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Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
![]() Conte en rimes. Le narrateur achète des journaux et parle de ce qui les fait vendre : meurtres, révolutions, élections... Un enfant malade meurt. La vendeuse de journaux est contente car le cabinet est tombé et les journaux se vend. L'enfant est mort mais des fleurs couvrent sa tombe.
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![]() Un cordonnier et un tailleur vont en chemin. En entrant dans la forêt, le cordonnier a du pain pour sept jours ; le tailleurs pour deux. Au bout du cinquième jour, je cordonnier donne du pain au tailleur à la condition de lui crever un œil. Le sixième jour, il lui crève le deuxième œil et le cordonnier part. Le tailleur se lave les yeux de la rosée tombée sur un gibet et retrouve la vue. Il chemine, et rencontre un poulain, une cigogne, des petits canards, des abeilles et finit par devenir tailleur du roi ; le cordonnier est aussi cordonnier du roi et affirme que tailleur affirme pouvoir retrouver sa couronne perdue, faire un château miniature, faire jaillir un fontaine d’eau et lui trouver un fils. Tour à tour les canards, les abeilles, le cheval et la cigogne réalise le tout. Le tailleur se marie à l’ainée du roi ; le cordonnier est chassé et, dormant sur le gibet, se fait crever les yeux par deux corbeaux.
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![]() Un seigneur, Bienassis, avait un serviteur, Pois-Vert, qui lui jouait des tours et qu'il a renvoyé. Pois-Vert, un matin que le seigneur passait chez lui, faisait semblant de faire bouillir, avec un fouet, une marmite qu'il avait préalablement chauffée à l'aide de morceaux de fer rougis au feu. Poix-Vert expliqua au seigneur que le fouet qu'il utilisait pour battre la marmite était magique ; les seigneur acheta le fouet 100 $ et fut l'objet de la risée générale lorsqu'il essaya de faire chauffer une théière chez lui. Il retourna chez Pois-Vert qui fit semblant de tuer sa femme avec un couteau, alors qu'il perça en vérité un sac rempli de sang. Il fit revenir sa femme à la vie en sifflant dans un sifflet ; le seigneur acheta le sifflet 200 $. Lors qu'un créancier vint pour se faire payer, le seigneur le tua d'un coup d'épée et ne réussit pas à le réanimer avec le sifflet. Il ordonna à deux de ses hommes de se saisir de Pois-Vert, de le mettre dans un sac et de le jeter dans la rivière. Mais en chemin, Pois-Vert donna sa place à un vacher, lui faisant croire qu'on l'amenait épouser une princesse. Les deux hommes noyèrent donc le vacher et Pois-Vert revint avec les vaches de l'autre, expliquant au seigneur que si ses hommes l'avaient tiré plus loin dans la rivière, il serait revenu avec des chevaux magnifiques. Le seigneur demanda à ses hommes de le tirer dans la rivière à l'endroit indiqué et s'y noya ; Pois-Vert devint un riche commerçant.
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Néléphant avec baleine
(États-Unis) | ± 3¼ pages | Vu 3470 fois. |
Tradition Orale |
![]() Un coq nouveau venu se fait chasser. Il part, trouve deux liards et se fait suivre de deux poules, oies, mouton, chèvre, chat jusqu'à une maison qu'ils décident d'occuper. Lorsque le propriéraire revient le soir, il se fait griffer par le chat, poivrer par le coq, pincer par les oies, etc, si bien qu'il croit que le diable est dans la maison. Il s'enfuient et les animaux héritent de l'endroit.
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![]() Monsieur Pointu, cordonnier, critique tout : sa femme, sa servante, les maçons, le charpentier... Un jour il rêve qu'il est au paradis où il croit que tout est parfait mais deux anges portent de côté un pièce de bois, deux autres puisent de l'eau avec un seau percé, puis des anges qui mettent des chevaux devant et derrière une voiture pour la désembourber. Monsieur Pointu se réveille et content de ne pas être mort et continue de veiller à la perfection.
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[036] Histoire du second Frère du Barbier
(Arabe) | ± 5 pages | Vu 3446 fois. |
Antoine Galland |
![]() Un père et une mère ont trois fils ; deux dépensiers, un travaillant, qui est le plus jeune.. Les parents meurent ; les trois fils partent et prennent trois chemins. Le plus jeune, Louis, arrive chez un fermier où toute la maisonnée est en pleurs. Louis demande pourquoi : une méchante fée a volé toute les vaches qui son gardées par son dragon ; celui qui les ramènera mariera la très belle fille du fermier. Louis part et rencontre un vieille femme qui lui dit comment faire : demander à la sorcière la fleur qui peut déjouer les sorts. Un : ne pas la précéder ; deux : ne pas se pencher vers vers le trou ; trois ; tuer le dragon qui aura mangé la sorcière. Louis fait le tout et revient avec les vaches. Sept ans plus tard, Louis retrouve ses frères et les invite à demeurer chez lui.
