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Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
![]() Lorsque la narratrice était une enfant, elle se plaisait à écouter les conversation des fleurs. Une fois, elle fut témoin de la jalousie des autres fleurs vis-à-vis la rose ; une autre fois, elle entendit cette conversation entre les fleurs de l'églantier et le zéphyr : au commencement, le zéphyr avec son père et ses frères régnaient sur la terre et empêchaient toute vie de se développer, mais la vie finit par prendre le dessus. Les vents recommencèrent à semer la mort lorsque le zéphyr eut piété d'une rose, et prit plaisir de son parfum. Son père lui arracha ses ailes et le zéphyr retomba sur terre. L'esprit de la vie en fit un bel enfant, avec des ailes de papillon. Voilà pourquoi la rose est la reine des fleurs, et le zéphyr, leur ami !
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![]() On raconte la fois où un ballonnier avait préparé son ballon pour s'envoler au-dessus de Bellesme. Le ballon s'enflait, puis se désenflait. Enfin, le ballonnier avait ordonné qu'on défasse les cordages ; le ballon avait monté dans les airs, puis avait disparu à l'horizon. Les parents de Joseph, qui avait onze ans, l'avaient ensuite cherché, sans le trouver ; il s'était caché dans le ballon. Or, le ballonnier avait oublié son lest, si bien que le ballon de descendait pas et avait été poussé par les vents. Le ballonnier, à un moment, avait songé à manger un morceau de Joseph, mais s'était contenté d'une bouchée chair qu'il avait coupée avec son couteau. C'est avec ce même couteau qu'il perça finalement le ballon qui alla s'écraser en Bretagne, cent lieues plus loin. Le ballonnier trouva la mort ; Joseph apprit les rudiments du Breton, et retrouva son village six mois plus tard, et devint bedeau.
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![]() Le lutin Rikiki ennuie un habitant du Richelieu, Jean-Mathurin Sansfaçon. La veille de Noël, le lutin offre trois souhaits à Mathurin ; il veut être à la place du seigneur de Saint-Charles, avoir un élixir de longue vie et être heureux. Le lutin accepte, mais avant le mène chez le seigneur qui est devenu impotent ; Mathurin, à sa vue, ne veut plus de son premier souhait. Lorsqu'il voit les Corriveau, âgés et vieux, qui n'ont plus que la peau sur les os, il ne veut plus d'élixir. Quant au bonheur ; le lutin lui enlève son mal de dents. Heureusement, il y avait du boudin à manger.
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![]() Un écrivain présente son manuscrit à des amis. Il raconte l'histoire d'un vieux qui laisse après sa mort une somme d'argent pour qu'on organise un banquet le jour de Noël où seront invités dix personnes choisies parmi les plus malheureuse, mais pas nécessairement parmi les plus pauvres. Y défileront au cours des années : misérable, hypocondriaque, illuminé, dandy, poète, mère en deuil de son enfant, célibataires et ... un squelette et ... un jeune homme qui vieillit au cours des années pour enfin montrer son vrai visage : insensible, il n'a jamais éprouvé ni joie, ni chagrin ...
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![]() Avant, il n'y avait pas de vie sur Terre. La déesse Nüwa avait alors façonné des figurines et leur a insufflées la vie. Deux dieux, Gongong, le Dieu des Eaux, Zhurong, le Dieu du Feu, s'étaient déclarés la guerre et une partie du ciel s'était effondrée. Nüwa avait réparé la voûte céleste avec des pierres de cinq couleurs. C'est depuis ce temps que le ciel est légèrement recourbé et c'est aussi pour cela que le soleil et la lune glissent d'un côté vers l'autre...
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![]() En Malaisie, il arrive que des hommes prennent la forme d'un animal ; on les appelle les hommes-tigres. Leur corps d'homme est à un endroit ; leur apparence d'homme-tigre à un autre. Une fois, un homme-tigre avait donné rendez-vous à une femme dans un champ. Le mari avait suivi sa femme et avait frappé l'apparence de l'homme-tigre qui s'était transformé en feuille d'arbre. Au moment moment, le cet homme travaillait sur un toit. Lorsque le mari mit le feu à la feuille, le corps de l'homme-tigre sur toit est tombé par terre, mort.
