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Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
![]() Adolphe, le fils du gendarme Marin Gauthier, « vole » trois harengs à la mère Bonnard. Le gendarme est honnête jusqu'au bout de ses ongles, et lorsqu'il apprend que son fils est voleur, il vaut le tuer et s'enlever la vie. On finit par le raisonner, mais un gendarme ne peut partager le même toit qu'un voleur. On met Adolphe sur un bateau et on l'envoie en mer. Il reviendra dix ans plus tard. Il épousera la fille de la mère Bonnard, et deviendra commandant d'un bâtiment pêcheur...
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Vassilisa la belle
(Russie) | ± 5¾ pages | Vu 5123 fois. |
Tradition Orale |
Compère Bouc et compère Lapin
(États-Unis) | ± 1½ page | Vu 5120 fois. |
Tradition Orale |
![]() Emmi est un pauvre petit gardeur de cochons ; il ne sait ni lire et à peu près pas parler. Un jour, il donne un coup de sarclette sur le groin d'un cochon, et la bande de cochons poursuivent l'enfant. Il se réfugie dans un grand chêne centenaire, et y vivra près d'un an, se nourrissant de racines, de fruits, de légumes dérobés dans jardins, et de lièvres pris au collet. Il échange à l'occasion des lièvre contre des pains à la vieille Catiche. Un jour, il la suivra chez elle, où vivent d'autres mendiants ; elle lui montrera les richesses qu'elle a accumulées. Elle fait l'idiote et ainsi reçoit la charité des paysans. Un jour où elle essaie de vendre l'enfant à des saltimbanques, Emmi rencontre le père Vincent qui l'engage sur un chantier, car l'homme a l'entreprise d'une coupe d'arbres dans la forêt où se trouve le chêne. Emmi s'avère utile, débrouillard et intelligent. Un jour, il pense à la vieille Catiche et, en compagnie du père Vincent, il lui rend visite ; elle lui donne tout son argent, car elle va mourir bientôt. Devenu homme, et assez riche paysan, Emmi épouse la fille d'un bûcheron. Il posera dans le chêne un plaque de cuivre rappelant son séjour dans le chêne...
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![]() Deux vieux escargot marient leur fils, un colimaçon adopté, à une fille escargot.
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![]() Trémeur, guerrier, sauve un vieillard qui a été fait prisonnier par les païens ; son père, le chef du village et druide, les surprend dans leur fuite. Le druide tranche la tête de Trémeur qu'il tient maladroitement dans ses mains. Le vieillard, ermite et saint Herbot (l'ami des laitières), part avec Trémeur et après avoir battu le lait et en avoir fait du beurre, recolle du mieux qu'il peut la tête de Trémeur. Le saint part de son côté et Trémeur du sien. Il rencontre un autre vieillard qui est le diable et qui demande de sauver sa fille. Trémeur sauve la fille du diable sans savoir à qui il a affaire et lorsqu'il fait un signe de la croix, car le beurre qui retient sa tête est tout fondant, le beurre cesse de fondre et la fille disparaît. Il entre ensuite dans un cabaret, boit du cidre près du foyer et sa tête tombe dans le pichet de cidre. Il part à la recherche du saint pour lui demander de remettre sa tête en place mais seulement le Pape à Rome peut le faire. Trémeur reprend le chemin mais il tombedans un cimetière et sa tête part à rouler... et il en meurt. On dit qu'il est encore là, changé en pierre...
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![]() Le baron Joseph de Croissard courtise Mme Berthe d'Avancelles, sans que son marie, M. d'Avancelles s'en doute. Elle lui dira « Baron, si vous tuez la bête, j’aurai quelque chose pour vous. » Le baron part tuer le sanglier, au son du cor et des chiens... Dans la soirée, elle lui donnera la réplique « Qui m’aime me suive ! ». Il ira la rejoindre plus tard mais il est tellement fatigué qu'il s'endort...