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![]() Un tailleur et un forgeron rencontrent des gnomes qui leurs rasent la tête et la barbe et leurs donnent du charbon ; mais le lendemain, le charbon est transformé en or et les cheveux et la barbe ont repoussé. Le forgeron, avide, y retourne ; le lendemain, il a tout perdu l'or, les cheveux et la barbe ne repoussent pas. Et de simplement bossu il se retrouve avec deux bosses ; par devant et par derrière.
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![]() Le récit se déroule à Détroit vers 1780, à l'époque des pionniers canadiens - où ils étaient à la fois prêtres, laboureurs et soldats - et des Indiens qu'on nommait Sauvages. Un jeune officier arrive au fort de M. Du Perron Baby. Il demande à Mademoiselle Baby la raison la cause de son malheur. Elle raconte qu'hier, une bande de Sauvages à moitié ivres (il y avait des postes des pelleteries à Détroit) étaient dans cette même maison, avec une jeune femme prisonnière, qui lui a conté son histoire : les Sauvages avaient tué son mari dans les champs et pris son scalp, après que celui-ci aie tué sept des leurs, pour ensuite tuer l'enfant de sa soeur, en lui brisant le crâne sur le poêle, et fendu la tête de la jeune mère d'un coup de hache. Et ils étaient repartis avec cette femme... Le jeune officier intervient en disant qu'il venait de chasser un Potowatomis, à coups de pied ; Mademoiselle Baby lui reproche son geste, car les Sauvages n'oublient jamais une injure, et se vengent toujours. Quelque temps plus tard, l'officier se réfugie chez les Baby, alors que le surintendant est parti. Madame Baby cache l'officier, mais il choisit plutôt de s'enfuir ; il est poursuivi par les Potowatomis qui le rattrapent, le ligotent et lui tranchent la gorge, pour recevoir le sang dans une chaudière. De retour à la maison, ils veulent forcer Madame Baby à boire le sang, pour finalement lui barbouiller la visage. Plusieurs mois après, Mademoiselle Baby voit une ombre dans le jardin, et elle reconnaît le Potowatomis qui a tué l'officier ; il est coincé dans un soupirail et un serpent à sonnette le mort au visage. Il attrape le serpent et le tue avec ses dents, mais il est trop tard, le poison tue le Sauvage.
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![]() Une femme a un fils, Jean, vraiment bête: il transporte des roues au lieu de les rouler; il traîne un quartier de boeuf dans la boue ; coupe en deux un van ; coupe les oreilles d'un cheval. Sa mère le marie à une couturière pauvre, Jelotte, contre sa maison et d'autres biens. Jean et Jelotte voient une vieille qui se lamente sur le bord de la rivière : elle doit passer un loup, une chèvre et un chou de l'autre côté sans que l'un mange l'autre. Jelotte trouve la clé de l'énigme et la vieille qui était fée donne de l'esprit à Jean et ils eurent de beaux enfants.
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![]() Deux Antoine, un Grand et un pPetit, se haïssent et se rendent la vie insupportable. On ne sait d'où remonte cette inimitié, mais elle les lie, donne sens à leur vie. Or, quand le chien de l'un est mort, l'autre a tué le sien pour lui épargner le même sort. Puis ils se sont départis de leur poulailler, des vaches, de la porcherie. Enfin, rendu vieux, cassés, dans des logis misérables, ils sont morts : Le Grand d'avoir vu le petit en fureur ; le Petit aute de pouvoir haïr l'autre...
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![]() Un homme offre des pêches à ses quatre fils et à sa femme. Le premier conserve le noyau pour faire pousser un arbre. Le second mange la pêche et la moitié de celle de sa mère, et jette le noyau. Le troisième mange l'amande dans le noyau et vend sa pêche. L'autre la donner à un pauvre. L'un sera jardinier ; l'autre est tout jeune ; l'autre sera marchand ; quant au quatrième, Dieu le lui rendra.
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![]() Cinq frères choisissent un métier. Le premier sera briquetier, le second maçon, le troisième architecte, le quatrième inventeur, le cinquième, critique. Les quatre premiers meurent ; plus le cinquième se présente au Ciel en compagnie de Marguerite qui explique pourquoi elle est là : ayant vu qu'une tempête allait atteindre une foule qui s'amusait, elle mit le feu à sa maison pour ramener les gens en lieu sûr, effort qui lui prit ses dernières forces et l'acheva.