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![]() Un bûcheron se plaint de son triste sort, lorsque Jupiter lui apparaît et lui offre de réaliser trois souhaits. De retour chez lui, le bûcheron prend conseil auprès de sa femme qui, rêvant déjà de richesses, le convainc de remettre au lendemain la formulation des souhaits après une nuit de réflexion. Mais, alors qu'il se repose de sa journée près du feu, le bûcheron formule par mégarde une envie de boudin. Jupiter exauce son vœu. Comme sa femme s'emporte après lui, il demande par colère que le boudin lui pende au nez. Ce second souhait est exaucé. Finalement, le troisième et dernier vœu est de rendre à sa femme son aspect initial, cette dernière préférant retrouver le plaisir de plaire qu'être reine et laide. Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Les Souhaits ridicules de Wikipédia en français (auteurs)
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![]() Un roi a un garçon si beau qu'on dit que si ce premier voit son fils, il deviendra aveugle. Le roi fait élever l'enfant dans un lieu désert, mais le garçon s'enfuit et est recueilli par des campénaires qui lui donnent comme nom Martin, en l'honneur de saint Martin, patron des francs buveurs. Martin s'enfuie encore et trouve dans une forêt une maison isolée. Il demande l'hospice ; une fille, Martine, l'accueille, mais son père et sa mère sont ogres. L'ogre accepte de ne point manger Martin s'il épouse Martine. Martin devra faire ses preuves : bûcher un grand carré de forêt, creuser un vivier, le remplir de poisson. Ce qu'il fera avec l'aide de Martine qui a reçu une baguette magique de la fée Houblon. Mais l'ogre veut tout de même manger Martin. Le duo s'enfuit et le fuseau, le rouet et la quenouille répondront à la place de Martine lorsque l'ogre appellera. Puis il les poursuivra avec ses bottes de sept lieues sans voir qu'ils sont sous l'apparence d'un chapelle et d'une fillette, d'un rosier et d'une rose blanche, d'un bateau et d'une batelière. Puis Cambrinus offre à l'ogre de prendre sa place comme bourgmestre. Or, à Fresnes, les mynheers sont trop saouls pour quitter l'auberge ; l'ogre fait construire une cloche mais personne ne veut la sonner. L'ogre va à la chasse et voit un cygne blanc et reconnaît sur le cygne sa fille. Martin reprend sa forme et est attaché sur le clocher pour sonner la cloche. Martine ira rejoindre Martin et ils sonneront une bonne année avant que Cambrinus ne repasse dans le coin, et fasse délivrer Martin et Martine qui se marieront. Comme compensation, Cambrinus construira deux sonneurs mécaniques.
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![]() Le Petit Chaperon Rouge va chez sa grand-mère et rencontre le loup qui la devance ; il mange la grand-mère et ensuite la fillette. Un chasseur passant par là entre dans la maison et ouvre le ventre du loup avec des ciseaux et le Petit Chaperon Rouge met des pierres dans le ventre du loup qui s'éveille, s'écrase par terre et meurt. Une autre fois, un loup revient mais le Petit Chaperon Rouge remplit l'auge d'eau de cuisson de saucisses et le loup s'y noie.
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![]() Deux frères décident de tuer un sanglier qui sème la terreur. Le frère qui est bon rencontre un petit homme qui lui donne une lance. Celui-ci tue le sanglier et rejoint son frère orgueilleux dans une auberge. Ils reviennent ensemble le soir et l'orgueilleux tue son frère et l'enterre près d'une rivière. C'est ainsi que le roi lui donne sa fille en mariage, comme récompense d'avoir tué le sanglier. Un an plus tard, un berger trouve un bout d'os ; en soufflant dedans, l'os se met à chanter « que son frère l'a tué ». Le berger remet l'os au roi ; le roi fait mettre l'orgueilleux dans un sac et le fait jeter à l'eau ; et fait déterrer le bon pour lui offrir un tombeau.
