Le est fier de présenter...

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Voici les 9 contes qui comprennent le mot-clé Sauvage :

Scheherazade Went on with Her Story.

Ceux qui voient les Dieux | ± 11¼ pages | Louis Hémon
Dans un dispensaire, à Londes, un curé sauve les âmes ; son neveu, un médecin, répare les corps. Les quais sont à proximité : il y a des beaucoup d'Asiatiques... Puis cette jeune fille qui entre. Une blessure à la main ; le curé la questionne. Elle reste avec un homme. Ce n'est pas son mari ; son mari est resté sur l'île. Mais lui, il la traite mieux. Le curé est outré, parle de péchés. Qui est cet homme. Celui qui voit les Dieux. Le curé, accompagné de son neveu, s'en va sauver l'âme de cet homme, bien décider à lui montrer le Christ sur la croix, crucifix à la main. Or, le vieil homme, est aveugle !

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L'Abenaki | ± 1½ page | Jean-François de Saint-Lambert
Des Abénakis attaquent des Anglais et les massacrent ; pourtant, un vieux Sauvage sauve un Anglais alors que deux guerriers allaient le tuer. Le vieillard prend l'Anglais, le conduit à sa cabane et le traite en compagnon. Au printemps, les Sauvages reprennent les armes ; le vieillard et l'Anglais sont de la partie. Mais le vieux Sauvage invite l'Anglais à retourner avec les siens. Le Sauvage explique qu'il a été père et qu'il a perdu son enfant et que, depuis ce temps, il n'a plus de plaisir à regarder le ciel, à admirer un manglier en fleurs, ou un bel arbre. Il lui dit de partir pour que son père à lui, l'Anglais, aie encore du plaisir à regarder le soleil qui se lève.

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L'homme de Labrador | ± 6½ pages | Philippe-Ignace-François Aubert de Gaspé
Lors d'une soirée, un mendiant raconte : lorsqu'il était jeune, il était bagarreur et blasphémateur ; on l'appelait Rodrigue Bras-de-fer. Alors qu'il s'était engagé pour la compagnie du Labrador, sur un goélette, il dût garder un poste de traite sur une île déserte. Satan avec son chien lui apparurent dans une cabane ; avec l'aide d'un prière à Sainte Anne, le diable a été chassé. Mais Rodrique en est ressorti affaibli. Lorsque la goélette est revenue trois mois plus tard, Rodrigue était à peine reconnaissable. C'est depuis ce temps qu'il est devenu mendiant et qu'il demande pardon à Dieu. L'assemblée, les plus jeunes et instruits, rient de l'histoire du mendiant.

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La ruse de M. de Frontenac | ± 8 pages | Charles Quinel
En 1689, des milliers d'Iroquois attaquent les colons de la Nouvelle-France et font des centaines de mort. Frontenac ordonne d'attaquer les vrais responsables : les Anglais de la Nouvelle-Angletterre. Le contingent est divisé en trois : Sainte-Hélène et d'Iberville partent avec l'un deux. Les Canadiens reviennent vainqueurs laissant derrière eux morts, massacres et ruines. Les Anglais veulent se venger à leur tour, mais l'armée de Winthrop doit revenir sur ses pas, incapable de faire le chemin que les colons français avaient fait à pied en plein hiver. Par contre, Phipps et ses trente-cinq nefs anglaises jettent l'ancre devant Québec le 16 octobre 1690. Les canons sur terre et sur eau font rage ; quinze cents Anglais débarquent, mais des attaques à la « canadienne » qui ne se font pas à découvert mais par petits groupes dissimulés sèment le doute dans l'esprit des Anglais, comme les cloches qui tout à coup sonnent le tocsin... Les Anglais regagnent leur bateau et s'en retournent pour Manhatte (New York) et apprendront, plus tard, que Frontenac n'avait que cent hommes pour défendre la ville !

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Le Leonidas canadien | ± 4½ pages | Charles Quinel
Les Iroquois, armés par les habitants de la Nouvelle-Angleterre, attaquent de plus en plus fréquemment les colons de la Nouvelle-France. Dollard et seize jeunes partent affronter les redoutables guerrier. Les Français trouvent un petit fort iroquois qu'ils occupent ; mais sont aussitôt découverts. Les attaques des Iroquois se multiplient ; Dollar tente de lancer un baril de poudre qui cogne contre un pieux et explose à l'intérieur du fort. Les Iroquois entrent et achèvent les survivants. Mais si dix-sept Français ont pu résister à plus de mille ennemis, qu'en sera-t-il des cités défendues par des garnisons entières ?

