touslescontes.com |
touslescontes.com est une bibliothèque virtuelle qui contient un grand nombre d’histoires puisées dans le domaine public, ou confiées par des auteurs contemporains. Des contes merveilleux, des récits historiques, des légendes traditionnelles… Des contes de tous les continents et de toutes les cultures…
|
Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
![]() Un homme s'est remarié mais sa femme, la marâtre, déteste les enfants du mari, Nennillo et Nennella, et le force à perdre son garçon et sa fillette dans la forêt. La première fois, ils retrouveront leur chemin grâce à des cendres, mais la deuxième fois, un âne mange le son répandu par terre, et les enfants se perdent. Les chiens du roi, qui est à la chasse, découvre le garçon ; la fillette s'est enfuie et est recueillie par des corsaires. Le roi prend sous son aile le garçon et l'éduque, et les années passent. La fille se retrouve à la mer lorsque la barque dans laquelle elle est coule avec le pirate, sa femme et ses enfants. Un grand poisson avale la fillette et échoue sur le rivage. Le garçon, qui n'était pas loin, entend une voix l'appeler. On découvre dans le poisson la soeur du ... frère. Le roi fait publier la chose et le père des enfants accoure ; il est sermonné et excusé. Sa femme, par contre, choisit elle-même son supplice : enfermée dans un tonneau qu'on lance en haut d'une montagne.
|
![]() La rempailleuse a été élevée dans la misère, la solitude. Ses parents rempaillaient les chaises de bourgs en bourgs. Une fois, elle aperçoit un petit bourgeois qui pleure, car il s'est fait dérobé son argent. Elle lui donne le sien, l'embrasse, puis s'enfuit. Au fil des rencontres, elle lui donne ses gains contre la permission, toujours, de l'embrasser, de le cajoler. Un jour, le garçon part pour le collège. Un autre jour, il devient pharmacien et se marie. C'est le drame pour la rempailleuse qui essaie de se suicider, sans y arriver. Elle meurt et communique ses dernières volontés : son avoir et son argent, deux mille trois cents francs, vont au pharmacien. Dans un premier temps, lui et sa femme sont outrés qu'un gueuse puisse l'avoir aimé, lui, un bourgeois. Mais lorsqu'ils prennent connaissance de la petite fortune, sans scrupule, ils prennent possession de l'argent !
|
![]() Ole Ferme-l’œil aime raconter des histoires aux enfants. Voici ce qu’il a raconté à Hjalmar, un petit garçon pendant une semaine. Lundi : Ole Ferme-l’œil touche de sa petite seringue magique les pots de fleurs et toutes les fleurs s’étendent sur les murs ; un chiffre faux sur l’ardoise cause des gémissements ; sans compter le cahier d’écriture où les lettres sont malades. Mardi : tous les meubles se mettent à danser. Sur un tableau peint, les oiseaux se mettent à chanter et les nuages à bouger dans le ciel. Le petit garçon se retrouve dans le paysage. Mercredi : la pluie entre dans la chambre et un lac se forme ; puis un navire arrive devant la maison et Hjalmar s’embarque à bord et il parcourt toutes les rues de la ville. Jeudi : Ole présente au garçon une petite souris et il devient petit comme les souris et va à un mariage de … souris. Vendredi : c’est un mariage de poupées. Samedi. Dimanche. Ole Ferme-l’œil présente son frère Ole Ferme-l’œil qui s’appelle aussi la Mort mais il n’est pas méchant.