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![]() En Chine, dans une petite ville, un usurier est jaloux de l'enfant talentueux d'une veuve. Elle espère que son fils, Wang, mariera une princesse. Des années plus tard, un princesse surgit dans la chambre du garçon, où flotte une odeur de glycine ; ils partagent une passion commune : les dominos. Elle lui remet un coffre d'or et lui demande d'attendre un mois avant de construire une maison. Mais Wang ne peut attendre. Sur ce, il rencontre Yang qui lui remet une coupe d'argent et une figurine de jade. Ces objets ayant été volés ; Wang est arrêté. La princesse revient le voir et lui donne un talisman. Wang est en route pour paraître devant un juge ; ses gardiens sont mis en déroute. Qu'à cela tienne, il se présente devant le juge qui en conclut qu'il n'est pas coupable du vol. Yang cambriolera le vieil usurier ; Wang aura deux enfants avec la princesse, qui lui annoncera que sa vie sur la terre est terminée. Elle s'en ira avec ses enfants, laissant derrière elle des glycines en fleurs.
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![]() Un pauvre homme et une pauvre femme ont onze garçons et décident de les perdre dans les bois car il n'y a plus rien à manger. Le petit Poucet laisse en chemin des cailloux et c'est ainsi que les enfants retrouvent leur chemin. Mais la famine revient et les enfants sont reconduits dans les bois pour une seconde fois. Là, ils se réfugient chez un orgre qui veut les manger pour déjeuner. Dans la nuit, il décide de couper la tête aux garçons pour s'assurer qu'ils ne se sauvent pas mais il coupe plutôt la tête de ses onze filles. Le lendemain, l'ogre, en colère, met ses bottes de sept lieues et part à la recherche des garçons, puis s'arrête pour dormir. Le petit Poucet lui prend ses bottes, va chez la femme de l'ogre chercher de l'argent et retourne chez son père, etc.
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![]() Jean du Gogué est un innocent et rêve de manger de l'oie. Il prend le chemin, mais s'écarte. Une fermière lui offre de l'engager, et l'envoie au moulin quérir une oie grasse et une pinte de blé. En chemin, il passe devant le maréchal ferrant qui l'assomme. On le remet sur pied. Il reprend le chemin et s'égare à nouveau. Il s'endort ; puis se réveille. On lui donne une servante qu'il met dans un sac ; il reprend la route et s'arrête devant un estaminet. Des joueurs de tours libèrent la servante, qui se sauve, et mettent un chien dans le sac. Il reprend la route avec l'idée de marier la servante ; il s'arrête pour ui demander son avis ; en ouvrant le sac, le chien saute à la gorge de Jean qui monte dans un saule. Une branche se brise et tombe sur le chien qui prend la fuite. Jean aperçoit quelque chose qui brille dans l'arbre : une oie avec des plumes en or. Il repart et s'arrête à l'auberge. Le lendemain matin, les trois filles de l'aubergiste veulent mettre la main sur l'oie d'or mais elles y restent collées. Jean repart avec son oie et les filles, puis le curé se « collera » au groupe, et le vicaire, et alouette. Lorsque la joyeuse troupe passera à Saint-Calixe, la princesse du roi des Pays-Bas, qui n'a plu ri depuis bien des années, est prise d'un accès de rire. Le charme de l'oie d'or est rompu ; les trois filles, le curé et la troupe est libérée. Et comme le voulait la promesse, celui qui faisait rire la princesse l'épouserait, Jean du Gogué a épousé la princesse et est devenu roi à son tour...