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![]() Un maréchal ferrant nommé Jean Hullos rôdait dans une forêt en hiver lorsqu'il aperçut trois nains tout noirs. Il s'invite à fumer la pipe en leur compagnie et les suit dans un trou. Il suit des galeries et voit d'innombrable nains qui chargeaient des pierres noirs dans des chariot. Il voit ensuite une immense chaudière où bouillaient des hommes, brassés par un géant cornu aux ailes de chauve-souris. Il boit de la bière et s'endort. Il se réveille dans la forêt et ne se reconnaît plus. Un berger lui indique la direction du village en le traîtant de «vieux père». Il va chez lui mais ne reconnaît pas sa maison. La femme à l'intérieur crie au sorcier. On l'amène devant le juge, qui ressemble au géant cornu, qui le condamne au bûcher. Mais en chemin, il croit reconnaître une femme ; on l'interroge et il s'avère être le grand-père d'une vieille femme de quatre vingts ans. Les hommes s'intéressent aussi à lui car Jean leur a parlé des pierres noires. On finit par brûler le juge qui s'avère être le diable. Le lendemain les hommes vont creuser l'endroit indiqué par Jean Hullos et ils découvrent le charbon de terre.
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![]() C'est l'histoire de Bernèz qui est amoureux de Rozenn mais le frère de la belle refuse leur union car Bernèz est trop pauvre. Lors d'une soirée, un mendiant sorcier, demande l'hospitalité ; on lui donne à manger et l'étable pour dormir. Il entend une étrange conversation entre un âne et un boeuf (c'est la nuit de Noël) à propos de grosses pierres qui vont boire et qui reviennent à leur place. Sous elles, il y a des trésors et on peut les avoir en se protégeant avec une branche de l'herbe de la croix entouré de trèfle à cinq feuilles. Le sorcier, accompagné de Bernèz, va sur les lieux (avec l'idée de sacrifier Bernèz, car il faut qu'un chrétien meurt pour satisfaire le diable). Bernèz était à tracer un croix sur une pierre, lorsque le sorcier est venu le chercher. Les deux vont sur les lieux, prennent de l'or et de l'argent, et repartent mais les pierres sont déjà de retour. Alors que Bernèz est sur le point de se faire écraser, la pierre marquée d'une croix le protège ; puis elle reprend sa place et écrase le sorcier. Son talisman païen ne fonctionne plus ; avec la croix, elle est devenue chrétienne. Bernèz s'en retourne, riche, et épouse Rozenn.
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![]() Une fillette se perd dans les bois et est retrouvé par Dame Kélément, une sorcière. La petite a faim mais la sorcière ne lui donnera à manger que si elle trouve son nom. Un serpent murmure quelque chose à l'oreille de la petite fille ; elle part à la course demander aux animaux de la forêt le nom de la sorcière et c'est le cirique, un petit crabe jaune qui le lui révèle : Dame Kélément. Lorsque la sorcière entend son nom, elle s'enfuit et demande aux animaux qui a donné son nom. Elle se précipite dans un grand trou ouvert par le diable et à sa place pousse l'arrête nègre, arbuste qui est tout en épines. Le serpent devient homme ; le petite trouve de l'or dans la case de Dame Kélément et devient riche.
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![]() Le médecin du village de Garouville a croisé une bête étrange avec un queue longue d'ici à demain. Un comité part capturer le « loup-garou » ; les peureux retournent sur leurs pas ; les braves continuent. Après une heure d'attente, Crédule et ses amis affrontent une ... boule de neige énorme ... dans laquelle Crédule retrouve son épée ... Dandural !
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![]() Un femme confie sa fille Ntombi à la mer. Un jour, la mer prend la fillette et la transporte loin, sur un autre rivage, près d'un village de cannibales unijambistes. C'est une vieille cannibale qui prend l'enfant avec elle et qui interdit qu'on la mange. La vieille est magicienne. Lorsque Ntombi atteint quinze ans, avec une corne magique d'antilope, elle retourne parmi les siens. Sa mère est contente de la revoir mais, depuis son retour, plus personne ne confie plus ses enfants à la mer.
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![]() Un roi qui a la lèpre ne peut être guéri par aucun de ses médecins. Puis un autre médecin, habile, nommé Douban, propose au roi de le guérir sans breuvage ni topiques. Le roi accepte et enrichira le médecin, advenant la guérison. Le médecin met une drogue dans le manche d'un mail et prépare une boule, et demande au roi de s'exercer avec le mail en poussant la boule ; sitôt qu'il suera, le remède agira et le roi devra prendre un bain. Le lendemain, il sera guérit. Et c'est ce qui se passa. Le roi récompensa le médecin et le vizir, jaloux, accusa le médecin de vouloir tuer le roi. Le roi, ne croyant pas aux accusations du vizir, lui raconta l'Histoire du Mari et du Perroquet.