|
![]() Une femme pieuse visitée régulièrement par un ange blâme une autre femme qui donne naissance à des bâtards. L'ange lui dit de se marier avec le premier venu et ne revient plus. Elle donne sur un ivrogne. Ils ont un fils et trouve une marraine et un parrain ; ce dernier donne à boire et à manger à la petite famille autant que besoin, ils n'auront qu'à ouvrir l'armoire. Puis les parents fouettent l'enfant, Christic, et envoient le domestique tuer l'enfant. Il tuera un chien plutôt et attachera l'enfant par les pieds à la branche d'un arbre. Des seigneurs passent par là et l'enfant explique qu'un démon habitent chez eux. Ils devront dire au démon pour s'en débarasser, "prend la première chose qui te tombe sous la main", et ce sera une échelle. Plus tard, l'enfant avertira que des voleurs s'introduiront dans une auberge dans des mannequins creux. Puis il rira à la mort d'un enfant. Il avertira qu'un château passera au feu. Puis il pleurera la mort d'un moine. Enfin, lorsqu'ils arriveront à Rome, l'enfant, un vieux, un autre garçon, le bâton de Christic s'enflammera trois fois sur trois jours ; il sera nommé Pape, confessera ses parents et leur ouvrira ses bras.
|
![]() Un coq et une poule vont chercher des noix. Ils reviennent tirés sur une voiture tirée par une cane et prennent comme passagers une épingle et un aiguille. Ils s'arrêtes à une auberge ; échangent l'oeuf de la poule contre une nuitée mais le lendemain matin le coq et la poule mangent l'oeuf et s'enfuient avec la cane. L'aubergiste s'égratigne le visage avec l'épingle, le pique avec l'aiguille, se brûle avec les débris de la coquille d'oeuf qui étaient au feu.
|
![]() Le narrateur raconte la fois où il a rencontré un vilain qui avait deux jambes de bois. L'autre en était content car il n'avait plus besoin de bas, ni de souliers, plus d'épines dans les pieds, plus de morsures aux jambes... À se donner envie de se faire couper les jambes !
|
![]() Un cordonnier qui ne vend plus de chaussure, prend se derniers sous pour aller acheter du cuir et faire sa dernière paire de chaussures. Il laisse le cuir sur la table de travail et va dormir. Le lendemain, il retrouve des chaussures parfaites sur sa table de travail. Il va les vendre et montre les cinq pièce d'or à sa femme. Il rachète un peu plus de cuir, laisse le matériau sur sa table de travail et le lendemain, trouve deux paires de chaussures. Et ainsi de suite. Un soir, le cordonnier et sa femme se cachent et voient deux petits hommes nus fabriquer les chaussures avec le cuir laissé sur la table. La femme décide de faire des vêtements aux nains et, depuis, ils ne les ont jamais revus. N'importe, le cordonnier et sa femme étaient désormais riches ; le cordonnier s'est remis à faire des chaussures.
|
![]() Un héron fait croire aux poissons qu'on videra l'étang et offre de les transporter, l'un à la fois, dans un autre étang. C'est le tour de l'écrevisse qui voit, dans le champ, les arêtes de poissons ; il serre de ses pinces le cou du héron et l'étrangle.
|
![]() Une femme qui est pauvre a trois fils. Elle meurt et laisse à ses trois enfants une huche pour pétrir le pain, un tour pour tourner la pâte, et un chatte. Constantin hérite de la chatte, et les deux autres obtiennent des galettes des voisins en échange de la huche et du tour, mais ne donnent rien à Constantin. La chatte, qui est une fée, pourvoira à sa subsistance. Elle va chez le roi, lui apporte lièvre et autres présents, vantant à ce dernier son protégé Constantin qu'elle décrit comme un gentilhomme. Le roi fait sauver Constantin d'un noyade simulée, lui donne des habits et la main de sa fille. En chemin, la chatte prend les devant et suggère à tous et toutes qu'elle rencontre de vanter Constantin comme celui qui les possède. Ils arrivent à un château où son seigneur vient de mourir d'un mal subit ; Constantin hérite du château, devient roi quand le roi meurt, et a de nombreux enfants.