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![]() Une femme pieuse visitée régulièrement par un ange blâme une autre femme qui donne naissance à des bâtards. L'ange lui dit de se marier avec le premier venu et ne revient plus. Elle donne sur un ivrogne. Ils ont un fils et trouve une marraine et un parrain ; ce dernier donne à boire et à manger à la petite famille autant que besoin, ils n'auront qu'à ouvrir l'armoire. Puis les parents fouettent l'enfant, Christic, et envoient le domestique tuer l'enfant. Il tuera un chien plutôt et attachera l'enfant par les pieds à la branche d'un arbre. Des seigneurs passent par là et l'enfant explique qu'un démon habitent chez eux. Ils devront dire au démon pour s'en débarasser, "prend la première chose qui te tombe sous la main", et ce sera une échelle. Plus tard, l'enfant avertira que des voleurs s'introduiront dans une auberge dans des mannequins creux. Puis il rira à la mort d'un enfant. Il avertira qu'un château passera au feu. Puis il pleurera la mort d'un moine. Enfin, lorsqu'ils arriveront à Rome, l'enfant, un vieux, un autre garçon, le bâton de Christic s'enflammera trois fois sur trois jours ; il sera nommé Pape, confessera ses parents et leur ouvrira ses bras.
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![]() Un coq et une poule vont chercher des noix. Ils reviennent tirés sur une voiture tirée par une cane et prennent comme passagers une épingle et un aiguille. Ils s'arrêtes à une auberge ; échangent l'oeuf de la poule contre une nuitée mais le lendemain matin le coq et la poule mangent l'oeuf et s'enfuient avec la cane. L'aubergiste s'égratigne le visage avec l'épingle, le pique avec l'aiguille, se brûle avec les débris de la coquille d'oeuf qui étaient au feu.
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![]() Un petit tailleur tue sept mouches d'un coup, se fait une ceinture qui dit : «J'en abats sept d'un coup !» et part narrer son exploit par-delà le monde. Il prend un fromage et un oiseau et rencontre un géant qui broie une roche avec la mains et lance une roche dans les airs. Le petit tailleur broie son fromage et lance l'oiseau. Ils transportent ensuite un arbre. Dans la caverne des géants, un d'entre-eux pense le tuer avec une grosse barre de fer mais lorsque les géants le voient vivant, ils s'enfuient. Le petit tailleur se retrouve dans le jardin du roi et tue deux géants, attrape une licorne, enferme un sanglier. Ainsi il marie la princesse et se sauve même d'un trahison en vantant ses exploits.
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![]() Le narrateur se réfugie dans une ferme, près de Pointe-Lévis, en face de Québec, pour se protéger de la pluie. Le fermier lui raconte une histoire à propos de l'adage : « Il ne faut jamais remettre au lendemain ce qu’on peut faire le jour même ». Son père, au fermier, qui écoutait certains raconter qu'une « consulte » d'avocats leur avait rapporté cinquante piastres, ou un demi arpent supplémentaire..., se décide à son tour à aller voir un avocat. Ce dernier le reçoit et lui demande quel est le problème, le litige. Le bonhomme lui explique qu'il n'en a pas ; l'avocat, bon joueur, lui écrit une phrase sur un bout de papier et lui demande une piastre. De retour à la maison, le maître d'école vient lire le papier. Le père du fermier est enchanté ; même qu'il entre le soir même le grain qu'il aurait dû engranger le ... lendemain. Eh bien ! le lendemain, et les jours suivants, il a plu, tellement, que si le grain n'avait pas été rentré, il aurait été perdu. Comme on dit « Il ne faut jamais remettre au lendemain ce qu’on peut faire le jour même ».
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![]() Une vieille femme qui est un sorcière a un troupeau d’oies et se promène avec de grosses charges sur son dos. Un jeune homme veut l’aider et peine à tout transporter. Chez la sorcière, il voit sa fille laide et vieille.. Puis il s’en retourne avec une boîte en émeraude et se retrouve dans un palais où il montre la boîte à la reine qui s’évanouit. Elle raconte que l’émeraude dans la boîte est identique aux larmes que sa fille que le roi a chassée lorsque la fille a dit de son père qu’il était aussi précieux que le sel. Ils repartent à sa recherche et la retrouvent. La princesse était cachée sous un déguisement de vieille laide. La sorcière était une fée. Toutes les larmes sont des perles ; la cabane se change en château ; les oies en jeunes filles.
