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Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
[036] Histoire du second Frère du Barbier
(Arabe) | ± 5 pages | Vu 3108 fois. |
Antoine Galland |
![]() Ce serait les fées qui ont apportées les dolmens, ces grosses pierres. Un homme raconte une histoire à l'autre qui lui raconte celle de «La Fée des Houx» : Un bûcheron et sa femme vivent dans la misère qu'ils incombent à la curiosité d'Ève ; une fée surgit et leur donne une bourse de pièces d'or et un pot qu'ils enterrent les trois ensemble. Ni l'homme ni la femme ne doivent savoir ce qu'il renferme. Mais la femme ne peut plus résister ; elle ouvre le pot et le bûcheron et sa femmes redeviennent pauvres.
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![]() Le roi et la reine invitent la cour au baptême de leur fils Frisselis. Les fées arrivent et la vieille fée sorcière Totorote fait son entrés et l'enfant rie de l'allure de la vieille fée. Elle lui jette un sort : il ne pourra plus jamais rire. Le temps passe ; l'enfant ne rie pas ; les médecins n'y peuvent rien ; le roi et la reine sont désespérés et bannissent tous les miroirs. La fée revient et fait se mirer Frisselis ; à sa propre vue, il rit et se trouve guéri. Bref, comme le souligne la fée Totorote, «N'oubliez pas en effet qu'on ne doit jamais, quand on est jeune, se rire des vieux et des vieilles, aussi ridicules qu'ils puissent être !...»
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![]() Une aiguille décrit ce qu'elle voit ; et finit par échouer dans un ruisseau.
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![]() Un riche donne une vache à un pauvre. Le fils du pauvre fait paître la vache dans le champs du riche. La seconde fois, le riche dit qu'il ira tuer le pauvre. Le pauvre, rusé, a fait semblant de tuer sa femme pour trois jours. Le riche va en faire autant mais la tue pour vrai. Le pauvre fait semblant de chauffer un chaudron avec un fouet ; le riche achète le fouet pour rien. Alors, le riche ordonne à ses domestiques d'enfermer le pauvre dans la bergerie pour le noyer. Le berger prend la place du pauvre. Le pauvre part avec les moutons, les vend et se fait construire un château. Le riche passant par là se fait expliquer par le pauvre que là où il s'est fait « noyer », il est devenu riche. Le riche demande au pauvre de lui montrer l'endroit. Le pauvre met le riche dans un sac et le noie.
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![]() Jean échange son lingot d'or pour un cheval, pour une vache, pour un cochon, pour une oie, pour une pierre qui tombe dans une source et voilà Jean délivré de tout fardeau.
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![]() Un riche fermier ne donne jamais rien à personne mais un jour où il crut entendre une voix, il donna a son voisin huit boisseaux de blé à la condition que ce dernier veille les trois premières nuits sur sa tombe. Le riche meurt ; le voisin veille au cimetière et un soldat l'accompagne la troisième nuit. Le diable arrive et le soldat avec ruse lui vole beaucoup d'or. La moitié ira aux pauvres ; l'autre au voisin qui partagera avec le soldat.
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[038] Histoire du quatrième Frère du Barbier
(Arabe) | ± 3½ pages | Vu 3088 fois. |
Antoine Galland |
![]() Rosen, accompagné par son chien, parcourt à pieds le pays et peint des paysages. Il vend ses tableaux pour vivre libre ... et seul ! À Paris, en hiver, il rencontre Géraldy. Puis Rosen repart et retrouve, par hasard, Géraldy, à Saint-Amour. Géraldy et malade et Rosen le réconforte. La maladie s'aggrave lorsque Géraldy apprend que sa pièce d'opéra ne sera pas jouée à Paris ; Rosen et la mère de Géraldy vont voir un saint et apprennent que Géraldy va mourir. Puis Rosen épousera la soeur de Géraldy, et ainsi redonnera à la mère un « fils ».
