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Voici les 25 contes les plus populaires sur touslescontes.com.(Pour consulter les contes par popularité, du plus vu vers le moins vu, utilisez la pagination sous la liste ci-dessous.)
![]() Isaac Laquedem refuse à Jésus-Christ qu'il se repose sur un escabeau, en face de chez lui. Le Christ, croulant sous sa croix, ruisselant de sueur et de sang, condamne le cordonner à marcher jusqu'au jugement dernier. Le Christ repart de son côté, suivi de la foule ; le Juif errant prend un bâton, regarde la route, et suit ses jambes qui marchent malgré lui. Il ne peut s'arrêter, ni s'asseoir, ni se coucher, la douleur est insupportable ; il doit marcher. Dormir debout ; manger debout. Il sera jeté du haut d'un chameau ; aura toujours cinq sous dans sa poche pour acheter pain et eau - mais seulement pour manger, sinon l'argent n'apparaît plus ; il essaiera de mourir en s'offrant aux crocodiles et aux lions, qui n'en voudront pas ; il se précipitera en haut de rocher mais n'éprouvera que de la douleur ; sous les eaux, la mort ne vientdra pas davantage, ni en ne prenant aucune nourriture. Le Juif errant marche toujours, accompagné du désespoir et du repentir.
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![]() À Sâvatthi, Mahâsvanna a deux fils : Cullapâla et Mahâpâla. Mahâpâla entend le maître Tathâgata prêcher la bonne loi et entre dans les ordres pour faire les devoirs du livre et de la méditation, où l'on doit vivre « avec l'idée de la destruction et de la fragilité, vivre d'une manière frugale... » À force de méditer assis (pendant un an), Mahâpâla est atteint d'une maladie aux yeux ; il n'écoute pas les conseils d'un médecin et devient aveugle et Arhat (saint). Il prendra la route pour retourner à son village et, en route, son accompagnateur sera détournée une femme et perdra sa vertu. L'Indra des dieux qui a mille yeux viendra accompagner Cakkhupâla (Mahâpâla) jusqu'au couvent. On voudra savoir pourquoi le thera (ancien) Cakkhupâla est devenu aveugle. C'est parce que dans une autre vie, il était médecin et, pour punir une femme qui n'avait pas voulu payer ses soins, l'avait rendue aveugle : « L’action qu’il a accomplie s’est attachée à lui, car une mauvaise action suit l’homme, comme la roue suit le pied du bœuf attelé au joug. »
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![]() Le secrétaire particulier du Chef du Cabinet de la préfecture trouve un chien perdu et l'adopte. Par les nuits, il erre et court et joue avec le chien. C'est ainsi que du jour au soir il est secrétaire ; du soir au matin, il redevient un garçon et goûte à la liberté. Il finit par démissionner et dit à chacun sa façon de penser à propos de leurs tares physiques et leur intellect rétréci.
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![]() Le lièvre gagne le premier prix avec sa rapidité ; le colimaçon le 2e par sa persévérance.
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![]() Deux familles : Les Saint-Marc ont pour deux filles, Hortense et Céline, respectueuse des paysans de la campagne, les seconds, les Fontenelle, une fille, Adrienne, qui est orgueilleuse vis-à-vis sa position sociale, et qui ne se mêle pas à « ces gens » de basse nature. À l'occasion d'une noce, Hortense et Céline dansent avec les fils de paysans, alors que l'autre refuse toutes les demandes ; très vite, une rumeur circule dans la noce par rapport l'attitude de la bégueule Adrienne. Lors d'une seconde noce, le fils du sabotier revêt un ruban rouge annonçant qu’il est un militaire de haute distinction et fait danse gauchement Adrienne qui ne voit qu'en lui qu'un « homme décoré ». Tous riront du tour joué ce jour-là par le jeune sabotier, exceptions d'Adrienne et de sa mère.
