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Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
KHM 135 - La mariée blanche et la mariée noire
(Allemagne) | ± 3½ pages | Vu 4108 fois. |
Wilhelm et Jacob Grimm Une paysanne a une fille et une belle-fille. Dieu fait devenir la mère et la fille noires et laides. La belle-fille a trois voeux : belle, riche et la joie éternelle. Son frère en fait un tableau et le roi tombe amoureux. En chemin, la mère qui est une sorcière fait tomber la fille à l'eau qui se change en cane. Le roi jette le frère dans une fosse de serpents ; la sorcière ensorcelle le roi qui pense belle la laide. La cane revient trois fois en demandant où est son frère. La troisième fois, le roi transperce la cane qui redevient jeune fille. Elle explique tout au roi. Le roi met la mère et la fille dans un baril garni de clous attaché à un attelage. |
Comment un voleur se trahit
(Russie) | ± ½ page | Vu 4102 fois. |
Léon Tolstoï Un voleur est au grenier ; le marchand et son domestique y monte pour l'inspecter. Le voleur est bien caché éternue et se fait attraper. |
Le trésor de la souris
(France) | ± 4 pages | Vu 4102 fois. |
Henriette Bezançon La grand-mère perd la vue à force de faire des broderies ; sa petite fille vend des gaufres mais personne ne les achète. Puis une souris paraît dans l'appartement ; la grand-mère est fâché et la fillette affirme que c'est une fée. La fillette repard vendre ses gaufres et la grand-mère tente de déloger la souris avec un tisonnier. La plinthe cède et la grand-mère trouve vingt rouleaux de louis d'or. Ils rapportent leur trouvaille au commissaire et ils héritent de la moitié de la fortune. Officiellement, cet argent aurait pu appartenir à une famille riche de 1793 ; mais la fillette préfère crois que c'est un cadeau de la souris qui est une ... fée. |
La Fille sans mains
(France) | ± 3½ pages | Vu 4091 fois. |
Jean François Bonaventure Fleury Une dame a une fille et demande à deux hommes de la tuer, par jalousie. Ils la laissent s'échapper, mais tue un chien pour son coeur, et coupe les mains de la fille, car la mère voulait comme preuve de la mort de sa fille son coeur et ses mains. La fille, en fuite, se nourrit du mieux qu'elle peut, mange ou, plutôt, grignotte les fruits aux arbres. Un jeune homme finit par la remarquer ; il l'approche et la marie, cette jeune femme aux mains coupées. Puis l'homme part à la guerre ; elle, elle doit fuir car on ne la veut plus au château. Elle échappe un de ses enfants dans un fontaine, car elle a donné naissance à des jumeaux. Elle prie Dieu de l'aider et ses mains repoussent ; son enfant est sain et sauf. Douze années passent ; l'homme, son mari, revient de la guerre et retrouve sa femme et ses enfants. Sa mère, qui avait causé le départ de sa femme, est enterrée dans un souterrain et ... dévorée par les bêtes. |
Les deux rats boulangers
(Guadeloupe) | ± 1½ page | Vu 4089 fois. |
Tradition Orale |
L’horloger de Nuremberg
(France) | ± 21¾ pages | Vu 4081 fois. |
