Le est fier de présenter...

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Voici les 8 contes qui comprennent le mot-clé esclave :

Scheherazade Went on with Her Story.

Aucassin et Nicolette | ± 10¾ pages | Tradition Orale
Aucassin est amoureux de Nicolette. Or, le père d'Aucassin, le comte de Garins, refuse qu'il épouse cette fille achetée des Sarrasins. Le comte Bongars fait la guerre au comte de Garins ; Aucassin accepte d'aller combattre à la condition qu'on lui permettre de revoir une dernière fois Nicolette, que son père adoptif, le vicomte de Beaucaire, a emprisonné et caché dans une tour. Aucassin terrasse l'ennemi, mais son père ne tient pas sa promesse et faire enfermer le fils. Nicolette réussit à s'enfuir dans la forêt, et Aucassin l'y retrouvera. Ils s'enfuiront jusqu'à la mer où ils prendront place dans un vaisseau ; mais une flotte sarrasine les attaquera, et l'un et l'autre se retrouveront sur des navires différents. Le navire d'Aucassin fera naufrage sur les côtes, près du château de son père, qui l'accueillera. Nicolette se retrouvera dans Carthage. On apprendra que c'est la fille du roi qui avait été enlevée et vendue alors qu'elle était une enfant. Elle apprendra le violon, se déguisera et rejoindra la Provence où elle retrouvera Aucassin. Et ils s'épouseront enfin.

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Les pionniers canadiens | ± 22½ pages | Henry-Raymond Casgrain

Le récit se déroule à Détroit vers 1780, à l'époque des pionniers canadiens - où ils étaient à la fois prêtres, laboureurs et soldats - et des Indiens qu'on nommait Sauvages. Un jeune officier arrive au fort de M. Du Perron Baby. Il demande à Mademoiselle Baby la raison la cause de son malheur. Elle raconte qu'hier, une bande de Sauvages à moitié ivres (il y avait des postes des pelleteries à Détroit) étaient dans cette même maison, avec une jeune femme prisonnière, qui lui a conté son histoire : les Sauvages avaient tué son mari dans les champs et pris son scalp, après que celui-ci aie tué sept des leurs, pour ensuite tuer l'enfant de sa soeur, en lui brisant le crâne sur le poêle, et fendu la tête de la jeune mère d'un coup de hache. Et ils étaient repartis avec cette femme... Le jeune officier intervient en disant qu'il venait de chasser un Potowatomis, à coups de pied ; Mademoiselle Baby lui reproche son geste, car les Sauvages n'oublient jamais une injure, et se vengent toujours. Quelque temps plus tard, l'officier se réfugie chez les Baby, alors que le surintendant est parti. Madame Baby cache l'officier, mais il choisit plutôt de s'enfuir ; il est poursuivi par les Potowatomis qui le rattrapent, le ligotent et lui tranchent la gorge, pour recevoir le sang dans une chaudière. De retour à la maison, ils veulent forcer Madame Baby à boire le sang, pour finalement lui barbouiller la visage. Plusieurs mois après, Mademoiselle Baby voit une ombre dans le jardin, et elle reconnaît le Potowatomis qui a tué l'officier ; il est coincé dans un soupirail et un serpent à sonnette le mort au visage. Il attrape le serpent et le tue avec ses dents, mais il est trop tard, le poison tue le Sauvage.


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Lettre CXLI - Conte persan | ± 5¾ pages | Charles Montesquieu
Le  narrateur a été présenté à une dame de la cour qui le questionne sur les moeurs des Persans. Il lui fait part de ce conte : une femme nommée Zuléma, connaissant le saint Alcoran par coeur, raconte à ses compagnes - pour illustrer le fol orgueil des hommes - qu'un homme arabe, Ibrahim, était d'une jalousie insupportable, et qu'il tenait presque toujours enfermées ses douze femmes. Un jour, une des femmes, Anaïs, s'est plainte de cela, et il l'a poignardée. Elle s'est retrouvée dans un autre monde et, contrairement à la croyance populaire qui veut que le paradis n'est fait que pour les hommes, elle a constaté qu'il était, en fait, un lieu de délices pour les femmes vertueuses, où elles sont « enivrées d'un torrent de voluptés, avec des hommes divins qui leur seront soumis ». Se rappelant le pauvre état des autres femmes avec qui elle partageait le sérail d'Ibrahim, Anaïs envoie sur terre l'un des jeunes hommes qui étaient auprès d'elle, avec l'apparence d'Ibrahim, dans l'intention de le déloger. Le vrai Ibrahim est chassé du sérail, et l'autre prend sa place ; il congédie les eunuques, refuse que ses femmes portent le voile, dissipe la forture... Lorsque, trois ans plus tard, le vrai Ibrahim revient ; il ne trouva plus que ses femmes et... trente-six enfants !

