le mois, un enfant, petit Jean. Mais elle le maltraite, et le médecin confie l'enfant à la Polyte. L'enfant devient sabotier. Une fois, on avait fait des fouilles dans la forêt pour chercher des vieux restants de murs d'avant Jésus-Christ, sans rien trouver. Or, petit Jean, lui, avait trouvé quelque chose. Le sous-préfet le questionne et petit Jean va lui montrer ce qu'il a trouvé : des bagues, boucles d'oreilles, pièces en or, collier en or... ayant appartenu à une belle princesse du temps des anciens Romains. Le sous-préfet a eu droit à de l'avancement ; petit Jean à trois cens pistoles ou mille écus. Assez pour cesser de fabriquer des sabots, et en faire faire aux autres...

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06 - Les oeufs de Pâques | Contes de Saint-Santin | ± 5¾ pages | France
Le suisse (celui qui fait des pâtisseries) et le maître de musique reviennent d'une fête au château ; ils prennent un raccourci par la forêt et le champ. Or, dans le champ, ils aperçoivent une nuée d'oiseaux ... fantômes. Ce sont tous les oiseaux empaillés de défunt M. Abel. Le maître de musique, à qui il manque une oreille, peut entendre le langage des oiseaux et des cigales. Les oiseaux veulent des oeufs à couver. Le suisse fera trente-cinq oeufs en sucre et les deux hommes reviendront les y déposer. Trois semaines plus tard, ils sont de retour et trouvent dans les oeufs, un petit petit jeu de dominos, un jeu de quilles, un chapelet, une poupée baigneuse... Il manque pourtant le trente-cinquième oeuf. En fait, c'est le garde de la forêt qui l'a trouvé, et donné à sa fille, ce qui causa des malheurs. Mais ça, on le saura une autre fois...

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07 - Marie la petite bergère | Contes de Saint-Santin | ± 9¾ pages | France
Les parents de Marie doivent partir pour l'étranger ; la bonne s'en occupera, mais Marie (neuf ans) sera la maîtresse du logis... Elle commence par manger tout ce qu'elle veut, et fait des indigestion. Elle pavane habillée de ses plus belles robes, et insulte la Vierge ; elle se fera d'ailleurs piquer sur le nez, et se donnera une entorse au pied. Elle offre à son chat des poulets et des gigots entiers, alors que les pauvres ont à peine de quoi manger un jour sur deux. Elle adopte deux moutons, etc. Mais au fil de ses expériences, elle apprendra ; comme cette fois où elle ne put lire une lettre que ses parents avaient envoyé : c'est le fils du jardiner qui en a fait la lecture. À la lettre suivante, elle savait lire. Enfin, elle ira glaner avec la bonne et partagera le fruit de son travail avec une demie douzaine de petites pauvres...

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08 - Le fils du gendarme | Contes de Saint-Santin | ± 7¾ pages | France
Adolphe, le fils du gendarme Marin Gauthier, « vole » trois harengs à la mère Bonnard. Le gendarme est honnête jusqu'au bout de ses ongles, et lorsqu'il apprend que son fils est voleur, il vaut le tuer et s'enlever la vie. On finit par le raisonner, mais un gendarme ne peut partager le même toit qu'un voleur. On met Adolphe sur un bateau et on l'envoie en mer. Il reviendra dix ans plus tard. Il épousera la fille de la mère Bonnard, et deviendra commandant d'un bâtiment pêcheur...

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09 - L'enfant changée en nourrice | Contes de Saint-Santin | ± 10¼ pages | France
On propose à une femme d'être la nourrice de l'enfant, Elfride, d'un couple de bourgeois de Paris. Elle accepte, mais fait passer sa fille, Léontine, pour l'enfant des bourgeois. Quatre ans plus tard, ils repartent avec l'enfant de la nourrice, croyant que c'est la leur. Mais la nourrice ne peut supporter que son enfant soit au loin ; avec l'aide d'un avocat, elle reprend son enfant, les bourgeois la leur. Le temps passe et Léontine s'ennuie de ces quelques années de faste qu'elle a vécues à Paris. Elle y repartira, espérant retrouver ses parents « adoptifs » d'autrefois, mais les nouvelles sont mauvaises : certains disent qu'elle est servante dans une maison, d'autres disent qu'un voyageur lui a promis mariage.