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![]() En 1745, à Orléans, maître Euverte Lupot est le meilleur luthier. Lui et ses trois compagnons croulent sous le travail ; maître Lupot décide de prendre un autre compagnon : Rinaldo Amati, fils de Flavia Amati, familles de fameux luthiers de Crémone aux XVIe et XVIIe siècles, avec Nicolas Amati qui eut comme élève Stardivarius. Pendant son séjour, Rinaldi proposera d'utiliser une vieille armoire en érable et en sapin pour fabriquer une contrebasse (qui en charmera plus d'un) avec un vernis dont la recette est un secret de famille. Plusieurs essaieront de lui soutirer son secret, même Rosine, avec qui on a laissé entendre un mariage. Finalement, Rinaldo reçoit une lettre de sa mère qui s'ennuie et, comme il a le mal du pays, il retourne en Italie, laissant à maître Lupot une autre recette de venis gras, en usage chez Stradivarius.
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![]() En 1696, alors que M. et Mme de Verchères sont partis pour Montréal, les Iroquois attaquent les colons des environs. Des femmes, qui ont vu leurs maris mourir sous leurs yeux, se réfugient avec leurs enfants chez les Verchères qui ont une maison entourée de palissades hautes de quinze pieds. La fille des Verchères, Madeleine, âgée de quinze ans, prend les commandements des femmes, enfants et des quatre hommes sur place. Elle distribue munitions, fusils et chapeaux et, ensemble, ils repoussent les Iroquois. Ne dormant presque pas, toujours sur le qui-vive, tirant du canon régulièrement pour avertir le voisinage, la petite troupe se défendra pendant huit jours avant qu'un détachement armé mené par La Monnerie ne se présente et auquel la jeune Madeleine remettra les armes, en leur expliquant que tous et toutes ont peu dormi et sont fatigués
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![]() Un fils ingrat se retrouve avec un crapaud fixé au visage pour le reste de ses jours.
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![]() Une sorcière emprisonne un prince dans un poêle de fonte. Une princesse se perd dans la forêt et trouve le poêle. Le prince lui indique le chemin à la condition qu'elle revienne le délivrer. Elle envoie plutôt la fille du meunier. Puis la fille du porcher. Puis la princesse y retourne et délivre le prince mais elle dit plus que trois mots à son père et le poêle et le prince disparaissent. Elle part à la recherche du prince. Dans la forêt, elle trouve des grenouilles dans une chaumière. Elle repart avec trois aiguilles qui lui permettent de franchir une montagne en verre, une roue de charrue qui lui permet de franchir trois épées tranchantes, et traverse le lac à la nage. Avec les trois noix, elle fait apparaître trois robes et la fiancée du prince (celui délivrée du poêle) accepte qu'elle passe les nuits avec ce dernier mais la fiancé ajoute un somnifère à la boisson du prince. Mais le troisième soir, le prince ne boit pas le somnifère et reconnaît la princesse. Ils refranchissent les obstacles et la chaumière se transforme en château et les grenouilles en princes et en princesses.
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![]() Trois voleurs détroussent un moujik ; le premier lui vole son bouc ; le second lui dit que le bouc est dans le bois et part avec son âne ; le troisième lui offre une récompense, si le moujik plonge à l'eau pour lui rapporter une sacoche d'or, et repart avec ses vêtements.
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![]() Curly est un vagabond depuis son enfance, qui quête à manger, à boire, à dormir. Un soir, il se couche dans un chariot et s'endort profondément. Ranse Truesdell..., fils de son père, le vieux « Kiowa » Truesdell qui en guerre perpétuelle contre la famille Curtis (et Ranse qui est amoureux de Yenna Curtis, elle-même amoureux de Ranse ; le couple n'a donc pas d'avenir). Donc, Ranse revient au ranch avec son charriot et y découvre Curly. Il l'accueille et lui donne un lit dans l'étable. Puis Ranse apprend qu'il n'est pas le fils de Kiowa, qu'il a a été adopté, et que Kiowa avait un fils qu'on avait kidnappé lorsqu'il était enfant : Curly lui-même ! Ranse est alors libre d'aller vers Yenna.