|
![]() Un roi a douze garçons, et si la reine accouche d'une fille, il les fera tous tuer. C'est pour cela qu'il a fait préparer douze cercueils. Les garçons s’enfuient dans les bois car la reine a eu une fille. Ils trouvent une cabane et y vivent ; le plus jeune s’occupant de la maison, les autres chassant. Lorsque la fille a dix ans ; elle voit les chemises de ses frères, part à leur recherche et les trouve. Un jour, elle coupe douze lis et les garçons sont changés en corbeaux. Pour les sauver, elle ne doit plus parler ni rire pendant sept ans. Un roi la trouve et la marie, mais la mère du roi est méchante et force le roi à mettre sa femme sur un bûcher. Heureusement, les sept années étaient maintenant passées ; les corbeaux reviennent, se métamorphosent et sauvent leur sœur.
|
![]() Le vent et la pluie veulent raconter une histoire mais c’est le soleil qui le fait. Un cygne laisse tomber une plume sur un cargo et touche le front d’un jeune homme qui devient un riche commerçant. Puis le cygne touche une feuille d’arbre qui devient un livre pour un berger. Une femme ramasse un œuf d’or laissé par un cygne. Elle embrasse ses enfants et le premier devient un sculpteur, le deuxième un grand peintre, le troisième un musicien, le quatrième un poète…
|
![]() Un roi a douze filles et le matin leurs souliers sont usés ; celui qui découvrira pourquoi pourra marier l'une d'entre elles ; sinon ils perdront la tête. Un jour, un soldat demande à une vieille femme où vont les princesses durant la nuit. «Ne bois pas de vin et fais semblant de dormir», dit-elle. Pendant trois nuits, le soldat suit les princesses qui descendent sous terre, traversent trois allées où les feuilles des arbres sont en argent, en or, en diamant. Elles arrivent à un grand lac où des princes les mènent au bal. Puis tout le monde revient. Le soldat raconte le tout au roi avec preuves à l'appui et il marie la fille aînée.
|
![]() Un roi fait cacher la reine, qui est enceinte, dans un château pour la protéger des mauvais coups de la guerre. Mais la reine s'ennuie et s'enfuit dans un chariot tiré par un cheval, lors d'une partie de chasse. Le chariot se renverse et la reine, blessée, est amenée dans le royaume souterrain et lugubre de la fée Lionne. Chez elle, il y a des monstres, les arbres n'ont pas de feuilles, et il faut descendre dix mille marches pour y accéder. La Lionne demande à la Reine de lui confectionner un pâtés de mouches ; une grenouille, que la reine retire du bec d'un corbeau, va l'aider, car c'est une demi-fée. La Lionne veut ensuite un bouquet de fleur, et c'est une chauve-souris qui va les chercher. La reine accouche d'une belle princesse qu'elle nomme Moufette. Lorsque Moufette a dix mois, la grenouille va trouver le roi pour lui remettre une lettre de la reine écrite de son sang. Un an et quatre jour pour monter les marches ; une autre année à se préparer et se parer ; sept ans à faire le trajet, et la grenouille arrive enfin au château où le roi s'apprêtait à se marier avec une autre femme. La grenouille et son équipage font tout un spectacle pour épater le roi qui part retrouver la reine, pourvu d'une bague magique qui lui montrera le chemin. Arrivé sous terre, il coupe un bout de bras de la Lionne, et combat une multitude d'animaux de toutes sortes. Trois ans plus tard, un dragon lui offre son aide, à la condition qui pourra avoir un certain morceau à manger ». La reine et la princesse sont délivrées et se retrouvent au château, avec le roi. Là-bas, Moufette rencontre le prince Moufy. Ils prévoient se marier, mais Moufy doit repartir dans son royaume régler des affaires. Le dragon envoie un géant quérir la princesse qu'il veut manger, à moins qu'elle n'épouse le neveu du dragon. La princesse, fidèle, refuse, et préfère la mort. Moufy sera averti par la grenouille et ira combattre le dragon sur un cheval muni de douze pieds et de trois têtes qui jettent du feu, des bombes et des boulets. Moufy perce le dragon au ventre, d'où sort un prince qui y était emprisonné depuis douze ans. Moufette et Moufy se marient.
|
Le récit de Traudi, l'enfant de l'ennemi.
