Contes
de Charles Quinel (22 contes) :
Et la cloche sonnait... | Contes et récits du Canada | ± 8 pages | Canada
Pierre, le sonneur de cloche de Saint-Charles, est amoureux de Madeleine, mais le père de cette dernière lui refuse sa main : Pierre est trop pauvre. La jeune fille part à la ville et le sonneur de cloche coupe la corde de la cloche de l'église et va se pendre avec. On refuse de parler de suicide, surtout le recteur de la paroisse et Pierre est enterré dans le cimetière. Or, depuis ce jour, lorsque le vent vient de l'est, la cloche sonne d'elle-même le glas, même lors des mariages. L'église est désertée car on la croit hantée, et le recteur va pratiquer dans une autre paroisse. Bien des années plus tard, un nouveau recteur arrive dans la paroisse et se présente à la grocerie. Il est bien décidé à aller voir dans le clocher et savoir pourquoi cette cloche sonne d'elle-même. C'était une planche qui s'était détachée et qui cognait contre la cloche, lorsque le vent venait de l'est, et non un fantôme. À moins que le recteur n'aie rencontré le fantôme du sonneur... Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Frédéric au paradis | Contes et récits du Canada | ± 6½ pages | Canada
Frédéric est un propre à rien ; sa femme crie après lui ; lui bat sa femme et sa femme le bat en retour. Frédéric est ivrogne et un brin voleur. Ce qu'il voit, il le met dans son sac sans demander son reste. Quand son sac est trop plein, sa femme le traite de voleur ; quand le sac est vide, c'est un fainéant. Puis un vieillard demande l'hospitalité et Frédéric la lui donne. Le lendemain, le vieillard, qui est saint Nicolas, offre à Frédéric trois objets : un pot de colle magique qui immobilise les gens lorsqu'on dit « reste collé », un violon qui fait danser sans arrêt, un sac qui fait y entrer tout ce qu'on demande... Le saint s'en va ; Frédéric teste le pot de colle et le violon sur sa femme qui l'insulte ; il part avec son sac et y fait entrer un coq, des bouteilles de bière... Mais le diable vient chercher Frédéric, qui est toujours ivrogne et voleur ; Frédéric colle le diable assis sur un escabeau, puis le libère contre un an de sursis. L'année d'après, il fait danser le diable. La troisième année, il l'emprisonne dans son sac et apporte le tout en enfer. Saint Nicolas est fâché : le diable pris, tous les hommes étaient devenus bons (les riches donnaient aux pauvres qui disaient merci ; même la femme de Frédéric était devenue sympathique), et Paradis était plein à craquer. C'est ainsi que le diable fut relâché, et la femme de Frédéric ramenée au paradis, ce qui fut une mauvaise idée, car elle avait recommencé à l'insulter à nouveaul. Mais une fois rendu au paradis, c'est pour toujours. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
La belle prise de deux matelots | Contes et récits du Canada | ± 6¼ pages | Canada
Au plus fort de l'hiver, d'Iberville envoient deux hommes, Thomas et Petitjean, sonder une frégate anglaise prise dans la glace de la mer d'Hudson. Les Français sont faits prisonniers par les Anglais et passent l'hiver dans la cave du navire. Au printemps, quand la glace fond, on demande à un des deux prisonniers d'aider à lever les voiles car le scorbut à décimé les Anglais. Thomas suit Smithson mais, sur le pont du bateau, saisit une hache, tue ce dernier, de même que le commandant. Thomas va libérer Petitjean et les deux Français, qui ont saisi des fusils et des couteaux, s'emparent à eux-seuls du restant de l'équipage trop faible et démoralisé pour résister, et ramènent le navire anglais dans un port français. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
La ruse de M. de Frontenac | Contes et récits du Canada | ± 8 pages | Canada
