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Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
![]() Élise se souvient de la gouvernante lorsqu'elle était enfant, qu'on appelait la fée aux gros yeux, car elle était myope. Un soir, la gouvernante invite Élise à observer un bal très spécial. À la lueur d'une lanterne, une multitude de papillons viennent virevolter dans la lumière. La gouvernante, si elle ne voit pas loin, a une vue extraordinaire de près. Elise doit utiliser une loupe pour apprécier le spectacle. Puis, au retour, la gouvernante, qui a peur des chauves-souris et des oiseaux en général, en aperçoit une sur la robe d'Élise. Elise, très fatiguée, sommeillante, croit voir la chauve-souris se métamorphoser en M. Bat, le précepteur. Le lendemain, à déjeuner, Élise comprend qu'il était très improbable que le précepteur aie pu changer d'apparence.
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![]() Une femme bat sa fille car elle est paresseuse. Le Reine veut savoir pourquoi la femme bat sa fille et elle dit que c'est parce sa fille est trop travailleuse. La Reine lui dit que si elle peut file le lin de trois pièces en trois jour elle épousera le prince. Trois vieilles femmes viennent l'aider. Elle épouse le prince qui se surprend de voir les trois vieilles aussi laides ; c'est parce que, disent-elles, nous filons le lin : un grand pied plat pour tourner le rouet, une lèvre pendante pour mouiller le fil, un large pouce pour tordre le fil. Le prince interdit désormais à sa femme de filer le lin.
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![]() Un ange vient cherche un petit garçon qui vient de mourir. Ils ramassent des fleurs pour les rapporter au ciel. L'ange était autre fois un petit garçon à qui Dieu a fait pousser des ailes.
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[028] Histoire De Noureddin Ali et de Bedreddin Hassan
(Arabe) | ± 41¾ pages | Vu 5855 fois. |
Antoine Galland |
![]() Pierre, le sonneur de cloche de Saint-Charles, est amoureux de Madeleine, mais le père de cette dernière lui refuse sa main : Pierre est trop pauvre. La jeune fille part à la ville et le sonneur de cloche coupe la corde de la cloche de l'église et va se pendre avec. On refuse de parler de suicide, surtout le recteur de la paroisse et Pierre est enterré dans le cimetière. Or, depuis ce jour, lorsque le vent vient de l'est, la cloche sonne d'elle-même le glas, même lors des mariages. L'église est désertée car on la croit hantée, et le recteur va pratiquer dans une autre paroisse. Bien des années plus tard, un nouveau recteur arrive dans la paroisse et se présente à la grocerie. Il est bien décidé à aller voir dans le clocher et savoir pourquoi cette cloche sonne d'elle-même. C'était une planche qui s'était détachée et qui cognait contre la cloche, lorsque le vent venait de l'est, et non un fantôme. À moins que le recteur n'aie rencontré le fantôme du sonneur...
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![]() Un vilain se marie à la femme d'un chevalier, et la bat le matin pour qu'elle ne pense à pas mal. Le soir, il s'excuse, mais recommence le lendemain. Un jour, deux messagers du roi s'arrêtent et demandent à la femme si elle ne connaît pas un médecin. Elle désigne son mari qui est laboureur et leur dit de le battre s'il ne veut pas se reconnaître médecin. Ils le battent ainsi et il accepte de guérir la princesse, qui a un arête dans le gosier, en la faisant rire. Viennent alors quatre-vingts malades qui veulent se faire guérir. Avec quelques coups de bâtons, le vilain accepte de les guérir : il brûlera l'un des malades et fera manger la cendre aux autres. Tout à coup, les malades se sentent guéris et le roi est impressionné par son nouveau « médecin ». Le vilain retourne vivre avec sa femme (qui en a fait un médecin sans qu'il le sache) qu'il ne battra plus et aimera, et sera aimé.
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![]() Un seigneur va voir la fée du Sablon pour qu'elle donne un don à son fils ; elle lui en donne deux : la beauté et la gaieté (ce qui n'est pas garant du bonheur). Lorsqu'il a dix-sept ans, la fée, qui a trois cent soixante-dix-neuf ans, veut marier l'enfant, qu'on a surnommé Pomme-d'Api, à cause de ses joues vermillonnées. Or, lui ne veut pas de la fée « perruque », ainsi nommée au nombre des perruques qu'elle portait : des noires, rouges, blondes, jaunes, carottes... Cinquante ans plus tard, la fée, découragée, se mit à faire la charité ; Pomme-d'Api se mit à l'aimer ainsi : charitable. La fée alla vendre sa baguette et sa part de féerie à une autre fée, contre la jeunesse de ses quinze ans. Mais Pomme-d'Api et la fée seront désormais soumis au temps qui passe...