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Ourson
(France) | ± 46¼ pages | Vu 3060 fois. |
Comtesse de Ségur |
![]() « Si le marteau rouge eût été un être, c'est-à-dire s'il eût pu penser, quelles réflexions n'eût-il pas faites sur son étrange destinée ? Avoir été montagne, et puis bloc ; avoir servi sous cette forme à l'oeuvre mystérieuse d'une fée, avoir forcé un ruisseau à révéler les secrets du génie des cimes glacées ; avoir été, plus tard, le palladium d'une tribu guerrière, la gloire d'un peuple, le sceptre d'un homme bleu ; être descendu à l'humble condition de couteau de cuisine jusqu'à ratisser, Dieu sait quels légumes, chez un peuple encore sauvage ; avoir retrouvé une sorte de gloire dans les mains d'un antiquaire, jusqu'à se pavaner sur un socle de velours aux yeux des amateurs émerveillés : et tout cela pour devenir carotte fictive dans les mains d'un enfant, sans pouvoir seulement éveiller l'appétit dédaigneux d'une poupée ! »
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![]() Dans un dispensaire, à Londes, un curé sauve les âmes ; son neveu, un médecin, répare les corps. Les quais sont à proximité : il y a des beaucoup d'Asiatiques... Puis cette jeune fille qui entre. Une blessure à la main ; le curé la questionne. Elle reste avec un homme. Ce n'est pas son mari ; son mari est resté sur l'île. Mais lui, il la traite mieux. Le curé est outré, parle de péchés. Qui est cet homme. Celui qui voit les Dieux. Le curé, accompagné de son neveu, s'en va sauver l'âme de cet homme, bien décider à lui montrer le Christ sur la croix, crucifix à la main. Or, le vieil homme, est aveugle !
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Epamirondas et sa marraine
(États-Unis) | ± 2¼ pages | Vu 3048 fois. |
Sara Cone Bryant |
![]() Un vieux cordonnier travaille les chaussures dans un demi sous-sol. Une de ses filles, grosse, souffrante, est mourante, souffrante, et se bourre de sucreries. Une évangéliste entre et apporte la bonne nouvelle au cordonnier à propos de la vérité. L'homme se rappelle la guerre, Varsovie. Son ancienne vérité sur la Justice ; sa plus récente vérité sur l'Égalité. Maintenant, il n'a plus de vérité. Trop vieux. C'est pour cette raison qu'il a de enfants ; peut-être eux auront-ils le temps de la trouver, la vérité. L'évangéliste repart...
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![]() Un paysan superstitieux oublie de fermer la porte de l'étable et la vache s'enfuie dans la neige. Il part à sa recherche, rencontre une voisine, et croit voir la face du diable avec ses deux cornes. Finalement, ce n'est que sa vache...
