Le est fier de présenter...

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Voici les 7 contes qui comprennent le mot-clé fouet :

Scheherazade Went on with Her Story.

KHM 122 : L'âne-salade (Der Krautesel) | ± 6¼ pages | Wilhelm et Jacob Grimm
Un chasseur, sur les conseils d'une vieille à qui il a fait l'aumône, fait feu sur des oiseaux ; l'un deux meurt et il en mange le coeur et trouvera de l'or chaque matin sous son oreille ; il prend aussi le manteau que les oiseaux se disputaient et peut, grâce à lui, voyager sur simple volonté. Il voyage donc, trouve un château dans lequel demeure une princesse dont il tombe amoureux. Mais une sorcière force la princesse à lui reprendre le coeur de l'oiseau et le manteau. Le chasseur s'accroche à un nuage, après avoir espionné des géants, et arrive dans un lieu où pousse des salades. Il mange un sorte de salade et se transforme en âne ; il mange une autre sorte de salade et redevient lui-même. Il retrouve le château et fait manger la première salade à la sorcière, à la princesse et à la servante, et donne les trois ânes à un meunier. Quand l'âne sorcière meurt, il donne de la deuxième salade à la servante et à la princesse qu'il épouse.

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La veillée au mort | ± 18¼ pages | Albert Laberge

Pendant la veillée au mort, beaucoup en profitent pour se souvenir du vieux Baptiste Verrouche, et conter des anecdotes à son sujet. L'homme fort, Mouton, se rappelle cette fois où il levé Baptiste assis sur sa chaise au bout du bras. Le vétérinaire se souvient quand le cheval de Baptiste avait battu le trotteur de TiToine, sans un seul coup de fouet donné au cheval. Le meunier narre la fois où Baptiste et Jérémie, qui s'occupait des chevaux, avait donné du sel et de l'eau au cheval d'un Américain ; la course était à peine commencée que ce dernier avait ramené aussitôt son cheval, concédant sa défaite. Siméon Rabottez raconte la fois où Jérémie avait décloué un des fers du cheval d'un gars de Sorel, qui avait dû s'avouer vaincu après six arpents. À ce moment de la veillée, l'homme fort, Mouton, veut montrer sa force et fait asseoir des hommes sur la table où repose le cercueil ; il soulève le tout, mais l'équilibre n'y est pas et le cercueil se renverse. Ensuite, les hommes jouent à la roue de fortune, à coups de dix sous, et c'est Mouton, qui joue pour le mort, qui fait le plus d'argent. Dans la cuisine, Claude Barsolais prend le sein gonflé de la grosse Valentine - qui donnait le sein à son enfant -; elle lui lance à la figure la « couche pleine » de son enfant. Puis tous se retrouve dans le cortège qui suit le corbillard ; la voiture tiré par un cheval accroche une autre voiture et la renverse ; la femme d'Antoine Le Rouge aura le bras cassé. Dans l'église, Philorum Massais est tellement ivre qu'il vomit dans le bénitier. Au cimetière, les hommes qui s'attardent sur la tombe de Baptiste se passent un flacon de gin payé à même les gains du défunt, à la roue de fortune. Cela se passait à Allumettes...


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Le ministère public | ± 9¾ pages | Charles Rabou
Le procureur général, M. Desalleux, fait pendre Pierre Leroux, charretier. Moins parce qu'il est coupable que par plaisir narcissique. Pierre Leroux passe donc à la guillotine et perd la tête. Une nuit, la tête vient hanter le procureur général dans son bureau. On le retrouve le lendemain, indemne mais baignant dans le sang. Un médecin lui parlera de surmenage et d'hallucination. Puis, le procureur général se mariera ; la nuit des noces, la tête fait de nouveau une apparition, à côté de la mariée qui dort à poing fermé. Le procureur général saisit un bâton et essaie de frapper la tête qui finit par disparaître. L'homme se couche avec sa femme, mais rien n'y fait, elle ne se réveille pas ; il ouvre les rideaux et comprend qu'il a tué sa femme avec ses coups de bâton. On lui fait un procès, mais il garde la tête ; seulement, il est interné dans un asile où il se prend pour un funambule...

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Le pauvre et le riche | ± 2¼ pages | Jean François Bonaventure Fleury
Un riche donne une vache à un pauvre. Le fils du pauvre fait paître la vache dans le champs du riche. La seconde fois, le riche dit qu'il ira tuer le pauvre. Le pauvre, rusé, a fait semblant de tuer sa femme pour trois jours. Le riche va en faire autant mais la tue pour vrai. Le pauvre fait semblant de chauffer un chaudron avec un fouet ; le riche achète le fouet pour rien. Alors, le riche ordonne à ses domestiques d'enfermer le pauvre dans la bergerie pour le noyer. Le berger prend la place du pauvre. Le pauvre part avec les moutons, les vend et se fait construire un château. Le riche passant par là se fait expliquer par le pauvre que là où il s'est fait « noyer », il est devenu riche. Le riche demande au pauvre de lui montrer l'endroit. Le pauvre met le riche dans un sac et le noie.