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[011] Histoire des trois calenders, fils de roi, et de cinq dames de Bagdad
(Arabe) | ± 17¼ pages | Vu 8174 fois. |
Antoine Galland |
![]() Des Abénakis attaquent des Anglais et les massacrent ; pourtant, un vieux Sauvage sauve un Anglais alors que deux guerriers allaient le tuer. Le vieillard prend l'Anglais, le conduit à sa cabane et le traite en compagnon. Au printemps, les Sauvages reprennent les armes ; le vieillard et l'Anglais sont de la partie. Mais le vieux Sauvage invite l'Anglais à retourner avec les siens. Le Sauvage explique qu'il a été père et qu'il a perdu son enfant et que, depuis ce temps, il n'a plus de plaisir à regarder le ciel, à admirer un manglier en fleurs, ou un bel arbre. Il lui dit de partir pour que son père à lui, l'Anglais, aie encore du plaisir à regarder le soleil qui se lève.
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![]() Un roi et une reine sont chassés de leur royaume. Leurs ressources diminuent et la reine convainc le roi de se débarrasser de leurs trois filles en allant les égarer au loin. Finette, la plus jeune, va voir sa marraine, la fée Merluche. En chemin, un cheval d'Espagne vient à sa rencontre et la conduit chez la fée, qui lui donnera un peloton pour retrouver son chemin. Le lendemain, la reine va porter ses filles au loin, mais elles reviennent en suivant le fil. La reine s'y reprendra à une deuxième reprise ; les soeurs retrouveront leur chemin grâce à leur pas visibles sur de la cendre (donnée par la fée) laissée en chemin. Or, la troisième fois, sans l'aide de la fée, elle laisseront en chemin des pois que les pigeons mangeront. Elles sont perdues, mais elles plantent un gland qui devient un chêne. Du haut de l'arbre, elles verront une grande maison. Mais il est habité par un ogre et une ogresse ; Finette fera brûler l'ogre dans le four et coupera la tête de l'ogresse. Les deux soeurs iront à la ville bien habillées tandis que Finette fera le ménage et la lessive. Or, elle trouvera une clé en or qui ouvrira une cassette remplie de linge et de bijoux. Elle ira, tout comme ses soeurs, au bal (sur le cheval d'Espagne) et, après un an, elle perdra une mule, et que prince Chéri la trouvera ; il mariera celle à qui fera cette mule, et voilà que se présente Finette. Elle accepte de marier le prince à une condition : qu'on redonne leur royaume à ses parents, ce qui fera fait, de part et d'autre.
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![]() Une fille aveugle entend un poisson lui dire que, si elle se frotte les yeux avec du fiel de saumon, elle retrouvera la vue. Elle raconte l'histoire à son père, Domhnall, qui va pêcher le poisson ; mais le poisson qu'il prend à l'hameçon est tellement gros qu'il entraîne l'homme sous l'eau. Domhnall rencontre, dans un château, le Saumon qui lui dit, qu'avant, il était fils de roi, mais le sa belle-mère avait de sa baguette magique transformé le royaume de son père en lac. Pour le libérer, Domhnall doit ramener un matou noir endormi sur une pierre sous un arbre rouge. De retour sous l'eau, le Saumon explique à Domhnall comment combattre la sorcière, qui arrive : enlever le coeur du chat, puis prendre l'épée aiguisée et frapper la sorcière entre les deux yeux. Soixante chats défendent la sorcière. Le Saumon frappe ensuite la sorcière avec le coeur du chat, et elle tombe raide morte. Domhnall repart avec du fiel et sa fille retrouve la vue. Beaucoup d'autres aveugles iront se faire guérir. Dans la nuit, le Samon et Domhnall vont à une partie de ballon à jouer disputée par des hommes-fées. À la fin de la partie, il repart avec deux sacs d'or, et la promesse de garder le secret. Le Saumon repart dans le château sous le lac.