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![]() Un roi et une reine ont une file qu'ils confient à une paysanne. Elle part en mer sur une barque avec la petite mais la paysanne se noie et la fillette se retrouve vivante sur une île habité par deux ogres, l'une magicien, l'autre fée. Ils veulent la marier, plus tard, à leur fils. Le neveu du roi, des années après, part à la recherche de la princesse et finalement la trouve. Ils s'enfuient avec la baguette magique de la fée ogresse. Ils se changent en rosier-rose, puis en barque-paysanne, puis en oranger-abeille et les ogres ne les retrouvent pas mais la baguette magique est perdu. Des années plus tard, le roi passe par là et trouve étrange cet arbre ; il fait appeler Merlin qui redonne leur apparence au neveu et à la princesse.
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![]() Un homme cherche un parrain pour son fils. Il rencontre Dieu, Diable mais c'est la Mort, la grande Faucheuse qu'il choisit. Elle fait du fils un médecin qui sauve les malades avec une certaine herbe, tant que la Mort n'est pas à la tête du mourant. Deux fois, le médecin fait tourner les mourants pour que la Mort se retrouve à leurs pieds. La seconde fois est de trop, la Mort par avec le médecin.
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![]() Une fillette revient du travail et rencontre le loup. Elle lui explique qu'elle se rend chez sa mère mais le loup arrive avant et tue la mère. Il en mange la moitié et fait de l'autre moitié viande et sang. Quand la fillette arrive, le loup déguisé en la mère lui offre à manger et à boire, puis mange la fillette.
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![]() Le jeune jeune raconte que la dame qu'il a tuée, c'était sa femme, et que le vieillard est son oncle. Ils étaient mariés depuis onze ans, s'aimaient parfaitement, et avaient trois enfants. Un jour, la dame est tombée malade et à sa guérison, avait demandé des pommes. Il avait cherché dans la ville, puis était parti pour Balsora acheter trois pommes à un prix élevé. De retour chez lui au bout de quinze jours, sa femme ne voulait plus des pommes. Ensuite, lorsqu'il était dans sa boutique, un esclave noir y était entré avec une pomme. Ça ne pouvait être qu'une des siennes. Il avait demandé à l'esclave d'où provenait la pomme ; il avait expliqué que c'était son amoureuse qui lui avait donné et que son mari était allé les chercher et que quinze jours avaient été nécessaires pour faire le voyage. Le jeune homme, était retourné chez lui, n'avait vu que deux des trois pommes et avait tué et découpé sa femme. Puis un de ses fils était arrivé et avait lui expliqué qu'il avait volé une pomme à sa mère et qu'un grand esclave noir lui avait pris à son tour. Le jeune homme avait donc tué sa femme à cause d'un esclave menteur. Le calife regarde le vizir et lui dit que la faute est à l'esclave noir. Si le vizir ne ramène pas l'esclave dans trois jours... Le troisième jour, le vizir, qui n'a pas trouvé l'esclave se dirige vers le palais lorsque sa fille lui montre une pomme et lui dit que c'est leur esclave qui lui a vendue. Le calife punira exemplairement l'esclave, à moins que le vizir lui rapporte une histoire encore plus incroyable, l'Histoire De Noureddin Ali et de Bedreddin Hassan.
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![]() Un roi meurt et laisse à ses trois fils trois objets magiques : un sac toujours rempli de cent écus ; un cornet qui fait apparaître et disparaître cent mille hommes ; une ceinture qui vous transporte là où vous souhaitez être. Petit-Jean se sert de la ceinture pour aller voir la princesse du Tombozo, mais elle lui vole la ceinture. Les soldats du roi battent Petit-Jean qui retourne chez ses frères qui le battent à leur tour. Petit-Jean retourne voir la princesse pour racheter sa ceinture avec la bourse de cent écus, mais elle lui vole la bourse. Les soldats du roi battent Petit-Jean qui retourne chez ses frères qui le battent à leur tour. Petit-Jean retourne voir la princesse avec le cornet aux cent mille hommes pour obliger la princesse à lui redonner la ceinture et la bourse, mais elle lui vole le cornet et Petit-Jean est battu. Il s'en va et trouve des pommes et des prunes. Les pommes font pousser le nez ; les prunes le font rapetisser. Petit-Jean s'arrange pour que la princesse mange des pommes et que son nez s'allonge. Ensuite, déguisé en docteur, Petit-Jean donne des prunes en échange des trois objets mais il laisse la princesse avec un pied de nez.