En 1689, des milliers d'Iroquois attaquent les colons de la Nouvelle-France et font des centaines de mort. Frontenac ordonne d'attaquer les vrais responsables : les Anglais de la Nouvelle-Angletterre. Le contingent est divisé en trois : Sainte-Hélène et d'Iberville partent avec l'un deux. Les Canadiens reviennent vainqueurs laissant derrière eux morts, massacres et ruines. Les Anglais veulent se venger à leur tour, mais l'armée de Winthrop doit revenir sur ses pas, incapable de faire le chemin que les colons français avaient fait à pied en plein hiver. Par contre, Phipps et ses trente-cinq nefs anglaises jettent l'ancre devant Québec le 16 octobre 1690. Les canons sur terre et sur eau font rage ; quinze cents Anglais débarquent, mais des attaques à la « canadienne » qui ne se font pas à découvert mais par petits groupes dissimulés sèment le doute dans l'esprit des Anglais, comme les cloches qui tout à coup sonnent le tocsin... Les Anglais regagnent leur bateau et s'en retournent pour Manhatte (New York) et apprendront, plus tard, que Frontenac n'avait que cent hommes pour défendre la ville ! Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Le cavalier masqué | Contes et récits du Canada | ± 9½ pages | Canada
Le narrateur va en Gaspésie, berceau de la Nouvelle-France, et se fait raconter deux histoires : celle de Laurent et de Casimir, deux pêcheurs ivrognes, de Barachois, qui ont lancé un défi au diable - qui les a invités à revenir le lendemain pour un ... régal inoubliable. Le lendemain, les deux hommes prennent la mer pour aller trinquer avec le diable. On a retrouvés quelques jours plus tard les cadavres de Laurent et de Casimir, avec des trace de doigts crochus au cou. Puis cette autre légende qui s'est déroulée dans cette même maison où est le narrateur est l'invité : un soir de mardi gras, Jérôme Descoutures donne un bal, au plaisir de sa fille, Rose. Un voyageur étrange demande l'hospitalité et on la lui accorde. Son cheval noir est attaché à l'extérieur, et lui-même porte un loup noir à la figure, un masque. Le bal s'anime et l'étranger regroupe autour de lui jeunes et moins jeunes femmes. Puis il danse avec Rose, au déplaisir de son fiancé, Henri d'Aulnay, qui lance un défi à l'étranger. Les deux « hommes » se retrouvent dans une pièce isolée et se battent à l'épée. Rose surgit et au moment où l'étranger allait toucher mortellement Henri et crie « Mon Dieu, protégez-le ! ». Le diable, car c'était lui, bondit contre le mur ; un coup de tonnerre secoue la maison et quand la fumée se dissipe, il ne restait qu'une silhouette sur le mur, silhouette qui s'efface lentement avec les années. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Le dernier siège de Québec | Contes et récits du Canada | ± 4¼ pages | Canada
Vers les 1774, les Américains (les insurgents, les Bastonnais) viennent pour s'emparer de Québec. Dans un premier temps, des colons offrent leur service au général anglais Carleton, mais ce denier refuse. Mais les Bastonnais entrent dans la ville, avec Montgomery à leur tête, et le général Anglais finit par accepter l'aide des colons. Le grand-père du narrateur, et M. Lawse qui commandait un détachement de soldats anglais et des volontaires, sont fait prisonniers par les insurgents. Or Lawse déclara aux Américains qu'ils étaient douze cents hommes ; les officiers crurent la fable et rendirent les armes aux Anglais. C'est ainsi que Québec fut sauvé en partie par les colons canadiens, qui refusaient de fraterniser avec ceux qui s'insurgeaient contre le pouvoir légitime sanctionnés par les traités. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Le fier mensonge | Contes et récits du Canada | ± 2¾ pages | Canada