Cécile Joséphine Julie Lavergne Lorenz d'Ittenbach dépense, boit et joue son argent. Il aime aussi la chasse, des animaux à poil et à plume. Un jour où il passe devant la boutique du vieil horloger, maître Hyrcanus, qu'on dit un peu sorcier, Lorenz veut acheter une montre ; l'horloger lui donne plutôt rendez-vous le lendemain pour parler du prix. L'horloger est paralysé des jambes, et c'est un espèce de géant - sorte de monstre, d'une force herculéenne, appelé Gnomo - qui le transporte d'un point à l'autre. Le lendemain, l'horloger demande les ailes et les plumes de six aigles comme paiement ; Lorenz accepte. Les deux hommes seront un temps avant de se revoir ; Lorenz voit enfin le travail de l'horloger : une paire d'ailes gigantesques, attachée à une cuirasse aux articulations compliquées. Dans un bois, Lorenz essaie l'invention, et s'envole sans difficulté pour planer à son grand plaisir. L'horloger convainc Lorenz de faire une représentation devant l'empereur. Or la guerre se déclare et Lorenz se consacre à ses préparatifs. Un soir de tempête, Gnomo tombe dans un arbre ; il porte la cuirasse aux ailes de plumes d'aigles. Mais le vent le projette dans les airs, pour le faire disparaître. Lorsqu'on enquête chez l'horloger, on comprend que Gnomo l'a égorgé et lui a volé l'invention. Un demi siècle plus tard, le petit-fils de Lorenz découvrira dans une grotte en haut d'un montagne le squelette de Gnomo, et l'appareil volant... |
Le père Mathurin
(Canada) | ± 4¼ pages | Vu 4069 fois. |
Paul Stevens Le père Mathurin va demeurer chez ses deux gendres et leur donne, en échange, tout son avoir. Au début, tout va bien, mais lorsque les autres vieux du coin viennent visiter Mathurin, jaser et fumer la pipe, les gendres et les brus traitent le bonhomme de « déplaisant ». Mathurin va voir le père Sanschagrin qui lui raconte la fois où il a fait une expérience : il regardait deux merles nourrir leurs enfants ; quand les oisillons ont été en âge de voler, il a emprisonné la mère et le père dans une cage. Les petits ne sont pas venir nourrir leurs parents qui sont morts... Les enfants, c'est comme ça, conclut-il. Alors, les deux bonhommes retournent chez les gendres et, enfermés dans une chambre, font semblant de compter l'argent de Mathurin. Les gendres comprennent que leur bonhomme a encore de l'argent et redeviennent serviables, l'appelant pépère par ici, et pépère par là. A la mort du bonhomme, ils trouvent dans son coffre, non pas de l'or, mais des roches et un rondin ... pour casser la tête des pères qui commettent l'erreur de tout donner à ses enfants ... |
Tigre, Tortue et Kariacou
(Guyane) | ± 7 pages | Vu 4062 fois. |
Georges Haurigot Tigre se fait accompagner par son neveu Kariacou pour acheter une énorme quantité de provisions pour une fête avec ses amis. Tigre doit s'absenter deux jours et Kariacou, insulté de ne pas avoir été récompensé par Tigre, invite sa cousine Tortue pour boire tout ce qu'il y a boire et manger tout ce qu'il y a à manger. Kariacou se sauve et Tigre ne le rattrape pas ; la Tortue, rusée, demande aux petits du Tigre de la jeter à l'eau... Ce sont ses petits que Tigre punira ! |
KHM 124 - Les trois frères
(Allemagne) | ± 1½ page | Vu 4040 fois. |
Wilhelm et Jacob Grimm Un homme a trois fils et celui qui aura le meilleur savoir-faire de son métier héritera de la maison. Le premier est maréchal-ferrant, le second barbier, l'autre maître d'armes. C'est le troisième qui héritera mais il partagera la maison avec ses frères. |
Le testament
(France) | ± 3¾ pages | Vu 4037 fois. |
Guy de Maupassant Le narrateur se fait conter par un ami pourquoi ce dernier n'a pas le même nom que ses frères. Il raconte que sa mère s'est mariée à un homme qui n'en voulait qu'à sa fortune. L'homme n'a jamais aimé sa femme, a eu des amantes ; ils ont eu deux fils. Lui, l'ami du narrateur, est l'enfant d'un amant de sa femme. Elle a donné son avoir à cet amant qui lui a fait oublié son malheur en lui montrant que la vie pouvait être belle. L'homme a adopté cet enfant. Quant au mari de sa mère, il a provoqué le notaire lors de la lecture du testament et ce dernier l'a tué en duel ! |