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![]() En 1777, dans le coin de Saint-Sulpice, Fortuné Bellehumeur chemine, mais une tempête de neige l'oblige à s'arrête à l'auberge du Lion d'Or. On ne peut ni ne veut le recevoir ; l'auberge est réservée pour un mariage mais, faisant le « sourd », il s'invite tout de même, prend place, mange, dort dans une chambre qui était pour quelqu'un d'autre, et part le lendemain matin en ne donnant que la moitié de la somme demandée par l'aubergiste, en lançant : « j’ai pour règle invariable de ne pas accepter de change... Vous le donnerez au garçon ».
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Les deux cafiés
(Guadeloupe) | ± 1½ page | Vu 3216 fois. |
Tradition Orale |
![]() Au plus fort de l'hiver, d'Iberville envoient deux hommes, Thomas et Petitjean, sonder une frégate anglaise prise dans la glace de la mer d'Hudson. Les Français sont faits prisonniers par les Anglais et passent l'hiver dans la cave du navire. Au printemps, quand la glace fond, on demande à un des deux prisonniers d'aider à lever les voiles car le scorbut à décimé les Anglais. Thomas suit Smithson mais, sur le pont du bateau, saisit une hache, tue ce dernier, de même que le commandant. Thomas va libérer Petitjean et les deux Français, qui ont saisi des fusils et des couteaux, s'emparent à eux-seuls du restant de l'équipage trop faible et démoralisé pour résister, et ramènent le navire anglais dans un port français.
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[037] Histoire du troisième Frère du Barbier
(Arabe) | ± 4¼ pages | Vu 3214 fois. |
Antoine Galland |
![]() Une mère a trois filles : Unœil, Deuxyeux et Troisyeux. DeuxYeux est maltraitée mais un jour une fée lui donne le pouvoir de parler à une chèvre qui faut apparaître de la nourriture. La mère s'en aperçoit car les deux filles sont allées espionner. La mère tue la chèvre et DeuxYeux à la demande de la fée enterre les boyaux et le lendemain matin a poussé un arbre aux fruits d'or. Un prince passe par là et DeuxYeux lui donne un rameau car les soeurs étaient incapable de le faire. DeuxYeux va vivre avec le beau seigneur et l'arbre change d'endroit pour suivre DeuxYeux. Les deux soeurs deviennent mendiantes.
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![]() Les Iroquois, armés par les habitants de la Nouvelle-Angleterre, attaquent de plus en plus fréquemment les colons de la Nouvelle-France. Dollard et seize jeunes partent affronter les redoutables guerrier. Les Français trouvent un petit fort iroquois qu'ils occupent ; mais sont aussitôt découverts. Les attaques des Iroquois se multiplient ; Dollar tente de lancer un baril de poudre qui cogne contre un pieux et explose à l'intérieur du fort. Les Iroquois entrent et achèvent les survivants. Mais si dix-sept Français ont pu résister à plus de mille ennemis, qu'en sera-t-il des cités défendues par des garnisons entières ?
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![]() À la ferme, tout le monde garde quelque chose : chevaux, didons, poules, la maison ; seul Piccolo ne garde rien. Il part recherche quelque chose à garder et trouve trois escargots. Un corbeau mange le escargots mais Piccolo tue le corbeau est en ressort les escagots qui s'avèrent être trois fées qui promettent d'aider Piccolo s'il les appellent avec les coquilles vides. À la ville, Piccolo apprend que la princesse est triste : elle a perdu la santé, la beauté et la richesse. Piccolo promet au roi, à la reine et à la princesse de tout réparer. Il va appeler tour à tour les trois fées qui vont lui dire comment vaincre les trois mauvaises fées : Maligne, Hideuse et Rapace. Lorque la princesse recouvre la santé, la beauté et la richesse, le roi offre à Piccolo d'épouser sa fille. Piccolo, devenu roi, ramène toute sa famille au château et devient le gardien de tous.