Champlain, revenu avec sa jeune femme Hélène Boulé, attend désespérément des navires de la France pour ravitailler la Nouvelle-France. Des navires approchent, mais ce sont ceux des frères Kertk ; la guerre est déclarée entre la France et l'Angleterre. Les frères Kertk pensent affamer les colons (qui le sont déjà) ; Champlain raconte aux émissaires des frères Kertk que la colonie a tout ce qui faut pour se défendre : munition et nourriture. Les frères Kertk le croient et refusent d'entreprendre un siège qui sera long et difficile ; il repartent en Angleterre. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Le Leonidas canadien | Contes et récits du Canada | ± 4½ pages | Canada
Les Iroquois, armés par les habitants de la Nouvelle-Angleterre, attaquent de plus en plus fréquemment les colons de la Nouvelle-France. Dollard et seize jeunes partent affronter les redoutables guerrier. Les Français trouvent un petit fort iroquois qu'ils occupent ; mais sont aussitôt découverts. Les attaques des Iroquois se multiplient ; Dollar tente de lancer un baril de poudre qui cogne contre un pieux et explose à l'intérieur du fort. Les Iroquois entrent et achèvent les survivants. Mais si dix-sept Français ont pu résister à plus de mille ennemis, qu'en sera-t-il des cités défendues par des garnisons entières ? Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Le pudding de Noël | Contes et récits du Canada | ± 4¾ pages | Canada
Tom Caribou travaille sur les chantiers et aime boire du whisky. Le soir de Noël, ses deux compagnons de travail partent pour la messe de Noël. Lui reste au camp pour préparer un pudding au miel et au whisky. Il part dans la forêt chercher la bouteille ; il en coule un peu dans la neige où dort un ours. L'ours se réveille et va au camp. Tom Caribou réussit à se réfugier sur une armoire ; l'ours mange le pudding et s'endort. Lorsque les deux compagnons reviennent, ils trouvent qui dorment l'ours par terre et Tom Caribou sur l'armoire. Depuis, Tom Caribou s'est guéri de son ivrognerie. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Le roi et le vinaigrier | Contes et récits du Canada | ± 4¾ pages | Canada
Un vinaigrier, très riche car il économise et ne dépense guère, a un fils et lui dit qu'il pourra épouser la femme qu'il aimera, et aura tout son support. Dans le royaume, le roi est ruiné, car il dépense à outrance, mais donne des festins pour impressionner les beaux messieurs et les belles dames. Pour se refaire, le roi offre sa fille à marier au prince Grosbec, qui invite en retour le roi et la princesse à un festin, à une partie de chasse et une partie de pêche. Mais Grosbec est vieux, laid, bossu, bancal et borgne. Puis le fils du vinaigrier voit la princesse et en tombe amoureux ; le père demande à voir le roi et lui explique que Grosbec lui doit tous ses avoirs : châteaux, fermes et forêts. Le roi demande à sa fille celui qu'elle préfère : le fils du vinaigrier assez joli ou Grosbec ? C'est ainsi que le fils du vinaigrier s'est marié avec la princesse. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Les diables cornus | Contes et récits du Canada | ± 4 pages | Canada
1535. Cartier revient pour la 2e fois au Canada. Avec Donnaconna, sur L'Emerillon, il descend le fleuve vers Hochelaga, même si le chef Huron est en désaccord avec ce voyage. En chemin, Blancs comme Sauvages prennent peur : des génies, des diables cornus s'approchent de la caravelle. Cartier ordonne de charger deux petits canons ; Donnaconna intervient : ces diables, dans la barque, sont ses deux fils. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Les fi-follets | Contes et récits du Canada | ± 6 pages | Canada