KHM 118 : Les Trois Barbiers du régiment (Die drei Feldscherer)
(Allemagne) | ± 2½ pages | Vu 4036 fois. |
Wilhelm et Jacob Grimm Trois chirurgiens s'arrêtent dans une auberge et montrent leur savoir-faire ; l'un se coupe une main, l'autre s'enlève le coeur, le troisième les yeux. Ils les remettront en place le lendemain (avec un onguent magique). Mais voilà que le chat part avec le tout ; la servante, avec l'aide d'un soldat, mettent à leur place la main d'un voleur qui vient d'être pendu, les yeux du chat, le coeur d'un cochon. Les chirurgiens repartent le lendemain, après s'être reconstitués, mais, dès qu'ils comprennent qu'ils ont été trompés, reviennent pour se faire dédommager. L'aubergiste leur donne de l'argent, beaucoup d'argent ; mais ce ne sera plus jamais pareil. |
Les trois vérités
(Canada) | ± 9½ pages | Vu 4034 fois. |
Paul Stevens Jean Lafortune, pauvre homme, part de chez-lui pour chercher fortune, laissant sa femme et son enfant. Il se donne cinq ans. Mais dix ans plus tard, il est toujours aussi pauvre et décide de rentrer à la maison. Il s'arrête sur une ferme et accepte la proposition du vieillard : y travailler un an pour cent dollars. Au bout d'un an, le vieillard lui offre le choix : accepter les 100$ ou une vérité qui vaut dix fois plus. Jean prend la vérité qui est : « suis toujours le vieux chemin ». La deuxième année, il accepte une deuxième vérité : « ne te mêle jamais des affaires qui ne te regardent pas ». La troisième année : « remets toujours ta colère au lendemain» . Pas plus riche qu'il ne l'était en argent, mais riche de trois vérités, il reprend la route pour la maison, avec une tourtière que le vieillard lui a donnée. Il se lie d'amitié avec un compagnon en chemin mais, lorsque vient le temps de choisir entre un nouveau et un ancien chemin, Jean prend le vieux chemin, alors que son compagnon prend le nouveau. Ce dernier sera assassiné. Puis Jean s'arrête dans un hôtellerie ; l'hôtelier vient le chercher pour souper et, à la table, un spectre réclame à manger. Jean se mêle de ses affaires, et apprend plus tard que s'il avait posé une question, il serait mort comme les vingt-trois voyageurs précédents. Enfin, dans son village, il décide de passer la nuit chez un voisin qui lui apprend que sa femme l'attend toujours et que son fils sera prêtre. Or, le soir, tard, il voit par sa fenêtre un homme entrer chez lui et embrasser sa femme. Mais au lieu de prendre une hache, il remet sa colère au lendemain et apprendra que cet homme était son fils qui venait d'être ordonné prêtre. En ouvrant la tourtière que le vieillard lui avait remis, il y découvre trois cents piastres. |
[032] Histoire racontée par le Médecin Juif
(Arabe) | ± 12¼ pages | Vu 4028 fois. |
Antoine Galland |
Le concours de saut
(Danemark) | ± 1½ page | Vu 4026 fois. |
Hans Christian Andersen La puce, la sauterelle et l'oie sauteuse font un concours de saut, car celle qui sautera le plus haut aura la fille du roi. L'oie sauteuse se retrouve sur les genoux de la princesse, et le roi la couronne gagnante car « il faut de la tête pour en avoir eu l'idée ». |
Le petit homme rouge du Louvre : légende de Paris
(France) | ± 2½ pages | Vu 4022 fois. |
François de Nion |
La broderie de Militine
(France) | ± 2½ pages | Vu 4021 fois. |