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![]() Sindbad prend la route de la Perse et s'embarque sur un navire. Un coup de vent déchire les voiles et le vaisseau se brise sur des récifs, et nombreux trouvent la mort. Sur l'île, des noirs se partagent les survivants et les amènent dans leur maison, où ils leurs donnent à manger une certaine herbe qui les drogue et leur fait tourner l'esprit. Sindbab qui n'en a pas mangée, voit ses compagnons engraisser au fil des jours, pour se faire assommer, puis manger. Lui il est trop maigre pour cela ; il s'enfuie, pour se retrouver sur le rivage, huit jours plus tard. Des hommes sont là, à cueillir du poivre, et le prennent sur leur navire jusqu'à leur île, où il est présenté à leur roi. Dans cette vile, ceux qui montent à cheval n'ont pas de selle ; Sindbad en fabrique de nombreuses, et s'enrichit. Puis le roi le marie à une dame de sa cour. Or, sur cette île, lorsque la femme ou l'homme meurt, son conjoint l'accompagne dans la mort : on les descend dans une grande grotte sous la terre, qu'on referme avec une roche. Sindbad y est emprisonné, avec un pot d'eau et sept petit pains. L'odeur est infecte. Des jours passent, il n'a plus rien à manger ; puis on descend un mort et sa femme vivante. Sindbad la tuera pour son eau et se pains, ainsi que plusieurs autres. Puis, en suivant un animal, il trouvera une sortie à la grotte, qui mène sur le bord de la mer. Là, il rassemblera les bijoux et objets de valeur des morts, et se fera prendre sur un navire pour passer dans différentes îles et faire du commerce. Il arrive à Bagdad avec des richesses. Une fois le récit terminé, il fait remettre cent sequins à Hindbad et l'invite à revenir le lendemain pour écouter le Cinquième voyage de Sindbad le Marin.
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![]() Aucassin est amoureux de Nicolette. Or, le père d'Aucassin, le comte de Garins, refuse qu'il épouse cette fille achetée des Sarrasins. Le comte Bongars fait la guerre au comte de Garins ; Aucassin accepte d'aller combattre à la condition qu'on lui permettre de revoir une dernière fois Nicolette, que son père adoptif, le vicomte de Beaucaire, a emprisonné et caché dans une tour. Aucassin terrasse l'ennemi, mais son père ne tient pas sa promesse et faire enfermer le fils. Nicolette réussit à s'enfuir dans la forêt, et Aucassin l'y retrouvera. Ils s'enfuiront jusqu'à la mer où ils prendront place dans un vaisseau ; mais une flotte sarrasine les attaquera, et l'un et l'autre se retrouveront sur des navires différents. Le navire d'Aucassin fera naufrage sur les côtes, près du château de son père, qui l'accueillera. Nicolette se retrouvera dans Carthage. On apprendra que c'est la fille du roi qui avait été enlevée et vendue alors qu'elle était une enfant. Elle apprendra le violon, se déguisera et rejoindra la Provence où elle retrouvera Aucassin. Et ils s'épouseront enfin.
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![]() Autrefois, le Nouvel An chinois n'était pas une fête réjouissante, car le fantôme d'un dragon venait chaque année enlever un enfant. Un jour, une mère, voulant sauver son garçon promis au dragon, avait, à la suite d'un rêve, ensanglanté de son sang un tissu et mis le feu à des bambous ; le dragon, comme tous les dragons, ayant peur du sang et du bruit, s'était sauvé et n'était plus jamais revenu. Depuis ce jour, les villageois, pour fêter ce Nouvel An, mettent à leurs portes des papiers rouges et allument des pétards.
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![]() Un ménétrier se rend dans la forêt avec un violon merveilleux. L'homme joue pour rencontrer quelqu'un ; un loup arrive mais il lui coince les pattes dans un arbre ; puis un renard qu'il attache à la cime d'un arbre ; puis un levraut qu'il enroule autour d'un arbre ; puis un bûcheron. Le loup se délivre, détache le renard et le levraut mais le bûcheron protège le ménétrier.
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![]() Un pêcheur veut partir en voyage ; il rencontre un voyageur qui lui raconte qu'il a été marchand puis ami du prince, mais qu'il avait peur de tout perdre et qu'il était jaloux des autres amis du prince. Un ange lui a dit de partir : il trouverait sur son chemin un spectacle capable de le guérir. L'ange réapparait et le pêcheur qui est allé en ville et qui a vu la richesse se plaint et voudrait être riche. L'ange le met en garde mais le pêcheur insiste : l'ange lui offre trois souhaits que le pêcheur réalise : sa maison devient un château, la rivière une mer, sa barque un vaisseau, mais il fait naufrage et meurt. Le voyageur a compris la leçon et la métaphore. Il se marie et apprécie le peu qu'il possède.
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