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![]() Un roi dans un royaume logé dans une forêt meurt ; son fils, un jeune garçon, et l'héritier. Le prince grandi en paix et son meilleur conseiller est un étranger qui lui conte des récit. L'enfant éduque son corps et son esprit. Un jour, il rêve d'une princesse et on lui raconte que c'est une légende : cette femme est l'Enchanteresse et attend dans la forêt qu'on vienne la réveiller. Le prince envoie ses meilleurs hommes qui reviennent bredouilles. Il fait un second rêve et ordonne qu'on trace une route dans la forêt mais aussitôt coupés, les arbres repoussaient. Après le troisième rêve, le prince va se perdre seul dans la forêt. Au bout d'un an et un jour de souffrance, un soir, il découvre l'Enchanteresse.
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![]() Trois gars demeurent dans une maison mais une vilaine sorcière leur vole légumes et poules. Ils lui donnent une leçon à coups de bâtons mais le lendemain ils la retrouvent morte. Ils l'enterrent et vont chez le curé qui leur dit d'aller voir le Pape pour obtenir le pardon. En chemin, ils trouvent une maison et les trois filles leur dit que c'est la maison de douze voleurs. Ils font tomber la méchante dans un trou remplis d'épées où elle meure. Ils tuent les douze bandits les uns après les autres à coup de hache. Ils vont à Rome, obtiennent le pardon, et en revenant ils vont dans une des trois auberges construites par les trois filles, qu'ils retrouvent enfin.
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![]() Pierre Chardon épouse Marie Martin. Le père de la mariée, Jean-Baptiste Martin, est traversier. Il fait éduquer sa fille au couvent où elle apprend les tâches ménagères et le piano. Le couple a un enfant. Trois ans plus tard, débarque Ephrem Malandrin, voyageur, parleur et buveur. Lentement, il entraîne Pierre dans les auberges ; d'ailleurs, le commerce de Pierre périclite, car c'est la crise commerciale. L'alcool aide à oublier la déconfiture. Pierre revient à la maison après un tournée de beuverie et apprend que son enfant est mort entretemps. Il repart oublier sa peine et apprend par hasard que sa femme, après la saisie du magasin, est tombée malade et en est morte. Il revient au village et se saoule dans une auberge ; en sortant, il prend le chemin, mais la neige tombe de plus en plus et, à la suite d'un faux pas, Pierre tombe dans un fossé où il meurt gelé.
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![]() Petit compte à répétitions.
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![]() Un homme essaie d'échapper au malheur. Il va de le bois couper un arbre. Des loups le poursuivent. Il se jette à l'eau. Des pêcheurs le secourent. Il s'adosse contre un mur qui s'écroule et le tue.
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![]() Dès l'âge de douze ans, Lizzie aime danser : curieux mélange de gigue, de pavane et de cake-walk. Puis, dans ce quartier populeux de Londres où on ne mange jamais à sa faim, les années passent. Lizzie doit travailler et son père l'envoie dans une usine de corderie, pour huit schillings la semaine, à onze heures par jour, argent qu'elle doit remettre au paternel. Un jour, l'oncle Jim vient à Londres. Il joue de l'accordéon et essaie d'en montrer inutilement les rudiments à Lizzie. Mais lorsqu'il la voie danser, il lui propose de participer à un concours de danse, et elle gagne, deux livres. Mais le rêve, rapidement, s'écroule. En fait, ce n'était qu'un rêve ; elle ne sera jamais une héroïne. Car le lendemain, c'est le travail qui l'attend. Alors, elle se dirige vers le fleuve, monte sur un ponton, et marche droit devant elle, vers l'eau noire...
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![]() Boniface Balbuzard, bègue, est marié à Gune. Mais prendre maîtresse est tentant, comme on prend la mer, et Boniface aime la mer, qu'il reprend à l'occasion. Entre le cabaret et les bateaux, il rencontre Mone et va vivre avec, au désespoir de Gune. Puis il s'engage et re-re-part en mer, et disparaît. La femme et la maîtresse se croisent, se parlent, se consolent et emménagent ensemble. Un bon jour, à leur porte, on demande la cha-cha-charité. Boniface mangea sa soupe au milieu d'elles, et il l'est en-en-encore, paraît-il !