Près de Trois-Rivières, un homme a trois filles à marier, et un fils. Les célibataires du coin vont plaire aux jeunes filles. La plus jeune, Henriette, aime bien Jean Lautier qui se vante un peu trop au goût des autres jeunes gens. Mais Jean est peureux et est effrayé à l'idée de rencontrer des feux-follets. Le frère d'Henriette, Eugène, qui n'aime pas Jean, décide de lui jouer un tour et invente cette histoire qui dit, lorsqu'on rencontre des feux-follets, qu'il faut laisser derrière soi, par terre, l'objet qu'on a sur soit et qui a plus de valeur, pour conjurer les feux-follets. Jean Lautier laisse sa chaîne en or et, ses les deux amis qui l'accompagnent, un couteau et un montre ; Henriette apprend cette histoire et se désintéresse de Jean et choisit un autre garçon pour se marier. Jean Lautier recevra plus tard un paquet et une note l'accompagnant : sa chaîne en or et une lettre des ... feux-follets. Mais comprend-t-il vraiment qu'on lui a joué un tour ? Avec un peut de poudre imbibée d'esprit-de-vin ? Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Les plaines d’Abraham | Contes et récits du Canada | ± 4½ pages | Canada
En 1758, les Français de la Nouvelle-France résistent toujours aux Anglais, grâce aux Vaudreuil, Montcalm, Lévis... Mais en 1759, le général Wolfe, avec des vaisseaux, frégates, navires et surtout dix-huit mille hommes, se présente devant Québec. Pendant deux mois, les Anglais bombardent la ville ; trois mille coups de canons ! Puis les Anglais débarquent à l'anse du Foulon, trompent les sentinelles françaises et gagnent les plaines d'Abraham. Cinq mille Anglais d'un côté ; près de quatre milles Français et Canadiens de l'autre. Mais les Canadiens, inhabitués à combattre à découvert, sont surpassés. Wolfe est tué d'une balle ; Montcalm est blessé mortellement, et meurt deux jours plus tard. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Les premières armes de George Washington | Contes et récits du Canada | ± 1½ page | Canada
En 1754, c'et la guerre en la France et l'Angleterre, entre les Canadiens de la Nouvelle-France qui s'étendait quasiment sur un continent et les colonies britanniques. On envoie Jumonville à la rencontre des Anglo-Américains avec le drapeau parlementaire et la trompette d'usage pour « parlementer » ; mais les Anglo-Américains, commandés par George Washington, le transpercent à mort à coups de baïonnettes. Le frère de Jumonville, avec six cents miliciens, attaquent par la suite les Britanniques qui sont vaincus, humiliés et forcés de capituler. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Les tours de Pois-Vert | Contes et récits du Canada | ± 5½ pages | Canada
Un seigneur, Bienassis, avait un serviteur, Pois-Vert, qui lui jouait des tours et qu'il a renvoyé. Pois-Vert, un matin que le seigneur passait chez lui, faisait semblant de faire bouillir, avec un fouet, une marmite qu'il avait préalablement chauffée à l'aide de morceaux de fer rougis au feu. Poix-Vert expliqua au seigneur que le fouet qu'il utilisait pour battre la marmite était magique ; les seigneur acheta le fouet 100 $ et fut l'objet de la risée générale lorsqu'il essaya de faire chauffer une théière chez lui. Il retourna chez Pois-Vert qui fit semblant de tuer sa femme avec un couteau, alors qu'il perça en vérité un sac rempli de sang. Il fit revenir sa femme à la vie en sifflant dans un sifflet ; le seigneur acheta le sifflet 200 $. Lors qu'un créancier vint pour se faire payer, le seigneur le tua d'un coup d'épée et ne réussit pas à le réanimer avec le sifflet. Il ordonna à deux de ses hommes de se saisir de Pois-Vert, de le mettre dans un sac et de le jeter dans la rivière. Mais en chemin, Pois-Vert donna sa place à un vacher, lui faisant croire qu'on l'amenait épouser une princesse. Les deux hommes noyèrent donc le vacher et Pois-Vert revint avec les vaches de l'autre, expliquant au seigneur que si ses hommes l'avaient tiré plus loin dans la rivière, il serait revenu avec des chevaux magnifiques. Le seigneur demanda à ses hommes de le tirer dans la rivière à l'endroit indiqué et s'y noya ; Pois-Vert devint un riche commerçant. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Les trois du fort Sainte-Anne | Contes et récits du Canada | ± 6¾ pages | Canada