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Le tableau de la Rivière-Ouelle | ± 16¾ pages | Henry-Raymond Casgrain
Le narrateur raconte une histoire que sa mère lui a contée lorsqu'il était enfant, alors qu'une tempête de neige battait son plein : Un missionnaire (une Robe-Noire) accompagné par quelques sauvages remontent la rive sud du fleuve Saint-Laurent. Un vieux guerrier entend une voix humaine et le groupe fait la découverte d'un homme, un soldat, sur lequel brille une lumière intense. La lumière s'estompe et le groupe découvre deux cadavres qu'ils enterrent sous la neige. Dans une maison canadienne, le soldat narre son aventure : il cheminait avec un ami et son père dans les bois accompagnés par un Abénaquis. Le soir, l'Abénaquis tue un des deux Iroquois qui assaillent le groupe, mais est tué par l'autre. Le soldat tue d'une balle de fusil le deuxième Iroquois. Le trois hommes sont perdus dans la forêt, en plein hiver, sans rien à manger ni de quoi faire un feu. Deux hommes périssent, le père du soldat lui fait promette de poser un tableau dans la première église qu'il rencontrera (ce sera à Rivière-Ouele). La lumière, dit-il, était l'apparition de la Sainte-Vierge...

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L’eau de feu | ± 4¼ pages | Charles Quinel
Le chef des Hurons à Hochelaga est malade ; ses sorciers n'y peuvent rien ; ses fils parlent de la médecine de blancs. On envoie chercher Cartier qui masse le chef avec de l'eau-de-vie et calme ses rhumatismes. Cartier fait impression lorsqu'il met le feu à l'eau-de-vie. Puis l'hiver arrive. Les blancs, malades, se méfient des peaux-rouges qui ne veulent plus échanger nourriture et fourrure contre de simples bibelots. Un soir, les Indiens volent un baril d'eau-de-vie et y mettent le feu ; mais leur village brûle entièrement. C'est ainsi que les peaux-rouges ont appelé par la suite l'eau-de-vie eau de feu.

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Une amazone de quinze ans | ± 4¼ pages | Charles Quinel
En 1696, alors que M. et Mme de Verchères sont partis pour Montréal, les Iroquois attaquent les colons des environs. Des femmes, qui ont vu leurs maris mourir sous leurs yeux, se réfugient avec leurs enfants chez les Verchères qui ont une maison entourée de palissades hautes de quinze pieds. La fille des Verchères, Madeleine, âgée de quinze ans, prend les commandements des femmes, enfants et des quatre hommes sur place. Elle distribue munitions, fusils et chapeaux et, ensemble, ils repoussent les Iroquois. Ne dormant presque pas, toujours sur le qui-vive, tirant du canon régulièrement pour avertir le voisinage, la petite troupe se défendra pendant huit jours avant qu'un détachement armé mené par La Monnerie ne se présente et auquel la jeune Madeleine remettra les armes, en leur expliquant que tous et toutes ont peu dormi et sont fatigués

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[021) Troisième voyage de Sindbad le Marin | ± 7¼ pages | Antoine Galland

Sindbad repart de Balsora avec des marchands. Mais, en mer, le navire affronte une tempête, et se retrouve dans le d'une île funeste. Des hommes sauvages tout velus, haut de deux pieds, conduisent l'équipage sur une autre île. Là-bas, les membres de l'équipage découvriront qu'un géant habite les lieux, haut comme un palmier, avec un seul oeil rouge, de longues dents, des oreilles d'éléphant. Sur les lieux, des broches et des ossements humains ; le géant est anthropophage. Le géant embroche le capitaine, c'est le plus gras, le fait rôtir et le mange. Après quelques jours, des hommes font rougir des broches et crèvent les yeux du géant. Ils s'embarquent sur des radeaux, mais d'autres géants les feront couler à l'aide de roches. Seuls, Sindbad et deux compagnons s'en sortent. Ils arriveront sur une autre île, mais les deux hommes seront mangés par des serpents. Sindbad apercevra un navire ; on le prendra à bord. Ils abordent un port ; Sindbad comprend que les marchandises qu'il avait perdues lors de se second voyage sont à bord de ce navire. On lui rend le tout qu'il fera fructifier avant de regagner Bagdad. Une fois le récit terminé, il fait remettre cent sequins à Hindbad et l'invite à revenir le lendemain pour écouter le Quatrième voyage de Sindbad le Marin.


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