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Maria Morevna
(Russie) | ± 7¼ pages | Vu 3040 fois. |
Tradition Orale |
![]() Un charbonnier cherche un parrain pour son 26e enfant, Charles, et le roi se propose. Il donne des écus et la moitié d'une platique que l'enfant devra lui rapporter à dix-huit ans. À dix-huit ans, Charles part pour voir le roi et n'écoute pas une vieille qui lui dit de ne pas boire de l'eau à une fontaine. Il en boit et un inconnu se sauve avec sa platine. L'inconnu va voir le roi et se fait passer pour son filleul. Charles arrive à son tour et l'étranger pour s'en débarrasser raconte au roi que Charles sait pourquoi le soleil est si rouge au lever. Charles doit partir à la demande du roi voir le soleil. En chemin, il rencontre un veillard qui lui donne un cheval de bois qui vole dans les airs et explique comment aller à la montagne où demeure le soleil. Sur la montagne, il est reçu par la mère du soleil qui le protège de son fils et Charles repart avec la réponse du soleil : il brille au rouge pour être aussi brillant que la Princesse de Tronkolaine. Charles doit repartir quérir la Princesse pour la marier au roi. Il rencontre le veillard qui lui dit de demander au roi trois bâteaux remplis de gruau, de lard et de viande salée qu'il donnera en chemin à des fourmis, des lions et des éperviers. Ces derniers expliquent comment aborder la Princesse et jetant une orange dans une fontaine. Lorsque Charles demande à la Princesse de l'accompagner, elle lui donne trois défis : ramasser et trier des graines de trèfles, chanvres..., de couper des arbres avec une hache en bois, de raser une montagne avec une pelle en bois. Charles fait appel aux fourmis, lions et éperviers pour relever les défis. La Princesse accompagne Charles et révèle au roi que l'inconnu est le diable. Le roi jette le diable au feu et la Princesse épouse Charles.
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![]() Un seigneur, Bienassis, avait un serviteur, Pois-Vert, qui lui jouait des tours et qu'il a renvoyé. Pois-Vert, un matin que le seigneur passait chez lui, faisait semblant de faire bouillir, avec un fouet, une marmite qu'il avait préalablement chauffée à l'aide de morceaux de fer rougis au feu. Poix-Vert expliqua au seigneur que le fouet qu'il utilisait pour battre la marmite était magique ; les seigneur acheta le fouet 100 $ et fut l'objet de la risée générale lorsqu'il essaya de faire chauffer une théière chez lui. Il retourna chez Pois-Vert qui fit semblant de tuer sa femme avec un couteau, alors qu'il perça en vérité un sac rempli de sang. Il fit revenir sa femme à la vie en sifflant dans un sifflet ; le seigneur acheta le sifflet 200 $. Lors qu'un créancier vint pour se faire payer, le seigneur le tua d'un coup d'épée et ne réussit pas à le réanimer avec le sifflet. Il ordonna à deux de ses hommes de se saisir de Pois-Vert, de le mettre dans un sac et de le jeter dans la rivière. Mais en chemin, Pois-Vert donna sa place à un vacher, lui faisant croire qu'on l'amenait épouser une princesse. Les deux hommes noyèrent donc le vacher et Pois-Vert revint avec les vaches de l'autre, expliquant au seigneur que si ses hommes l'avaient tiré plus loin dans la rivière, il serait revenu avec des chevaux magnifiques. Le seigneur demanda à ses hommes de le tirer dans la rivière à l'endroit indiqué et s'y noya ; Pois-Vert devint un riche commerçant.
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![]() En 1778, le comte d'Algueville et sa seconde femme marie leur unique fille, Madeleine, au fils de la baronne douairière du Plaissis-d’Algueville, Alain. Madeleine, qui venait de sortir du couvent, avait emmené du couvent une chatte baptisée Minou-Minette. Lors de l'entrevue entre Madeleine et Alain, ce dernier prit dans ses bras la chatte, ce qui charma Madeleine. Le couple a trois enfants. Puis arrivent les événement de 1789 et 93. Alain d’Algueville est du côté du Roi et se rend à Paris. En 92, c'est le massacre aux Tuileries et on croit mort Alain d’Algueville. Mais il reviendra au château d'Algueville, presque six mois plutard, pour préparer leur fuite dans un yacht. Mais voilà que des républicains viennent faire une perquisition. Alain et son frère, un prêtre, se cachent dans une pièce secrète. Les hommes se rendent à la bibliothèque, et Madeleine craint qu'ils ne voient une lettre compromettant sur la table de lecture. Mais voilà que sa chatte, Minou-Minette, est couchée sur la lettre et la cache complètement. Les républicains partent ; les maîtres s'enfuient en Angleterre, pour revenir quelques années plus tard avec quelques Minou-Minette nées dans l'exil.
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