(Canada) | ± 1½ page | Vu 4606 fois. |
Kees Vanderheyden |
![]() Jean du Gogué est un innocent et rêve de manger de l'oie. Il prend le chemin, mais s'écarte. Une fermière lui offre de l'engager, et l'envoie au moulin quérir une oie grasse et une pinte de blé. En chemin, il passe devant le maréchal ferrant qui l'assomme. On le remet sur pied. Il reprend le chemin et s'égare à nouveau. Il s'endort ; puis se réveille. On lui donne une servante qu'il met dans un sac ; il reprend la route et s'arrête devant un estaminet. Des joueurs de tours libèrent la servante, qui se sauve, et mettent un chien dans le sac. Il reprend la route avec l'idée de marier la servante ; il s'arrête pour ui demander son avis ; en ouvrant le sac, le chien saute à la gorge de Jean qui monte dans un saule. Une branche se brise et tombe sur le chien qui prend la fuite. Jean aperçoit quelque chose qui brille dans l'arbre : une oie avec des plumes en or. Il repart et s'arrête à l'auberge. Le lendemain matin, les trois filles de l'aubergiste veulent mettre la main sur l'oie d'or mais elles y restent collées. Jean repart avec son oie et les filles, puis le curé se « collera » au groupe, et le vicaire, et alouette. Lorsque la joyeuse troupe passera à Saint-Calixe, la princesse du roi des Pays-Bas, qui n'a plu ri depuis bien des années, est prise d'un accès de rire. Le charme de l'oie d'or est rompu ; les trois filles, le curé et la troupe est libérée. Et comme le voulait la promesse, celui qui faisait rire la princesse l'épouserait, Jean du Gogué a épousé la princesse et est devenu roi à son tour...
|
![]() Le narrateur se réfugie dans une ferme, près de Pointe-Lévis, en face de Québec, pour se protéger de la pluie. Le fermier lui raconte une histoire à propos de l'adage : « Il ne faut jamais remettre au lendemain ce qu’on peut faire le jour même ». Son père, au fermier, qui écoutait certains raconter qu'une « consulte » d'avocats leur avait rapporté cinquante piastres, ou un demi arpent supplémentaire..., se décide à son tour à aller voir un avocat. Ce dernier le reçoit et lui demande quel est le problème, le litige. Le bonhomme lui explique qu'il n'en a pas ; l'avocat, bon joueur, lui écrit une phrase sur un bout de papier et lui demande une piastre. De retour à la maison, le maître d'école vient lire le papier. Le père du fermier est enchanté ; même qu'il entre le soir même le grain qu'il aurait dû engranger le ... lendemain. Eh bien ! le lendemain, et les jours suivants, il a plu, tellement, que si le grain n'avait pas été rentré, il aurait été perdu. Comme on dit « Il ne faut jamais remettre au lendemain ce qu’on peut faire le jour même ».
|
![]() Guerliche est un maître escamoteur. Il vide les étangs de leurs poissons, mais s'enfuie lorsque le mayeur le voit pêcher ses canards. Guerliche revient des années plus tard, et fait ses tours de gobelets. Le mayeur le reconnaît et le met au défi de voler les moutons au berger, ce qu'il fait. Le mayeur l'engage comme greffier de mairie ; Guerliche se fait construire un moulin. Un jour, le roi des Pays-Bas demande au Mayeur de lui dire ce que pèse la lune, ce qu'il vaut, et ce qu'il pense ; réponses dans les huit jours sinon il sera pendu. Guerliche va répondre aux questions : la lune pèse une livre, soit quatre quarts. Le roi vaut vingt-neuf deniers, car le Christ a été vendu trente. Enfin, le roi pense qu'il a devant lui le mayeur, alors que c'est Guerliche. Le roi veut en faire son premier ministre, mais Guerliche refuse. Puis c'est l'heure de mourir ; au paradis, on refuse de laisser entrer Guerliche. À saint Pierre, il lui rappelle qu'il a renié Dieu trois fois, à saint Paul, qu'il a gardé les vêtements de ceux qui lapidaient saint Étienne, à saint Augustin, que sa conscience n'était pas bien nette. Quand les saints Innocents se présentent devant lui, il leur donne les gaufres qu'il a rapportées de son séjour terrestre, et c'est ainsi que Guerliche réussit à se faufiler au paradis.