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Les tours de Pois-Vert | ± 5½ pages | Charles Quinel
Un seigneur, Bienassis, avait un serviteur, Pois-Vert, qui lui jouait des tours et qu'il a renvoyé. Pois-Vert, un matin que le seigneur passait chez lui, faisait semblant de faire bouillir, avec un fouet, une marmite qu'il avait préalablement chauffée à l'aide de morceaux de fer rougis au feu. Poix-Vert expliqua au seigneur que le fouet qu'il utilisait pour battre la marmite était magique ; les seigneur acheta le fouet 100 $ et fut l'objet de la risée générale lorsqu'il essaya de faire chauffer une théière chez lui. Il retourna chez Pois-Vert qui fit semblant de tuer sa femme avec un couteau, alors qu'il perça en vérité un sac rempli de sang. Il fit revenir sa femme à la vie en sifflant dans un sifflet ; le seigneur acheta le sifflet 200 $. Lors qu'un créancier vint pour se faire payer, le seigneur le tua d'un coup d'épée et ne réussit pas à le réanimer avec le sifflet. Il ordonna à deux de ses hommes de se saisir de Pois-Vert, de le mettre dans un sac et de le jeter dans la rivière. Mais en chemin, Pois-Vert donna sa place à un vacher, lui faisant croire qu'on l'amenait épouser une princesse. Les deux hommes noyèrent donc le vacher et Pois-Vert revint avec les vaches de l'autre, expliquant au seigneur que si ses hommes l'avaient tiré plus loin dans la rivière, il serait revenu avec des chevaux magnifiques. Le seigneur demanda à ses hommes de le tirer dans la rivière à l'endroit indiqué et s'y noya ; Pois-Vert devint un riche commerçant.

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Saint-Antoine | ± 6½ pages | Guy de Maupassant
On l'appelle Saint-Antoine parce que c'est un buveur, un mangeur, un trousseur. C'est un grand paysan qui menace de « manger » du Prussien, car c'est l'invasion en Normandie. Or, Saint-Antoine est plutôt peureux, et lorsque les soldats s'approchent, Saint-Antoine se terre chez-lui. Mais voilà, les soldats sont dans le village et les villageois doivent tous en héberger un. Celui qui se retrouve chez Saint-Antoine ne comprend pas un mot de français, si bien que Saint-Antoine le traite de « cochon », le traîne de maison en maison et le présente comme son cochon. Il le goinfre et le fait boire jusqu'à plus soif. Un soir, l'Allemand met son poing dans le visage de Saint-Antoine, qui de son côté l'envoie valser dans le fossé, pour ensuite le frapper à la tempe avec le manche de son fouet, car le soldat avait sorti son sabre. Saint-Antoine jettera le corps dans un tas de fumer ; mais voilà, le soldat n'est pas encore mort. Saint-Antoine l'achèvera avec sa fourche et se promènera en demandant à tous où est son « soldat ». Les Allemands, ne le soupçonnant pas, tueront un vieux gendarme à la retraite.

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[016] Histoire de Zobéide | ± 8¾ pages | Antoine Galland
Zobéide raconte son histoire : elle a cinq soeurs. Ses deux belles-soeurs sont parties vivre avec leur mère ; ses deux soeurs sont les deux chiennes noires que voici. Quand leur père est mort, les trois sont allés avec leur mère. À la mort de cette dernière, les deux aînées se sont mariées et Zobéide est restée seule. Le mari de la première soeur a tout vendu et, avec sa femme, sont partis pour l'Afrique. Le mari a tout dépensé et la soeur est revenue, pauvre. Zobéide l'a accueillie et elles ont vécu ensemble. La troisième soeur a suivi le même chemin, pour venir vivre chez Zobéide. Or les deux soeurs se sont remariées ; mais au bout de quelques mois, elle sont revenues chez Zobéide. Un an plus tard, les trois sont allé faire commerce et ont pris le chemin des Indes, par la mer. Après vingt jours, le navire s'est arrêté à un port. Zobéide est entrée dans la ville où tous les humains avaient été changés en pierre. Elle s'introduit dans le palais, avance dans plusieurs cours, puis dans une chambre où elle aperçoit un diamant, si brillant qu'on ne peut le regarder de face. Vers minuit, elle entend la voix d'un homme qui lit l'Alcoran. Elle le rejoint ; c'est un prince qui lui raconte ce qui s'est passé. Les habitants de la ville étaient idolâtres ; lui avait eu la chance d'avoir une esclave qui l'avait initié à l'Allcoran et à la religion musulmane. Un jour, une voix avertit les habitants d'abandonner le culte de Nardoun, pour celui du Dieu unique. Trois ans plus tard, ceux qui ne s'étaient pas convertis furent changés en pierre. Zobéide propose au prince de la suivre à Bagdad où elle le présentera au Commandeur des croyants. Ils s'embarquent sur le navire, après l'avoir rempli des richesses du palais. Or, en mer, les deux soeurs sont devenues jalouses des sentiments entre le prince et Zobéide, et les précipitent à l'eau. Le prince se noie ; Zobéide réussit à se réfugier sur une île où un serpent essayait d'en dévorer un autre, qui avait des ailes. Zobéide tue le gros serpent et celui ailé s'envole. Il revient sous la forme d'une femme noire accompagnée de deux chiennes noires, qui sont les soeurs de Zobéide, transformée ainsi en guise de châtiment. La femme est le serpent qu'elle a délivré. Toutes les richesses sur le navire ont été portées dans ses appartements, et le navire a été coulé. La femme reconduit Zobéide et les deux chiennes noires à Bagdad, et Zobéide devra leur donner à chaque nuit cent coups de fouets, au risque d'elle-même être changée en chienne. Zobéide conlue son histoire ainsi : si votre Majesté veut en savoir plus, qu'il écoute ma soeur vous faire le récit de l'Histoire d’Amine.

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