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Ziméo | ± 14¾ pages | Jean-François de Saint-Lambert
En Jamaîque, un nègre du Bénin, massacre les maîtres de deux riches habitations et s'enfuie dans la montagne, où se cachaent les nègres révoltés ou Nègres Marrons. John devient leur chef et prévoit attaquer les habitations des blancs qui maltraitent leurs esclaves. Wilmouth donne des armes à ses esclaves qui choisissent de défendre leur maître qui les respecte, leur donne un terrain pour cultiver, leur rend la liberté après dix ans. Or, John, adore le grand Orissa et, par conséquent, il possède justice et bonté ; Wilmouth dépêche un jeune nègre vers le chef des noirs pour lui faire savoir que chez lui les esclaves sont traités avec respect. Le lendemain matin, sur la plaine immense, les maisons sont en feu et on entend les cris des blancs égorgés. Johh, ou Ziméo, arrive à l'habitation de Wilmouth et raconte son histoire : comment les Portugais l'ont enlevé, lui et les siens ; leurs ont mis les fer sur deux bateaux ; comment ils ont soufferts de faim en mer et ont été obligés de manger les leurs pour ne pas mourir de faim ; comment il a été séparé de celle qu'il aimait, Ellaroé, et de son père, Matomba... ; toutes ces raisons qui l'ont poussé à se révolter. Or, pendant son récit, on amènera Matomba et Ellaroé, avec un enfant enfant... À la suite de cette histoire, l'auteur apporte des réflexions sur les nègres et l'esclavage, l'invention de la boussole et de l'imprimerie

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[004] Histoire du premier vieillard et de la biche | ± 4¾ pages | Antoine Galland
Le vieillard (qui est à la recherche de son fils, qu'il n'a pas revu depuis plusieurs années) raconte que la biche qui l'accompagne est sa femme et sa cousine. Lorsqu'elle avait sa forme humaine, sa femme était jalouse du fils du vieillard et de son esclave (qui lui avait donné ce fils). Pendant un de ses voyages, sa femme avait appris la magie et avait transformé son fils en veau, et l'esclave en vache. À son retour, l'homme s'inquiéta de la disparition du fils et de l'esclave ; puis, pour la Baïram, il accepta de sacrifier une vache ; or, sa femme insista pour qu'il sacrifie son « esclave », ce qu'il avait fait. Mais l'animal n'avait finalement que les os ; et il l'avait donné à son fermier. Il voulut ensuite sacrifier un veau (qui était son fils), mais l'animal beuglait tellement qu'il en eut pitié. Il choisit donc un autre veau. Le fermier, le lendemain, lui apprit que sa fille, qui faisait de la magie, avait vu que la vache était en fait son esclave, et le veau son fils. Elle redonna l'apparence humaine au fils à la condition qu'elle l'épouse, et qu'elle se venge de sa femme. C'est ainsi qu'elle la transforma en biche. Le génie qui écoute cette histoire la trouve surprenante et accorde le tiers de la grâce au marchand. Le second vieillard conte à son tour, au génie, contre le deuxième tiers de la grâce du marchand, son histoire, le conte de l'Histoire du second Vieillard et des deux Chiens Noirs.