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![]() Le soir de la nuit de Noël, un curé, influencé par Garrigou (dont le diable a pris l'apparence), néglige de dire dans leur totalité les trois messes basses pour aller réveillonner au plus vite et se goinfrer de dindes bourrées de truffes et de vins de toutes les couleurs. Le curé meurt dans la nuit ; le Juge (Dieu) le condamne à retourner sur terre pour faire trois cents messes en guise de punition, avec tous ceux qui étaient présents lors de la nuit fatidique. La légende de dom Blalguère est née et, depuis ce temps, dans une certaine chapelle, on peut voir lors de la nuit de Noël une lumière surnaturelle et une assistance étrange.
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![]() Avant, le signe et la cigogne étaient amis. C'était avant qu'ils ne s'invitent à manger. Une fois dans les assiettes ; une fois dans une cruche.
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![]() Un bûcheron pauvre envoie son fils étudier, qui revient vite. Il part avec son père bûcher dans la forêt puis va se promener et découvre une bouteille d’où jaillit un méchant génie. Avec ruse, le fils remet le génie dans la bouteille. Il le libère et cette fois le génie lui donne un chiffon magique qui guérit et donne de l’argent. Le fils brise la hache du voisin ; le père est fâché mais le fils va à la ville, transforme le métal de la hache en argent et revient avec trois cents deniers. Le fils retourne étudier et devient un médecin célèbre grâce au chiffon.
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![]() Une petite soeur est si trottinante, travaillante, aimante qu'on la surnomme l'Oiseau. Un jour, elle s'embarque sur un vaisseau pour traverser la mer. Au bout de trois mois, elle se retrouve à Chandernagor où elle se fait couper le nez par un soldat, victime d'un coup de soleil. Un orfèvre lui en refait un nouveau. Au Cambodge, elle éradique la peste avec le remède du choléra. Elle se retrouve à Siam et sauve le roi qui veut en faire sa reine ; mais elle avoue qu'elle est déjà mariée au Roi des rois, et repart au Cambodge où elle se fait couper une main. Dans le fleuve Jaune, un requin lui croque une jambe ; un tourneur lui en refait une en bois. Puis elle se fait crever un oeil qu'on remplace par un oeil de verre. Finalement, elle reviendra à Bellesme ; depuis, à l'hospice de la place, avec ses remèdes de partout, elle a fait en sorte qu'il n'y a plus de maladie, que de la vieillesse...
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![]() La bonne, Delphine, raconte comment son maître, qu'elle appelle monsieur, avait lu dans le journal qu'une comète s'apprêtait à passer tout près de la terre, et que le déluge de Noé allait repasser sur le globe. Le maître et sa famille ont quitté Paris pour Bellesme ; sur place, monsieur engage des charpentiers, fait couper des arbres pour construire en arche. Il achète presque toutes les marchandises chez la bouchère, la boulangère, l'épicière... sans oublier du cidre... De quoi nourrir un régiment. Mais pas question d'avertir personne à propos du déluge : il n'y aura pas assez de place sur l'arche. Alors que le ciel commence à se couvrir de nuage... Ici, le conte s'arrête car le feu d'artifice commence ...
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![]() Un roi a douze filles et le matin leurs souliers sont usés ; celui qui découvrira pourquoi pourra marier l'une d'entre elles ; sinon ils perdront la tête. Un jour, un soldat demande à une vieille femme où vont les princesses durant la nuit. «Ne bois pas de vin et fais semblant de dormir», dit-elle. Pendant trois nuits, le soldat suit les princesses qui descendent sous terre, traversent trois allées où les feuilles des arbres sont en argent, en or, en diamant. Elles arrivent à un grand lac où des princes les mènent au bal. Puis tout le monde revient. Le soldat raconte le tout au roi avec preuves à l'appui et il marie la fille aînée.
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![]() Il était une fois deux frères : un riche et un pauvre. Le riche ne donne rien au pauvre. Un jour, le pauvre surprend des hommes qui prononcent des paroles qui font s'ouvrir un mont. Ils y entrent et en ressortent, prononcent une formule et le mont se referme. Le pauvre, une fois les hommes partis, prononce à son tour les paroles, entre dans le mont et en ressort avec de l'or. Il profite de sa richesse et y retourne une deuxième fois. La troisième fois, le riche le menace de telle sorte que c'est le riche va dans le mont. Il y entre ; le mont se referme mais il a oublié la formule pour le faire réouvir. Les voleurs reviennent, le trouvent et lui coupent la tête.