|
![]() Manishan est celle qui arrête le vent. Après avoir passé par le couvent, elle devient Marie-Jeanne. À quarante ans, elle apprend que son père vient de mourir. Elle se rappelle la naissance, la grand-mère, la mère, la réserve...
|
![]() Javel aîné et Javel cadet sont en mer sur un chalutier, avec d'autres matelots. Javel cadet se prend le bras dans le cordage mais Javel aîné refuse de couper la corde, car le filet qu'il perdrait a trop de valeur. Il tente de lofter, d'arrêter, puis jette l'ancre et on dépend le bras de Javel cadet. Mais le bras est brisé et pendant. Javel cadet prend un couteau et se coupe le bras, qu'il conserve dans du sel car, une fois à terre, il l'enterra dans un petit cercueil.
|
![]() Élise se souvient de la gouvernante lorsqu'elle était enfant, qu'on appelait la fée aux gros yeux, car elle était myope. Un soir, la gouvernante invite Élise à observer un bal très spécial. À la lueur d'une lanterne, une multitude de papillons viennent virevolter dans la lumière. La gouvernante, si elle ne voit pas loin, a une vue extraordinaire de près. Elise doit utiliser une loupe pour apprécier le spectacle. Puis, au retour, la gouvernante, qui a peur des chauves-souris et des oiseaux en général, en aperçoit une sur la robe d'Élise. Elise, très fatiguée, sommeillante, croit voir la chauve-souris se métamorphoser en M. Bat, le précepteur. Le lendemain, à déjeuner, Élise comprend qu'il était très improbable que le précepteur aie pu changer d'apparence.
|
![]() Une tortue dit aux animaux de se débarrasser du chanvre ; les animaux refusent car le chanvre est inoffensif. Des hommes arrivent, et avec le chanvre, font des arcs et des flèches pour tuer un flamant, une canne à pêche pour pêcher une carpe, des cordes pour prendre une antilope. La tortue libère l'antilope. Ils font une course et la tortue s'accroche après la queue de l'antilope qui croit que la tortue est aussi rapide qu'elle. Le lion invite les animaux à un festin : tous mangent, la tortue emprunte une assiette et l'antilope va en chercher une chez-elle. À son retour, il n'y a plus rien à manger. Le lion organise un concours pour déterminer qui est le plus fort et la tortue mord le pied du lion. Elle est déclarée reine des animaux mais avec le temps le lion a repris le titre.
|
![]() Adolphe, le fils du gendarme Marin Gauthier, « vole » trois harengs à la mère Bonnard. Le gendarme est honnête jusqu'au bout de ses ongles, et lorsqu'il apprend que son fils est voleur, il vaut le tuer et s'enlever la vie. On finit par le raisonner, mais un gendarme ne peut partager le même toit qu'un voleur. On met Adolphe sur un bateau et on l'envoie en mer. Il reviendra dix ans plus tard. Il épousera la fille de la mère Bonnard, et deviendra commandant d'un bâtiment pêcheur...
|
![]() Trois frères vont porter des pêches au château pour marier la princesse. Les deux premiers rencontrent une mendiante et refusent de lui répondre adéquatement. Le troisième lui parle et elle transforme ses poires en poires d'une grosseur prodigieuse. Il gagne le pari mais la princesse ne veut pas l'épouser. Le ministre demande alors au frère de garder trente lapins pendant trois jours. Le premier jour le ministre doit se laisser glisser sur une roche pour obtenir un lapin. Mais le gardeur de lapin siffle trois fois dans un sifflet magique que la mendiante lui a donné et le lapin revient. Le deuxième jour, le roi doit faire trente-six culbutes. Le troisième jour, la princesse doit l'embrasser. Il revient au château le troisième jour pour épouser la princesse, avec trois vérités...