Trois soldats français gardent le fort Sainte-Anne, sur la baie d'Husdon : La Ramée, la Fleur et Picard. Ils s'ennuient, négocient avec les Indiens, jouent aux dés. Puis trois navires Anglais surgissent ; mettent leurs chaloupes à la mer et donnent l'assaut. Les trois Français se défendent tellement bien que les Anglais croient qu'ils sont très nombreux. D'autres Anglais viennent rejoindre les premiers ; on apporte des canons. Pendant ce temps, les trois Français empruntent une porte derrière le fort et s'enfuient. Les Anglais canonnent le fort, impressionnés du courage des Français et, lorsqu'ils entrent enfin dans l'endroit en criant victoire, s'aperçoivent que le fort est vide ! Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
L’eau de feu | Contes et récits du Canada | ± 4¼ pages | Canada
Le chef des Hurons à Hochelaga est malade ; ses sorciers n'y peuvent rien ; ses fils parlent de la médecine de blancs. On envoie chercher Cartier qui masse le chef avec de l'eau-de-vie et calme ses rhumatismes. Cartier fait impression lorsqu'il met le feu à l'eau-de-vie. Puis l'hiver arrive. Les blancs, malades, se méfient des peaux-rouges qui ne veulent plus échanger nourriture et fourrure contre de simples bibelots. Un soir, les Indiens volent un baril d'eau-de-vie et y mettent le feu ; mais leur village brûle entièrement. C'est ainsi que les peaux-rouges ont appelé par la suite l'eau-de-vie eau de feu. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
L’héroïque Vauquelin | Contes et récits du Canada | ± 2¾ pages | Canada
Montcalm est mort. Lévis essaie de reconquérir Québec. Les Anglais canonnent les frégates l'Atlante et la Pomone. L'Atlante, commandée par Vauquelin, bien qu'échouée, se défend du mieux qu'elle peut. Puis, tout s'arrête. Les Anglais ne comprennent pas, ne se méfient pas, et ils doivent en finir... Le chef des Anglais envoient des barques à l'abordage pour ne trouver finalement que des morts et des blessés, dont Vauquelin qui a préféré jeter son épée dans le Saint-Laurent plutôt que se rendre. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
L’île de la Demoiselle | Contes et récits du Canada | ± 13¼ pages | Canada
Ils sont cinq chez l'épicier, sur la côte du Labrador. Trois jeunes, le groceur et Jos Lefin. À l'extérieur, un cri de femme ; horrible ! C'est un naufrage, mais on n'y peut rien ; c'est arrivé voici quatre cents ans. Et Jos Lefin de raconter l'histoire de la Demoiselle : le chevalier de Roberval arrive en Nouvelle-France pour faire, croit-il, fortune et trouver des diamants. Sur le bateau, Marguerite de Nontron, sa nièce ; Roberval veut en faire sa femme. Marguerite ne partage pas les vues de son oncle et s'attache plutôt à un gentilhomme, Raoul de Ferlaud. Roberval apprend la chose et convoque le jeune couple. Il propose de les marier et leur donne une île en cadeau ; mais, voilà, il les laisse sur l'île, perdus en mer, avec la nourrice. Raoul réussit à pêcher et à chasser ; un an passe sans aucune voile à l'horizon. Puis l'hiver, Marguerite donne naissance à un enfant qui mourra, une année plus tard. Puis la nourrice, à son tour, meurt. Raoul se confectionne un radeau et décide d'aller cherche du secours ; Marguerite, qui ne peut plus supporter d'être prisonnière de l'île, n'arrête pas de pleurer. Mais avant que Raoul ne touche terre, et réussisse à convaincre un Breton et ses trois fils de porter secours à sa femme, les jours, les semaines, les mois passent. Enfin, il retrouveront l'île, et Marguerite ; mais l'attente l'a rendue folle ; elle meurt dans les bras de Raoul. Au lieu de l'enterrer ; ils la donnent à la « mer ». Paraîtrait aussi que Raoul aurait retrouvé Roberval et, sur un bateau, l'aurait poignardé et jeté à la « mè ». Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Ti-Jean et le cheval blanc | Contes et récits du Canada | ± 9¾ pages | Canada