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![]() Un voleur, qui s'est repenti, a trois fils ; il leur demande ce qu'ils veulent faire comme métier ; ils répondent tous : voleurs. Ils tentent de voler le cheval de la reine mais se font arrêter. La reine offre au père de payer une rançon ; il refuse en disant qu'ils ne le méritent pas. La reine demande alors au père de raconter une histoire pour la liberté de ses fils. Il accepte et raconte la fois où il a essayé de voler un trésor à un géant, avec cent de ses compagnons. Mais le géant les a surpris et a partagé les hommes avec dix autres géants. Les géants ont tué, coupé et mangé les hommes. Lui, le père, après avoir aveuglé le géant, a réussi à se sauver, caché sous la fourrure d'un bélier, mais le géant lui a fait le cadeau d'une bague, que le père a mise à son doigt. Or, la bague était enchantée et le forçait à dire à haute voix où il était. Pour se défaire de la bague, il a dû se couper le doigt avec ses dents. Plus loin, il a sauvé une femme et son enfant que des monstres avaient capturés. Là, le père a dû faire le mort et accepter qu'un des monstres lui prenne un morceau de chair à l'aide d'un couteau. C'est un orage, finalement, qui a sauvé le père, la femme et son enfant, qui ont marché pendant quarante jours avant de sortir d'un désert. La reine a libéré les trois fils.
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![]() Un soldat, Bouteselle, revient de la guerre et s'endort dans la forêt ; deux garçons et un jeune femme le recueillent et le ramènent à l'auberge de leur mère où il fait divers travaux pour rendre service. Quelques semaines plus tard, il apprend que tous les valets de l'auberge s'en vont car ils aperçoivent le fantôme de la vieille Tata. Le soldat décide de dormir dans la chambre du revenant qui fut du temps de son vivant avaricieuse et méchante. Le fantôme apparaît à minuit et lui dit que sa fortune volée est cachée derrière une plaque. Le lendemain, à l'aide de la propriétaire de l'auberge, il découvrent le trésor. Sur les conseils de Monsieur le curé, la femme rend à l'église certains objets volés, donnent une partie aux pauvres. Le soldat refuse tout argent mais la propriétaire de l'auberge lui offre sa fille, Ramonette, en mariage.
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![]() Amine raconte au Commandeur des croyants son histoire. Elle est devenue veuve ; après son deuil, elle se fait confectionner des habits. Un jour, une dame l'invite à assister à un mariage en vue de son rang élevé. Elle suivra la dame. Une fois rendu à la demeure où se déroulent les noces, une femme lui apprend qu'elle a un frère qui est le plus accompli des hommes, qui veut l'épouser, elle Amine. Elle acquiesce. Il lui promet qu'elle sera la mieux traitée des femmes, mais elle ne devra jamais parler à un autre homme. Alors qu'elle est chez un marchand, elle accepte qu'il lui embrasse la joue en guise de paiement pour une étoffe. Mais au lieu de l'embrasser, il la mord et s'enfuit. De retour à la maison, son mari la questionne : elle lui raconte que l'accident a été causé par un porteur de bois, ou un vendeur de balais, plutôt par un étourdissement. Il crie aux mensonges, prend son sabre et s'apprête à la tuer lorsque la vieille femme qui avait accompagné Amine chez le marchand implore l'indulgence du mari. Alors, il la fait battre à l'aide d'une petite canne, pour que ces cicatrices lui rappellent son mensonge. C'est ainsi qu'Amine se retrouve chez sa soeur Zobéide, ainsi que leur soeur cadette. Un jour, trois calenders leur demandent l'hospitalité, ainsi que trois marchands qu'elles ont renvoyés, non sans leur demander leur récit. Le calife, satisfait d'entendre ces histoires, apprend de Zobéide qu'elle peut appeler la fée (qui s'était fait voir sous la forme d'un serpent ailé) en brûlant des cheveux. La fée surgit, et à la demande du calife, redonne leur apparence aux deux chiennes noires, guérit de ses cicatrices Amine, et les informe sur l'identité du mari de cette dernière : c'est le fils du calife. La fée s'en retourne, le calife épouse Zobéide, le mari reprend sa femme Amine, et les trois calenders épouses les trois autres soeurs, et tous vivront dans des palais magnifiques. Et c'est alors que Scheherazade commence l'Histoire de Sindbad le Marin.
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![]() Un roi a trois fils ; celui qui ramènera la plus belle princesse aura sa couronne. Cordon-vert et Cordon-bleu partent d'un côté ; Ti-Pierre du sien. Il s'enfonce dans un forêt, trouve une cabane et caresse une chatte blanche et lui explique que s'il ne trouve pas la plus belle princesse, ses frères lui donneront de la misère lorsque son père sera mort. La chatte lui explique de la prendre, le lendemain matin, avec quatre grenouilles et une noix sous le noyer. Il retourne ainsi au château, et voit ses frères en compagnie de belles princesses, avec de beaux carrosses et de beaux chevaux. Comme la chatte lui avait indiqué, il la caresse, brosse les crapauds, craque la noix qui se transforme en ... carrosse, les crapauds en chevaux et la chatte blanche en princesse enveloppée de fourrures blanches, et c'est elle la plus belle. C'est ainsi que Ti-Pierre a gagné la couronne.