Anne Mouans Un roi a quatre filles ; trois des princesses se marient et sont malheureuses. Lorsque la quatrième, Militine, est en âge de se marier ; elle refuse. Le roi lui donne trois semaines sinon c'est lui qui choisira. Militine va voir sa nourrice qui la renvoie à la fée au Clair-Ruisseau. Elle revient et fait semblant de broder un tissus qui n'exite pas. Tous les prédendants font l'éloge du tissu inexistant sauf un étudiant qui affirme qu'il n'y a rien sur le métier. |
Le cruel empereur ou la femme fidèle
(Chine) | ± 2¼ pages | Vu 4019 fois. |
Tradition Orale Deux familles, les Meng et les Djang, partagent un mur de pierre, où leurs jardins se touchent. Un jour, un fruit surgit d'une fleur. Une querelle s'en suit et on décide de couper le fruit en deux ; en sort une petit fille qu'on nomme Meng Djang. À cette époque, l'empereur fait construire un mur pour protéger le pays contre les invasions. Le mur s'effondre régulièrement ; un sage propose d'emmurer un homme à tous les blocs d'une lieu. Des hommes, filles et enfants sont alors emmurés vivants. Le peuple pense à se révolter ; un autre sage propose d'emmurer un seul homme nommé Wan, dont le nom signifie dix mille, ce qui sera bon pour les prochaines dix mille lieues du mur. L'homme s'enfuit, se retrouve dans le jardin de Meng Djang ; ils se marient le lendemain. Mais l'empereur le retrouve, le fait emmurer et veut faire de Meng Djang - qui cherche à retrouver le corps de Wan - son impératrice. Elle accepte à la condition qu'on fasse une fête des morts et qu'on construise une terrasse sur les rives du fleuve. Elle se jettera à l'eau ; alors que les soldats, pour venger l'empereur, couperont son corps en morceaux, il en sortira des poissons d'or. |
09 - L'enfant changée en nourrice
(France) | ± 10¼ pages | Vu 4014 fois. |
Charles-Philippe de Chennevières-Pointel On propose à une femme d'être la nourrice de l'enfant, Elfride, d'un couple de bourgeois de Paris. Elle accepte, mais fait passer sa fille, Léontine, pour l'enfant des bourgeois. Quatre ans plus tard, ils repartent avec l'enfant de la nourrice, croyant que c'est la leur. Mais la nourrice ne peut supporter que son enfant soit au loin ; avec l'aide d'un avocat, elle reprend son enfant, les bourgeois la leur. Le temps passe et Léontine s'ennuie de ces quelques années de faste qu'elle a vécues à Paris. Elle y repartira, espérant retrouver ses parents « adoptifs » d'autrefois, mais les nouvelles sont mauvaises : certains disent qu'elle est servante dans une maison, d'autres disent qu'un voyageur lui a promis mariage. |
[035] Histoire du premier Frère du Barbier
(Arabe) | ± 3¾ pages | Vu 4013 fois. |
Antoine Galland |
KHM 037 - Tom Pouce
(Allemagne) | ± 4¾ pages | Vu 4004 fois. |
Wilhelm et Jacob Grimm Un homme et une femme veulent un enfant et le septième mois la femme accouche d'un enfant d'un pouce. Il aide son père à travailler et deux hommes l'achètent. Il se sauve et dénonce des voleurs qui vont chez le curé. Tom Pouce dort dans la paille, s'endort et se fait avaler par la vache qui se met à parler. Le curé fait tuer la vache la croyant ensorcelée. Un loup mange le reste de la vache et va chez les parents de Tom Pouce. Il mange trop et est coincé ; le père tue le loup, l'ouvre et retrouve son enfant. |
Les diables cornus
(Canada) | ± 4 pages | Vu 4002 fois. |
Charles Quinel 1535. Cartier revient pour la 2e fois au Canada. Avec Donnaconna, sur L'Emerillon, il descend le fleuve vers Hochelaga, même si le chef Huron est en désaccord avec ce voyage. En chemin, Blancs comme Sauvages prennent peur : des génies, des diables cornus s'approchent de la caravelle. Cartier ordonne de charger deux petits canons ; Donnaconna intervient : ces diables, dans la barque, sont ses deux fils. |