Narcisse Peucher est un sacré bon conteur. Un soir, lors d'une veillée, il conte un conte de Ti-Jean : Ti-Jean part de chez-lui, car son père le maltraite. Il s'engage auprès d'un vieillard, qui est un magicien, pour travailler dans un château. Il s'occupe de deux chevaux et ne doit pas aller dans une certaine pièce. Au lieu de battre le cheval blanc, il lui donne à manger et bat le cheval noir. Il entre dans la pièce interdite et se lave les cheveux dans une fontaine et se retrouve avec le bout d'un doigt en or, comme ses cheveux. Il essaie de cacher le tout mais c'est impossible et il s'enfuit avec le cheval blanc qui lui offre son aide. Le magicien, sur le cheval noir, les poursuit. En chemin, Ti-Jean et son cheval laissent tomber une étrille, une bouteille et un pain qui se transforment en montagnes, puis de l'avoine qui se transforme en champ d'avoine. Ils sortent du royaume du magicien sains et saufs. Ils arrivent dans un royaume et Ti-Jean travaille pour le roi comme jardinier, mais les autres jardiniers sont jaloux. La guerre se déclare et le baron Barbant est trop peureux pour y participer ; il fait mettre Ti-Jean en prison mais, avec l'aide de la princesse, Ti-Jean prend les armes (vertes) du baron, le cheval blanc et va guerroyer aux côtés du roi et coupe la tête au Grand-Guillaume, l'ennemi. De retour au château, le baron raconte que c'est lui qui a tué le Grand-Guillaume, mais la princesse appelle Ti-Jean et lui fait retirer la perruque en mouton qu'il porte sur la tête : tous reconnaissent la chevelure d'or du cavalier qui a tué le Grand-Guillaume. Le cheval blanc, qui est doué de parole, confirme les dires de Ti-jean, qui montre la tête du Grand-Guillame qu'il avait tranchée lors du combat. Ti-Jean épouse la princesse ! Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Ti-Pierre et la chatte blanche | Contes et récits du Canada | ± 2¾ pages | Canada
Un roi a trois fils ; celui qui ramènera la plus belle princesse aura sa couronne. Cordon-vert et Cordon-bleu partent d'un côté ; Ti-Pierre du sien. Il s'enfonce dans un forêt, trouve une cabane et caresse une chatte blanche et lui explique que s'il ne trouve pas la plus belle princesse, ses frères lui donneront de la misère lorsque son père sera mort. La chatte lui explique de la prendre, le lendemain matin, avec quatre grenouilles et une noix sous le noyer. Il retourne ainsi au château, et voit ses frères en compagnie de belles princesses, avec de beaux carrosses et de beaux chevaux. Comme la chatte lui avait indiqué, il la caresse, brosse les crapauds, craque la noix qui se transforme en ... carrosse, les crapauds en chevaux et la chatte blanche en princesse enveloppée de fourrures blanches, et c'est elle la plus belle. C'est ainsi que Ti-Pierre a gagné la couronne. Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
Une amazone de quinze ans | Contes et récits du Canada | ± 4¼ pages | Canada
En 1696, alors que M. et Mme de Verchères sont partis pour Montréal, les Iroquois attaquent les colons des environs. Des femmes, qui ont vu leurs maris mourir sous leurs yeux, se réfugient avec leurs enfants chez les Verchères qui ont une maison entourée de palissades hautes de quinze pieds. La fille des Verchères, Madeleine, âgée de quinze ans, prend les commandements des femmes, enfants et des quatre hommes sur place. Elle distribue munitions, fusils et chapeaux et, ensemble, ils repoussent les Iroquois. Ne dormant presque pas, toujours sur le qui-vive, tirant du canon régulièrement pour avertir le voisinage, la petite troupe se défendra pendant huit jours avant qu'un détachement armé mené par La Monnerie ne se présente et auquel la jeune Madeleine remettra les armes, en leur expliquant que tous et toutes ont peu dormi et sont fatigués Vous pouvez utiliser ce résumé sous condition d'indiquer : Source : touslescontes.com.
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