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![]() Méline est amoureuse d’un prince mais le Roi emmure Méline et sa femme de chambre dans une tour pour sept ans. Au bout de sept ans, Méline se libère et le royaume de son père est dévasté. Elle va par le monde et arrive dans un autre royaume et devient aide-cuisinière. Le prince, qui avait demander la main de Méline, doit marier une fiancée laide qui oblige Méline à prendre sa place lors du mariage. Méline refuse mais l’autre menace. Sur le chemin, Méline parle aux orties, aux escaliers, aux portes. Le marié donne un collier à Méline. De retour du mariage, Méline redonne la place à la fiancée laide. Dans la chambre, le prince demande à la fiancée laide ce qu’elle a dit aux orties, aux escaliers, aux portes. À chaque fois, la fiancée laide doit aller demander à Méline. Le prince lui parle du collier et lui arrache le voile : c’est la fiancée laide qui veut faire tuer Méline mais le prince la sauve, la reconnaît, la marie…
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![]() La marâtre demande au tzar d'exiler sa fille. Dans le désert, dans les montagnes, sur une île déserte, enterrée vivante dans un tronc... Elle se retrouve au Japon, devient un vers à soi, puis papillon qui se met à pondre. Depuis le Japon cultive les vers à soie.
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![]() Une femme est mariée avec un bossu jaloux. Un jour, trois bossus viennent pour quêter à manger. Mais son bossu de mari revient ; elle cache les trois autres bossus dans un coffre. Lorsque son mari est reparti, la femme ouvre le coffre mais les bossus sont morts. Elle demande au charretier de s'en débarrasser ; deux piastres pour un bossu. La femme fait croire au charretier qu'il n'y a qu'un bossu. Il le prend et va le jeter à l'eau. À son retour, il trouve le deuxième bossu en croyant que c'est le premier bossu. Puis le troisième en croyant que c'est encore le premier. Il ne comprend pas... Puis il voit le mari bossu arriver ; croyant que c'est encore le bossu qui est ressorti de l'eau (pour une quatrième fois), il l'assomme et le noie définitivement !
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![]() En corse, deux familles sont en perpétuelle guerre, depuis des générations : les Arboli et les Marata. Un jour, Antonio Arboli est arrêté suite au meurtre d'un gendarme, par le gendarme qui était le frère de l'autre... Antonio s'était réfugié chez les Paolo Marata, car le village est un terrain neutre, et tous sont unis contre les ... gendarmes. Or, le gendarme qui a fait l'arrêt d'Antonio, avait offert une montre à l'enfant de Paolo pour pouvoir s'introduire dans la maison et faire l'arrestation. L'arrêt des Marata fut unanime ; on emmena l'enfant au fond du jardin, les yeux bandés, et son père lui a tiré une balle dans le coeur...
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![]() Trois histoires de lutins. Un cordonnier pauvre retrouve ses souliers tout fait les matins. Cela fait sa richesse et curieux ; il espionne une nuit en compagnie de sa femme. Ils décident d'habiller les lutins qui s'en vont définitivement. Une pauvre servante devient marraine d'un lutin ; trois jours s'avèrent être sept ans. Mais elle revient les poches pleine d'or. Un enfant est enlevé et à sa place, la mère trouve un petit monstre à grosse tête. La mère le fait rire et son enfant revient.
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![]() Ole Ferme-l’œil aime raconter des histoires aux enfants. Voici ce qu’il a raconté à Hjalmar, un petit garçon pendant une semaine. Lundi : Ole Ferme-l’œil touche de sa petite seringue magique les pots de fleurs et toutes les fleurs s’étendent sur les murs ; un chiffre faux sur l’ardoise cause des gémissements ; sans compter le cahier d’écriture où les lettres sont malades. Mardi : tous les meubles se mettent à danser. Sur un tableau peint, les oiseaux se mettent à chanter et les nuages à bouger dans le ciel. Le petit garçon se retrouve dans le paysage. Mercredi : la pluie entre dans la chambre et un lac se forme ; puis un navire arrive devant la maison et Hjalmar s’embarque à bord et il parcourt toutes les rues de la ville. Jeudi : Ole présente au garçon une petite souris et il devient petit comme les souris et va à un mariage de … souris. Vendredi : c’est un mariage de poupées. Samedi. Dimanche. Ole Ferme-l’œil présente son frère Ole Ferme-l’œil qui s’appelle aussi la Mort mais il n’est pas méchant.
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Ayiti Kiskeya Boyo
(Haïti) | ± 2¼ pages | Vu 5607 fois. |
Monique Dauphin |
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Concept et réalisation : André Lemelin
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