Le géant Goulaffre
(France) | ± 11¼ pages | Vu 3995 fois. |
François-Marie Luzel Une pauvre femme a un fils, Allanic ; ensemble, ils demandent la charité. À quinze ans, l'enfant part pour la France, avec un pain et des crêpes. Il se rafraîchit sur le bord d'une fontaine et partage sa nourriture avec un autre voyageur : Fistilou, qui est danseur. Allanic est musicien. Il se taille une tige de seigle pour en faire un chalumeau et se à en jouer ; l'autre se met à danser. Ensemble, ils vont dans un village et amusent les gens. Avec l'argent, ils s'achètent un violon mais les gens n'aiment pas. Ils repartent jouer dans un château pour les deux filles d'un géant. Le géant s'amuser et tous vont dormir, après que les géants aient mangé un chrétien... Allanic entend le géant qui dit à sa femme qu'il va manger les deux garçons. Ces derniers échangent leurs bonnets rouges contre les bonnets blancs des filles du géant de sorte que le géant tranche la tête de ses filles. Quand le géant s'en aperçoit, le lendemain matin, les garçons se sont enfuis. Le géant met ses bottes de sept lieux et part à leur recherche. Fatigué, il s'endort et Allanic vole les bottes au géant. À Paris, ils deviennent garçons d'écurie pour le roi. Puis Allanic va chasser avec le roi et Fistilou fait savoir à tous que son ami a des bottes de sept lieues volées à un géant. Le roi demande à Allanic d'aller reprendre la demi-lune que le géant lui a volé. Plus tard, le garçon devra ramener la cage d'or que le roi regrette. Le géant l'attrapera pour le mettre dans un sac. Le garçon va s'échapper et c'est la femme du géant qui se retrouve dans le sac. Or, le géant, à son retour, bat le sac avec un arbre déraciné et tue sa femme. Enfin, Allanic devra capturer le géant et le ramener. Avec ruse, il l'invite à monter dans un carrosse et le géant se retrouve prisonnier. Il sera brûlé vif sur un feu d'enfer et Allanic se mariera avec la fille du roi. |
Le bourgeois d’Abbeville ou la housse coupée en deux
(Europe) | ± 3¼ pages | Vu 3992 fois. |
Tradition Orale Un bourgeois aisé laisse Abbeville pour Paris ; il a perdu sa femme et marie son fils. Or, les frères de l'épousée veulent que le bourgeois donne tout son avoir au fils ; c'est la condition pour que ce dernier épouse leur soeur. Le bourgeois y consent. Le fils et son épouse ont un fils. Dix ans plus tard, sur les conseils de son épouse, le fils met son père, le bourgeois, à la porte ; il est trop vieux et inutile. Le vieux demande une couverte et l'enfant prend celle du cheval, la coupe en deux. Son père lui demande pourquoi ? « L'autre moitié sera pour toi quand tu seras vieux. » Le père comprend la leçon et fait rentrer son propre père, le bourgeois. |
KHM 143 - L'envie de voyager
(Allemagne) | ± 1 page | Vu 3977 fois. |
Wilhelm et Jacob Grimm Un fils part en voyage en voulant être honnête. Il répète au prochain ce que le précédent lui a dit et ne récolte que des malheurs. Il revient à la maison et c’en est fini des voyages. |
Le héros paralysé
(Afrique) | ± 1½ page | Vu 3974 fois. |
Tradition Orale Un chef a un fils paralysé. La guerre se déclare et le dieu dit au chef d'envoyer son fils avec une lance non faite de bois dans les marécages pour trouver l'hippopotame. Pendant ce temps, la tribu doit battre retraite, poursuivie par ses ennemis. Le fils surgit, sur l'hippopotame, et, avec sa lance, tue les ennemis. Ensuite, le fils et l'hippopotame disparaissent dans la cavité d'un arbre. |
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