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![]() Une femme qui perd en un seul moi son père, son mari et son enfant devient folle ; elle se couche et ne peut plus se lever. « Quand la mort est entrée une fois dans une maison, elle y revient presque toujours immédiatement, comme si elle connaissait la porte. » Pendant quinze ans, la femme reste couchée. Puis la guerre se déclare ; les Prussiens arrivent à Cormeil, et les soldats sont distribués dans les maisons des habitants. L'officier, qui est chez cette femme, est insulté, car la femme ne se lève pas ; il ne croit pas à son état pathologique. Il la fait porter sur son lit dans le bois. L'hiver arrive et passe, suivi du printemps. À l'automne, au temps des bécasses, le narrateur va à la forêt et découvre les ossements de la femme que les loups avaient dévorée.
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![]() Un pauvre rêve de devenir riche et ne comprend pas pourquoi les riches accumulent leur richesse. On lui donne une bourse qui donne un nouvel écu à chaque fois qu'on prend celui disponible. Mais le pauvre ne pourra dépenser ses écus que lorsqu'il aura jeter la bourse dans une rivière, au risque de voir ses écus transformés en pierres. Le lendemain, il hésite à jeter sa bourse ; une journée de plus, se dit-il, et il en aura plus. Puis de jours en jours, de semaines en mois en années, l'homme sort des écus, vieillit dans la pauvreté et est devenu jaune comme son or.
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![]() Trois frères vont porter des pêches au château pour marier la princesse. Les deux premiers rencontrent une mendiante et refusent de lui répondre adéquatement. Le troisième lui parle et elle transforme ses poires en poires d'une grosseur prodigieuse. Il gagne le pari mais la princesse ne veut pas l'épouser. Le ministre demande alors au frère de garder trente lapins pendant trois jours. Le premier jour le ministre doit se laisser glisser sur une roche pour obtenir un lapin. Mais le gardeur de lapin siffle trois fois dans un sifflet magique que la mendiante lui a donné et le lapin revient. Le deuxième jour, le roi doit faire trente-six culbutes. Le troisième jour, la princesse doit l'embrasser. Il revient au château le troisième jour pour épouser la princesse, avec trois vérités...
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![]() Sur un bateau se dirigeant vers l'Afrique, un grand homme raconte deux anecdotes : cette fois où il avait pressentie la peur, dans le désert, traversant les grandes dunes, avec son ami et huit spahis. Un tambours s'était mis à battre au milieu de nulle part ; et son ami qui était tombé, foudroyé par une insolation. Puis, cette autre fois, où il avait réellement eu peur, dans la maison d'un garde-forestier. Ce dernier avait tué un braconnier qui était revenu le hanter. Et qui était revenu, cette fois où le narrateur se trouvait chez le garde-forestier. Celui-ci avait son fusil ; ses deux fils, des haches à la main ; les deux femmes pleuraient ; et ce vieux chien qui hurlait. On avait jeter l'animal à l'extérieur puis, contre la vitre du judas, s'était dessinée une tête blanche avec des yeux lumineux comme des fauves. Le lendemain matin, le vieux chien gisait, la gueule brisée d'une balle...
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![]() Un homme veut tuer son vieux chien Sultan qui n'a plus de dents.. Le chien va voir le loup. Le loup, complice et ami du chien, enlève l'enfant de l'homme mais le chien ramène l'enfant. L'homme garde son chien.
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