|
![]() Le jeune jeune raconte que la dame qu'il a tuée, c'était sa femme, et que le vieillard est son oncle. Ils étaient mariés depuis onze ans, s'aimaient parfaitement, et avaient trois enfants. Un jour, la dame est tombée malade et à sa guérison, avait demandé des pommes. Il avait cherché dans la ville, puis était parti pour Balsora acheter trois pommes à un prix élevé. De retour chez lui au bout de quinze jours, sa femme ne voulait plus des pommes. Ensuite, lorsqu'il était dans sa boutique, un esclave noir y était entré avec une pomme. Ça ne pouvait être qu'une des siennes. Il avait demandé à l'esclave d'où provenait la pomme ; il avait expliqué que c'était son amoureuse qui lui avait donné et que son mari était allé les chercher et que quinze jours avaient été nécessaires pour faire le voyage. Le jeune homme, était retourné chez lui, n'avait vu que deux des trois pommes et avait tué et découpé sa femme. Puis un de ses fils était arrivé et avait lui expliqué qu'il avait volé une pomme à sa mère et qu'un grand esclave noir lui avait pris à son tour. Le jeune homme avait donc tué sa femme à cause d'un esclave menteur. Le calife regarde le vizir et lui dit que la faute est à l'esclave noir. Si le vizir ne ramène pas l'esclave dans trois jours... Le troisième jour, le vizir, qui n'a pas trouvé l'esclave se dirige vers le palais lorsque sa fille lui montre une pomme et lui dit que c'est leur esclave qui lui a vendue. Le calife punira exemplairement l'esclave, à moins que le vizir lui rapporte une histoire encore plus incroyable, l'Histoire De Noureddin Ali et de Bedreddin Hassan.
|
![]() La mère du petit Henri est malade. Il appelle la fée Bienfaisante, qui lui dit que sur la montagne pousse une plante qui peut guérir sa mère. Henri part et, en chemin, il secoure et sauve un corbeau, un coq et une grenouille. Le corbeau l'aidera à passer une rivière qui le sépare de la montagne ; cela durera vingt-et-un jours. Puis il marche pendant vingt-et-un jours et un Vieillard lui offre de l'aider s'il peut faire la moisson de son champ. Après plus ou moins trois cents jours, le travail est fait et Henri reçoit une tabatière. Plus loin, un géant lui propose de l'aider à passer un mur si Henri fait les vendanges. Cela sera fait et l'enfant recevra un chardon. Puis c'est un précipice ; le Loup offre de l'aider si Henri tue le gibier et le fait rôtir ; le corbeau viendra se joindre au travail. Le loup lui donne un bâton. Puis, Henri rencontre un fossé ; un chat lui offre son aide si Henri peut pêcher le poisson et le saler. La grenouille viendra rejoindre Henri. Enfin, Henri arrive en haut de la montagne et un docteur lui donne la plante. À l'aide du bâton volant, il retourne chez lui, après deux ans sept mois et trois jours de péripétie, et guérit sa mère. Avec le chardon, il fait apparaître robes, chaussures, meubles, nourritures... Avec la griffe du chat, il peut rajeunir et se guérir, au plaisir de la fée.
|
© Tous les contes | Hébergé par le RCQ.
Concept et réalisation : André Lemelin
à propos | droits d'auteurs | nous diffuser | publicité | ebook/epub
Ajouter des contes sur touslescontes.com
Signaler une erreur ou un bogue.
Des contes d'auteurs et de collecteurs : Grimm, Perraut, Andersen... Des contes traditionnels: Blanche neige, Le trois petits cochons, Aladin, ou la Lampe merveilleuse... Des contes français, chinois, russes, vietnamiens, anglais, danois...