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![]() Un brahmane a un fils, Maddhakundali, malade de la jaunisse ; mais le brahmane ne veut pas dépenser son avoir. Il tente de le guérir lui-même, mais le fils se meurt. Il le fait poser à l'extérieur. Bhagavat regarde le monde et voit Maddhakundali mourant, et le fait renaître dans le monde des Devas, dans un palais d'or. Maddhakundali va au cimetière sous la forme d'un enfant qui demande, au brahmane qui pleure son fils, des roues en or pour son char, grosses comme la lune et le soleil. Le brahmane comprend que le souhait de l'enfant est aussi insensé que de pleurer un mort qui a fait son temps. Le garçon se révèle être le fils du brahmane, qui est maintenant le compagnon des treize grands dieux. Pour cela, il lui a fait l’añjali, il a apaisé son esprit en Bhabavat. Le père invite Gotama à partager un repas chez lui, devant une foule d'hérétiques et de croyants. Gotama répond à ses questions, lui parle de son Maddhakundali qu'il fait descendre de son palais volant, confirmant que « sans avoir fait aucune bonne action, par le fait seul d’avoir apaisé son esprit dans le maître, [il] a obtenu cet heureux état. »
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![]() Un moujik par pour la ville pour acheter de l'avoine pour son cheval ; ce dernier se demande pourquoi avoir voyagé alors qu'il eut été bon de rester tout bonnement à la maison.
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![]() Deux compagnons cheminent et rencontre une fille qui les suit jusqu'à l'auberge. Or, la fille a des griffes au bout des doigts. C'est l'aubergiste qui fera fuir le diable.
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![]() Le narrateur se trouve dans une taverne en Abitibi et demande à propos du Père Asselin ; on lui dit que c'est un ermite et que Madame Chicoine en sait plus. Chez Madame Chicoine, le narrateur reçoit le journal d'un curé qui parle de la vie de l'ermite et d'une boîte mystérieuse. N'y tenant plus, le narrateur va où l'ermite demeurait du temps de son vivant et creuse pour trouver la boîte en question. Au fond de la boîte, paraît qu'on y voit le sens de la quête humaine.
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![]() Adam et Eve sont chassés du Paradis. Sur la Terre, l'un bêche la ... terre ; l'autre donne naissance à des enfants. Les uns sont laids ; les autres sont beaux. Quand Dieu vient rendre visite à Eve, elle ne montre que les enfants qui sont beaux et Dieu les fait roi, prince, comte, chevalier... Elle monter alors les enfants qui sont laids et Dieu les fait paysan, forgeron, cordonnier... Pour que l'un soit ... utile à l'autre ...
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![]() Une rose qui pousse sur la tombe d'Homère rêve qu'elle sera cueillie par un chanteur du nord pour être aplati entre les pages d'un livre.
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![]() Une nixe, dame des eaux, prend une fillette et un garçon et les fait travailler. Un dimanche, ils s'enfuient et la nixe les poursuit. Ils jettent derrière eux un brosse, un peine et un miroir qui se transforment tour à tour en montagnes.
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![]() Des chasseurs se retrouvent à tous les printemps pour chasser les guillemots, ces oiseaux qui viennent d'aussi loin de Terre-Neuve pour pondre leurs oeufs. Au fil des années, les chasseurs sont de moins en moins nombreux ; plus que quatre. D'ailleurs, le quatrième, qui est en arrivé en retard, veut précipiter son départ. On lui demande la raison ; c'est qu'il transporte le corps de son neveu. On lui fait comprendre qu'un mort, est un mort, et qu'un jour de plus n'y changera rien. Il consent donc à continuer la période de chasse...
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![]() Un fils mange mange une prune et ne veut pas l'avouer. Le père affirme que si on mange le noyau, on meurt. Le fils déclare qu'il n'a pas mangé le noyau et se dénonce du fait même.
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![]() Un riche et un pauvre se présentent au ciel. Lorsque le riche entre, c'est la fête. Mais aucunement pour le pauvre, qui veut savoir pourquoi. C'est parce que des pauvres, au ciel, il y en a à profusion ; mais lorsqu'un riche y entre, c'est si rare qu'on fait la fête.
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![]() Un homme prend le rôle de sa femme ; elle prend celui de son mari et va au champ. Mais l'homme est incapable de « tenir maison » ; la poule et les poussins sont emportés par un Milan, il a renversé le beurre, les chiens ont mangé la crème, les cochons ont renversé le pétrin et le millet... La femme, elle, a bien labouré le champ...
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