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![]() Une jeune fille pauvre qui n’a que des vêtements sur le dos les donnent un à un à plus pauvre qu’elle; c’est alors que des étoiles se mettent à tomber et se changent en ducats.
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![]() La narratrice se remémore cette fois où elle était enfant et que le brigand Pougatchev est arrivé dans leur demeure. Son père et sa mère étaient partis chercher des Cosaques pour défendre l'endroit. La niania avait déguisé l'enfant déguisa en paysanne pour que Pougatchev ne se doute pas qu'elle soit la fille d'un noble. En repartant, le Cosaque donna à l'enfant une pièce de dix kopeks. Plus tard, on appela l'enfant la « fiancé de Pougatchev ». La niania refusa, quant à elle, d'être affranchie...
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![]() Le capitaine Hauteroche gère son débit de Vins et Tabac, « Au vieux grognard ». Il s'occupe d'un mannequin habillé d'un uniforme de grenadier de l'Empire, en face du débit. Lorsque cette fois où il se met à conter des récits à propos d'une gourde à eau-de-vie. En 1793 où il fut fait prisonnier par les chouans de Cathelineau ; alors qu'il allait être enterré vivant avec d'autres canonniers, les dragons sont arrivés et ont dispersé les paysans. Clasquo le Péruvien donna à boire au capitaine (qui était à l'époque artilleur) une fameuse boisson à base de coca, qui aussitôt redonna la forme et la force au capitaine. La boisson fut de nouveau salvatrice pendant la campagne de Saxe en 1813, alors que les boulets russes avaient le tonnerre du diable dans leur mitraille. Et lors d'un froid de novembre sur le territoire russe. Le capitaine Hauteroche aurait sûrement vécu jusqu'à un âge vénérable s'il n'avait pas été victime d'une chute sur le verglas à 91 ans.
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![]() Dieu donne trente ans aux créatures mais c'est trop pour l'âne, le chien, le signe. L'homme reçoit les années que les animaux ne voulaient pas.
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![]() Deux filles d'une famille aisée, et leur gouvernante, s'occupent « en cachette » d'une veuve infirme ; elles massent son bras paralysé ; dévident la soie… Le pasteur apprendra cette bonne action et ne manquera pas de le faire savoir à tous. C'est alors que les jeunes villageoises tirèrent au hasard leur tour d'aide pour la veuve, et que de jeunes vignerons se mirent à s'occuper des vignes de la veuve Durand, qui est maintenant soignée et honorée par tous les habitants du village.
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![]() Une jeune fille, Marguerite, ne veut épouser qu'un prince. Arrive le Prince turc Frimelgus qui l'épouse. Ils vont vivre à son château. Il doit partir et lui donne toutes les clés mais elle ne peut pas aller dans un certain cabinet. Au bout de huit jours, elle y entre et voit sept femmes pendus. Elle échappe les clés dans le sang et une clé reste marquée. Lorsque Frimelgus revient, il veut tuer sa femme mais le deux frères de celle-ci la sauve. Marguerite dit qu'elle n'épousera un homme qui vécut et voilà qu'un mort la demande en mariage. Elle accepte et va vivre avec lui. Il part le jour et revient la nuit. Un de frères de Marguerite lui rend visite et il accompagne son beau-frère au Paradis par le chemin des airs. Ils voient des vaches et des boeufs maigres où il y a de l'herbe en abondance, d'autres vaches et boeufs gras dans une plaine aride, puis des corbeaux qui se battent. Ensuite, il y a trois routes : une avec des fleurs, une autre moins belle que la première, une troisième encombrée de ronces... La dernière est le chemin du paradis, parsemé d'obstables.
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