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[017] Histoire d’Amine | ± 8½ pages | Antoine Galland
Amine raconte au Commandeur des croyants son histoire. Elle est devenue veuve ; après son deuil, elle se fait confectionner des habits. Un jour, une dame l'invite à assister à un mariage en vue de son rang élevé. Elle suivra la dame. Une fois rendu à la demeure où se déroulent les noces, une femme lui apprend qu'elle a un frère qui est le plus accompli des hommes, qui veut l'épouser, elle Amine. Elle acquiesce. Il lui promet qu'elle sera la mieux traitée des femmes, mais elle ne devra jamais parler à un autre homme. Alors qu'elle est chez un marchand, elle accepte qu'il lui embrasse la joue en guise de paiement pour une étoffe. Mais au lieu de l'embrasser, il la mord et s'enfuit. De retour à la maison, son mari la questionne : elle lui raconte que l'accident a été causé par un porteur de bois, ou un vendeur de balais, plutôt par un étourdissement. Il crie aux mensonges, prend son sabre et s'apprête à la tuer lorsque la vieille femme qui avait accompagné Amine chez le marchand implore l'indulgence du mari. Alors, il la fait battre à l'aide d'une petite canne, pour que ces cicatrices lui rappellent son mensonge. C'est ainsi qu'Amine se retrouve chez sa soeur Zobéide, ainsi que leur soeur cadette. Un jour, trois calenders leur demandent l'hospitalité, ainsi que trois marchands qu'elles ont renvoyés, non sans leur demander leur récit. Le calife, satisfait d'entendre ces histoires, apprend de Zobéide qu'elle peut appeler la fée (qui s'était fait voir sous la forme d'un serpent ailé) en brûlant des cheveux. La fée surgit, et à la demande du calife, redonne leur apparence aux deux chiennes noires, guérit de ses cicatrices Amine, et les informe sur l'identité du mari de cette dernière : c'est le fils du calife. La fée s'en retourne, le calife épouse Zobéide, le mari reprend sa femme Amine, et les trois calenders épouses les trois autres soeurs, et tous vivront dans des palais magnifiques. Et c'est alors que Scheherazade commence l'Histoire de Sindbad le Marin.

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[024] Sixième voyage de Sindbad le Marin | ± 7¼ pages | Antoine Galland
Après une année de repos, Sindbad reprend la mer, depuis la Perse. Le capitaine perd sa route et le bateau fait naufrage sur une île, où la plage est couverte d'ossements humains ; les survivants sont coincé entre la mer, d'un côté, et une montagne infranchissable, de l'autre. Les hommes meurent de faim les uns après les autres ; Sindbad se fait un radeau où il posé des rubis et des émeraudes, et s'engage sur une rivière qui s'engouffre sous la montagne. Il en ressort vivant, dans une campagne, où des noirs l'emmènent à leur roi. Ce dernier donne à Sindbad une lettre ainsi qu'un présent pour le calife Haroun-al-Raschid : un vase d'un seul rubis avec une esclave d'une beauté ravissante. De retour à Bagdad, Sindbad remet le tout au Commandeur des croyants. Une fois le récit terminé, il fait remettre cent sequins à Hindbad et l'invite à revenir le lendemain pour écouter le Septième et dernier voyage de Sindbad le Marin.

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[027] Histoire de la Dame massacrée et du Jeune Homme son mari | ± 4½ pages | Antoine Galland
Le jeune jeune raconte que la dame qu'il a tuée, c'était sa femme, et que le vieillard est son oncle. Ils étaient mariés depuis onze ans, s'aimaient parfaitement, et avaient trois enfants. Un jour, la dame est tombée malade et à sa guérison, avait demandé des pommes. Il avait cherché dans la ville, puis était parti pour Balsora acheter trois pommes à un prix élevé. De retour chez lui au bout de quinze jours, sa femme ne voulait plus des pommes. Ensuite, lorsqu'il était dans sa boutique, un esclave noir y était entré avec une pomme. Ça ne pouvait être qu'une des siennes. Il avait demandé à l'esclave d'où provenait la pomme ; il avait expliqué que c'était son amoureuse qui lui avait donné et que son mari était allé les chercher et que quinze jours avaient été nécessaires pour faire le voyage. Le jeune homme, était retourné chez lui, n'avait vu que deux des trois pommes et avait tué et découpé sa femme. Puis un de ses fils était arrivé et avait lui expliqué qu'il avait volé une pomme à sa mère et qu'un grand esclave noir lui avait pris à son tour. Le jeune homme avait donc tué sa femme à cause d'un esclave menteur. Le calife regarde le vizir et lui dit que la faute est à l'esclave noir. Si le vizir ne ramène pas l'esclave dans trois jours... Le troisième jour, le vizir, qui n'a pas trouvé l'esclave se dirige vers le palais lorsque sa fille lui montre une pomme et lui dit que c'est leur esclave qui lui a vendue. Le calife punira exemplairement l'esclave, à moins que le vizir lui rapporte une histoire encore plus incroyable, l'Histoire De Noureddin Ali et de Bedreddin Hassan.

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