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10 - Les bons chevaux du Perche | Contes de Saint-Santin | ± 6¼ pages | France
Le valet Julien accompagne M. le chevalier de Fontenay et M. l'avocat Berthereau, chez le roi Louis XVI, pour demander l'abolition de l'impôt du franc-fief. ÀVersailles, Julien défend l'honneur des percherons, et fait une gageure avec des Anglais, des Goddem, que « ses » chevaux battraient de vitesse les chevaux anglais. Alors, M. de Fontenay s'arrangera pour alourdi le carrosse et demandera aux Anglais que le leur soit du même poids, pour que le duel soit de nature égale. Les chevaux anglais partent comme l'éclair mais le trajet est trop long et ils s'épuisent en chemin, contrairement aux percherons qui font l'aller-retour et gagnent la gageure. La reine en est heureuse ; quant à l'impôt du franc-fief, il fut aboli.

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11 - L'oiseau | Contes de Saint-Santin | ± 8¼ pages | France
Une petite soeur est si trottinante, travaillante, aimante qu'on la surnomme l'Oiseau. Un jour, elle s'embarque sur un vaisseau pour traverser la mer. Au bout de trois mois, elle se retrouve à Chandernagor où elle se fait couper le nez par un soldat, victime d'un coup de soleil. Un orfèvre lui en refait un nouveau. Au Cambodge, elle éradique la peste avec le remède du choléra. Elle se retrouve à Siam et sauve le roi qui veut en faire sa reine ; mais elle avoue qu'elle est déjà mariée au Roi des rois, et repart au Cambodge où elle se fait couper une main. Dans le fleuve Jaune, un requin lui croque une jambe ; un tourneur lui en refait une en bois. Puis elle se fait crever un oeil qu'on remplace par un oeil de verre. Finalement, elle reviendra à Bellesme ; depuis, à l'hospice de la place, avec ses remèdes de partout, elle a fait en sorte qu'il n'y a plus de maladie, que de la vieillesse...

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12 - Pomme d'Api | Contes de Saint-Santin | ± 7¼ pages | France
Un seigneur va voir la fée du Sablon pour qu'elle donne un don à son fils ; elle lui en donne deux : la beauté et la gaieté (ce qui n'est pas garant du bonheur). Lorsqu'il a dix-sept ans, la fée, qui a trois cent soixante-dix-neuf ans, veut marier l'enfant, qu'on a surnommé Pomme-d'Api, à cause de ses joues vermillonnées. Or, lui ne veut pas de la fée « perruque », ainsi  nommée au nombre des perruques qu'elle portait : des noires, rouges, blondes, jaunes, carottes... Cinquante ans plus tard, la fée, découragée, se mit à faire la charité ; Pomme-d'Api se mit à l'aimer ainsi : charitable. La fée alla vendre sa baguette et sa part de féerie à une autre fée, contre la jeunesse de ses quinze ans. Mais Pomme-d'Api et la fée seront désormais soumis au temps qui passe...

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13 - La fin du monde | Contes de Saint-Santin | ± 14 pages | France
La bonne, Delphine, raconte comment son maître, qu'elle appelle monsieur, avait lu dans le journal qu'une comète s'apprêtait à passer tout près de la terre, et que le déluge de Noé allait repasser sur le globe. Le maître et sa famille ont quitté Paris pour Bellesme ; sur place, monsieur engage des charpentiers, fait couper des arbres pour construire en arche. Il achète presque toutes les marchandises chez la bouchère, la boulangère, l'épicière... sans oublier du cidre... De quoi nourrir un régiment. Mais pas question d'avertir personne à propos du déluge : il n'y aura pas assez de place sur l'arche. Alors que le ciel commence à se couvrir de nuage... Ici, le conte s'arrête car le feu d'artifice commence ...

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14 - Ce que pensait des contes d'enfants M. le curé de Marcilly, le soir du comice de Bellesme | Contes de Saint-Santin | ± 17¾ pages | France

M. le curé et M. le vicaire partent du comice vers le presbytère. 1ère partie : En chemin, le curé disserte sur les contes ; le vicaire l'écoute : les contes sont bons pour améliorer les gens … car l'exemple est souvent mieux que la morale … Défileront ensuite une multitudes de titres de recueils et d'auteurs de contes dont : Contes de ma Mère l'Oie, Don Quichotte… Perrault, Bouilly, Grimm, mesdames de Beaumont et d'Aulnoy, Straparolle, miss Edgeworth… 2e partie : Une dernière histoire : celle où trois bourgeois avaient trouvé un vieux, pauvre et sale, sur le chemin, qu'ils avaient ramené à l'auberge. Le médecin, le prêtre et le notaire avaient été envoyés chercher. Le vieux avait raconté son histoire, lui qui marchait depuis dix-huit longs siècles… Son prénom : Isaac ; né à Jérusalem … Le médecin mania le pied du vieillard - cric, crac - ; réparant l'entorse. Isaac s'est relevé et est reparti, non sans boire un verre de cidre à la noce de la fille du notaire...


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